
تقي زاده
Obama/Netanyahu : vers un clash?
Selon l'AP qui vient de publier un article signé Joseph Federman, la rupture est déjà consommée entre Obama et Netanyahu sur le nucléaire iranien :" Dimanche sur CBS, le premier ministre israélien a une nouvelle fois appelé les Etats Unis à durcir les sanctions contre l'Iran. et ce alors que les Américains n'écartent pas désormais la possibilité d'un allègement des pressions contre l'Iran" et c'est justement ce qui terrorise Netanyahu. le premier ministre de l'entité sioniste répète à qui veut l'entendre que la communauté internationale se doit de redoubler les pressions contre l'Iran ? une intensification des pression selon lui élargit à son sens les chances d'un démantèlement total du nucléaire iranien. " une bonne approche vis à vis de l'Iran ne se contenterait pas d'un accord à minima. Elle impliquerait au contraire un durcissement des sanctions et ce jusqu’à ce que les iraniens renoncent à enrichir leur uranium, et qu'il accepte le retrait de toutes leurs réserves d'uranium enrichi et la fermeture de leurs sites d'enrichissement" mais à mesure que le temps passe, Netanyahu semble moins audible !! la Maison Blanche étudie la possibilité d'un déblocage des avoirs gelés de l'Iran dans les banques américaines . certes ce n'est pas la levée des sanctions telle que le souhaite les Etats Unis mais cette démarche pourrait s'avérer plus ou moins utile. ce qui intrigue surtout les israéliens c'est qu'ils ignorent les détails des propositions de Téhéran? Certes la négociatrice Sherman est allée en personne à Tel Aviv leur faire un compte rendu de ses entretiens avec Zarif et Araqtchi, n'empêche que tout n'a pas été dit. en dépit des déclarations des officiels us comme ce monsieur anonyme qui affirme à Haaretz être au courant de tous les détails de Zarif's proposal, l'attitude teintée de colère, d'inquiétude et de manique de "Bibi " et de son entourage laisse supposer qu'Israël ne sait pas grande chose de ce qui se trame "contre lui"! Sur cette base, Yediot Aharonot prévoit un clash dans pas longtemps entre Netanyahu et Obama. : " la proposition iranienne a piqué la curiosité d'Israël - ndlr : signe qu'il n'en sait pas tout- l'entourage de Netanyahu ont peur que Zarif's proposal finisse par faire fléchir les Etats Unis . si une telle chose se produit , le clash Netanyahu/Obama sera inévitable. Yoel Gazansky , expert de l'institut d'études de sécurité nationale israélien essaie de minimiser : " les divergences de vue existent depuis toujours entre Israël et les Etats Unis, divergences qui sont liées à la différence des puissances militaires et du niveau des menaces auquel font face les Etats Unis et Israël ... mais les israéliens devront se rendre à l'évidence. Israël ne peut pas avoir tout. et il le sait . les gesticulations dont nous sommes témoins vise en effet à marquer des points avant que les l'entente Irano américaine soit conclue!
Imam Ali al-Naqi al-Hadi (P)
Le dixième Imam est Ali Naqi, Al Hâdi, fils de Muhammad (P). Sa mère était une femme magrébine du nom de Dame Samana.
L’Imam est né à Médine, le 5 Rajab, 214 A.H.
Il fut le meilleur homme de son temps, un grand érudit et la quintessence de la grandeur, de la générosité et de la douceur.
Il vivait dans une chambre très simple et passait la majeure partie de son temps à la lecture du saint Coran. Il est le dixième successeur du Prophète de l’Islam (P) et avait pour charge la protection de l’Islam de toute déviation et falsification. C’est pour cela que le calife sanguinaire de l’époque le garda toute sa vie en résidence surveillée dans un camp militaire (askar).Ainsi les contacts entre lui et ses adeptes étaient très réduits. A Médine l’imam Al Hâdi (P) était une référence incontestable pour les musulmans et c’est pour cela que le calife Al Moutawwakil le fit venir en Irak à Samarra. Mais la lumière de la guidance de l’imam était si forte que le calife ne pouvait l’éteindre. Il mourut empoisonné à Samarra, le lundi 3 Rajab, 245 A.H à l’âge de 42 ans. Il fut inhumé à Samarra où se trouve son mausolée.
A l’époque de l’imam Al Hâdi la chirurgie n’était pas bien connue. Un des musulmans avait un fils qui était malade et le médecin lui conseilla la chirurgie. Ce qui fut fait mais l’enfant succomba à la maladie et la famille blâma le père d’avoir accepté l’opération.
L’homme alla voir l’imam et lui raconta ce qui était arrivé. L’imam le rassura en lui disant qu’il n’avait fait que son devoir. Cet incident eu pour effet la réhabilitation de la chirurgie qui à l’époque ne se pratiquait que dans le monde musulman.
Les faux dévots sévissaient beaucoup à l’époque de l’imam. Et sous prétexte d’ascétisme, ils prétendaient que la beauté de la nature peut dévier les musulmans de la voie de l’adoration de Dieu. Quant à l’imam recevant un jour une fleur d’un jeune garçon , il la baisa puis la posa sur ses yeux et dit : « Quiconque reçoit une fleur , puis la pose sur ses lèvres et sur ses yeux et dit ‘’allahoumma salli ‘ala Muhammad wa ali Muhammad (mon Dieu salue et béni Muhammad et la famille de Muhammad)’’ , alors Dieu lui écrit autant de bonnes actions qu’il y a de graines de sable dans le désert de Alej et efface pour lui autant de mauvaises œuvres »
Poursuite de la vague de chiitophobie en Egypte
A la suite de l’intensification de la vague de la chiitophobie en Egypte et de la lutte des idées chiites, le chef du parti salafiste égyptien a mis en garde contre l’extension du chiisme à Assouan.
Selon le site d’information Masres, Valid Ismaïl, chef du parti salafiste de l’Egypte a prétendu que les chiites cherchaient à mettre en place une mosquée et un hosseynieh à Assouan pour diffuser l’école jaafarite.
Faisant allusion à ce que les chiites faisaient usage des méthodes soufistes dans la diffusion des idées chiites en Egypte, il a prétendu : « En s’infiltrant dans certaines associations de bienfaisance à Assouan, les chiites sont lancé de vastes activités en vue de propager l’école chiite. »
Le chef du parti salafiste égyptien a appelé les responsables sécuritaires à faire face aux chiites et d’empêcher la construction de la mosquée chiite à Assouan, soulignant: «Les forces de sécurité doivent faire face aux chiites sans la moindre indulgence.»
A rappeler qu’après la chute de l’ancien dictateur égyptien, Hosni Moubarak, les pressions exercées sur les chiites se sont intensifiées et les salafistes essaient d’empêcher les fidèles de l’Ahl-ul-Bayt(AS) de la propagation des idées chiites.
Les discussions avec les États-Unis doivent se faire dans le respect des cadres islamiques
Nous ne sommes pas à la recherche de pouvoir ni de chantage, et n’accepteront aucune oppression et aucun chantage. Javad Karimi Qodussi, membre de la Commission parlementaire de sécurité, dans un entretien avec l’Agence Internationale de Presse Coranique, a déclaré que les discussions avec les États-Unis devaient rester dans le cadre des limites islamiques.
« Nous ne sommes pas à la recherche de pouvoir ni de chantage, et n’accepteront aucune oppression et aucun chantage. La République islamique d’Iran conformément aux enseignements coraniques, considère le régime sioniste comme une tumeur au sein de la communauté qui est condamnée à disparaitre grâce aux peuples de Palestine, de Syrie, d’Égypte et de Jordanie, et au Hezbollah libanais.
Obama considère la sécurité d’Israël comme le leitmotiv de sa politique étrangère, sur lequel il ne fera aucune concession. Il a même déclaré qu’il était prêt à attaquer la Syrie pour défendre les intérêts des Usa dans la région. Les États-Unis ont été cependant obligés de changer de politique et de reculer cette attaque, à cause des efforts diplomatiques de la République islamique d’Iran car une attaque contre la Syrie signifiait la destruction d’Israël.
Les États-Unis ont donc été obligés de considérer l’Iran comme un interlocuteur de poids. Cela a montré que les sanctions non seulement n’ont pas affaibli notre pays mais ont augmenté sa puissance. Toute discussion avec les usa doit se faire dans le respect de la République islamique qui n’accepte ni d’opprimer ni d’être opprimée », a-t-il dit.
Félicitations d'anniversaire de l'Imam Hadi
Nom: Ali - Titre: an-Naqi (Le Pure) et al-Hadi (Le Guide) - Surnom: Abul Hasan
Père: Imam Muhammad at-Taqi (as) - Mère: Bibi Summana Khatoon (ahs)
Date de Naissance: 15 Zilhaj 212 A.H. à Madina
Martyr: 3 Rajab 254 A.H. à Samarra, Iraq - Imamat: de 220 A.H. à 254 A.H. (34 années)
Le 15 Zelhajja de l'an 212 de l'Hégire, l'Imam Ali An-Naqi, surnommé, Hadi, naquit à Médine. L'Imâm Al- Mohammad At’Taqi était le père du dixième Imâm, qui s'appelait Ali (parfois, désigné, comme Hâdi). Il a été surnommé Naqi, en raison de sa noblesse d'esprit et Hâdi, parce qu' il était le guide de l'humanité. L'Imâm a eu plus de temps, comparé à son père, pour propager les enseignements islamiques à Médine.
La Rédaction française d'ABNA présente, en cette occasion, ses félicitations à tous les épris de la sainte demeure prophétique, ainsi qu'aux épris de la justice et de l'équité.
Libye: le deuxième anniversaire de la mort de Kadhafi
La Libye marque dimanche le deuxième anniversaire de la mort de l'ancien dictateur, Mouammar Kadhafi, capturé et tué par les rebelles dans sa ville natale de Syrte huit mois après la révolte contre son régime de quatre décennies.
Le 20 octobre 2011, le colonel Kadhafi a été capturé et tué par des éléments de la rébellion, après avoir été blessé dans un raid aérien effectué par des avions de combat français contre un convoi repéré par un drone américain qui a alerté l'OTAN, alors que le colonel cherchait à fuir Syrte qui était en état de siège sous l'offensive des rebelles.
Au cours des deux années écoulées, une campagne de vengeance régnait dans le pays inondé d'armes aux mains de centaines de milices. Des officiers de sécurité qui avaient servi le régime de Kadhafi ainsi que des activistes politiques ont été pris pour cibles par des groupes armés fondamentalistes dans la région de Cyrenaica, dans l'est du pays.
Le Premier ministre du gouvernement intérimaire libyen Ali Zeidan avait même été enlevé le 10 octobre par un groupe armé non identifié, qui aurait perpétré le kidnappage au nom de parlementaires libyens.
M. Zeidan a été relâché quelques heures plus tard. Cet incident était considéré comme un acte mené par des militants liés à al-Qaïda en représailles à un raid effectué le 5 octobre par un commando américain, dans lequel a été capturé Al Liby, responsable de la mouvance terroriste recherché pour des attentats terroristes en Afrique de l'est en 1998.
Le recours aux enseignements des Ahl-ul-bayt (AS) pour le rapprochement des écoles islamiques
La présentation des enseignements des Ahl-ul-bayt (AS) permettrait d’éteindre le feu des dissensions que certains mercenaires essayent de développer.
L’Ayatollah jaafar Sobhani, référence religieuse des chiites iraniens, le 17 octobre 2013, lors d’une rencontre avec les organisateurs du congrès sur l’Imam Sajad (AS), a déclaré que le recours aux enseignements des Ahl-ul-Bayt (AS) était le meilleur moyen pour rapprocher les écoles islamiques.
« C’est la raison de l’organisation de ce congrès. Dans l’Histoire de l’islam nous ne voyons pas autant de sang et de violences. Aujourd’hui, l’Arabie saoudite et les Émirats interdisent aux sunnites de vivre en paix à coté des chiites.
Dans le passé, les chiites et les sunnites d’Irak avaient des relations amicales. La Révolution islamique a ébranlé les ennemis des chiites qui tentent de semer la discorde entre les écoles alors que le Coran recommande l’union. Nous devons profiter du respect de toutes les écoles pour les Ahl-ul-bayt (AS) et des enseignements du recueil de prières de l’Imam Sajad (AS) pour notre initiation spirituelle.
Nous espérons que les religieux sunnites participeront à ce congrès car nous respectons les compagnons alors qu'en Arabie saoudite, le Sahife Sajadieh est interdit de publication. La présentation des enseignements des Ahl-ul-bayt (AS) permettrait d’éteindre le feu des dissensions que certains mercenaires essayent de développer », a-t-il dit.
L'Iran ne cherche pas à nuire à la sécurité mondiale
La République islamique d’Iran ne cherche pas à nuire à la sécurité mondiale, puisque selon la fatwa (décret) du Guide suprême de la Révolution islamique, l'ayatollah Seyed Ali Khamenei, pays persan pour l'utilisation d'armes de destruction massive est un sujet tabou.
Alors Imam a la prière du vendredi à Téhéran, capitale de l’Iran, l'ayatollah Mohammad Emami Kashani.
L'Occident est conscient de la nature pacifique des activités nucléaires de l'Iran et sait que ce pays est un commanditaire majeur de la sécurité dans la région, a souligné l'ayatollah Emami Kashani.
En allusion à la fatwa du Guide suprême sur l'interdiction de l'utilisation d'armes de destruction massive, le clerc persan a souligné que ce n'est pas une fatwa politique, il est religieux, par conséquent, la conformité obligatoire.
Dans une autre partie de son sermon, l'imam a souligné que l'Iran n'a jamais envahi d'autres pays, tandis que certains pays de la région attaquent et occupent un territoire étranger où ils commettent des crimes.
Selon l'ayatollah Emami Kashani, ces dernières années, la diffusion iranophobie et de semer la discorde parmi les musulmans a été l'intrigue principale du sionisme et de l'hégémonie mondiale contre la communauté musulmane.
Il a évoqué les efforts de l'Occident et les ennemis de l'Islam pour présenter cette religion divine en tant que promoteur de la sauvagerie à travers le déchaînement des guerres entre musulmans." L'islam est la religion de la justice et à l'écart du radicalisme ", a-t-il affirmé.
L'ayatollah Emami Kashani a indiqué que les crimes des salafistes est la cause des problèmes auxquels le monde islamique et a souligné que " cette secte dangereuse, dans les plans d’hégémonie et sous le nom de l’islam, commet toutes sortes crimes contre les musulmans “.
Il a exhorté la communauté musulmane à maintenir l'unité et a ajouté que dans la conjoncture sensible , le vrais musulmans devraient s'efforcer de présenter le vrai Islam.
Wahhabisme dérive de la pensée antireligieuse
Wahhabisme dérive de la pensée anti- religieuses, déclare Mostabser Esam Al-Emad, Membre de l'Assemblée mondiale d’Ahlul Bayt (AS).
Le religieux yéménite qui a parlé mercredi soir dans la ville de Shadegan, sud-ouest de l’Iran, a souligné que le wahhabisme propage mauvaises pensées dans la société et vise à créer des écarts entre musulmans chiites et sunnites.
Le religieux a déclaré que les wahhabites et Takfiris travers l'édition de livres anti- chiite et la distribution aux musulmans le pèlerinage hajj, qui cherche à promouvoir les idées du wahhabisme parmi les musulmans afin de les séparer.
Cette élite yéménite a appelé un " indéniable " l'incident " Qadir Khom », qui rappelle l'élection de l'imam Ali (que la paix soit sur lui) comme le successeur du Prophète de l’Islam, Hazrat Mohammad (P), et a averti que wahhabites d'innombrables publicités cherchent à rejeter cette réalité historique.
Les wahhabites sont un groupe qui se tandis que les «musulmans» dans la pratique, appeler, leurs idéologies et les croyances se distancient des principes de l’Islam.
Religieux wahhabites, pendant l'occupation de l'Irak par les forces étrangères sous commandement américain, ont été les principaux moteurs de la discorde tribale dans le pays arabe.
En outre, une grande partie de la violence et les écarts entre les différents groupes religieux en Syrie en raison des wahhabites, qui avec leur argent armer les groupes terroristes dans ce pays arabe.
Syrie: un jeune rebelle belge très médiatisé de retour en Europe
Jejoen Bontinck, un Belge de 18 ans parti se battre en Syrie au début de l'année et que son père avait tenté de rapatrier, est rentré en Europe, aux Pays-Bas, et s'apprête à rejoindre son pays.
Interrogé aux Pays-Bas par la télévision flamande VRT, il a assuré ne pas s'être battu aux côtés de rebelles en Syrie, mais avoir transporté des médicaments.
Il a ajouté qu'il se livrerait lundi à la justice belge et qu'il était prêt à aller en prison s'il le fallait.
Très médiatisé au printemps, le cas de ce jeune issu d'un milieu catholique et converti à l'islam radical avait révélé aux yeux du public belge l'existence de filières de recrutement de volontaires pour combattre la Syrie.
En février, le jeune Anversois avait dit à ses parents qu'il partait en vacances aux Pays-Bas, alors qu'il s'apprêtait en fait à se rendre en Syrie. Son père, Dimitri Bontinck, un ancien militaire, s'est rendu en Syrie à deux reprises pour rechercher son fils, en vain.
Depuis, et alors que plusieurs dizaines de jeunes Belges, comme des centaines d'autres Européens, ont rejoint les rangs des rebelles syriens, où certains ont trouvé la mort, le sort du jeune homme restait mystérieux.
A la télévision et dans une interview au quotidien flamand Het Laatste Nieuws, il n'explique pas comment il est revenu en Europe. Mais il livre des raisons à son départ. En tant que musulman, j'estimais de mon devoir d'aller aider mes frères en Syrie, a-t-il dit au quotidien.
Comme d'autres volontaires, il sera vraisemblablement interpellé à son retour en Belgique et interrogé par la justice, qui enquête sur les filières de volontaires.
Pour son père, Jejoen a été endoctriné par un groupuscule radical, Sharia4Belgium, dont le dirigeant, Fouad Belkacem, est actuellement emprisonné en Belgique. Mais selon d'autres volontaires rentrés de Syrie, Jejoen a lui-même joué un rôle actif dans le recrutement de volontaires à Anvers, a expliqué vendredi le quotidien De Standaard.
Les activités du jeune homme en Syrie devraient beaucoup intéresser les enquêteurs belges. Des vidéos diffusées sur internet avaient montré des combattants à l'entraînement s'exprimant en néerlandais et en français avec des accents belges.
La Belgique a depuis lors procédé à des perquisitions dans les milieux iextrémistes et pris des mesures pour endiguer les départs.