
تقي زاده
"L'Iran détient des forces partout dans le monde "!!! (Moshe Yaalon)
Il s'agit, visiblement, d'une hantise, qui, de génération en génération, s'empare des dirigeants israéliens! Ainsi, au cours de sa rencontre avec le chef d'état-major canadien,
le ministre sioniste de la Guerre, Moshe Yaalon a dénoncé un Iran, "qui est impliqué dans tous les conflits" !! "L'Iran envoie des forces, dans différentes régions de la planète (!!!) et veut exporter sa révolution, non seulement, dans les pays de la région, mais aussi, dans le monde entier (!!)", s'est plaint Yaalon, auprès de son homologue canadien. "Aroutz Sheva", qui rapporte cette information, dévoile, aussi, le portrait d'un ministre sioniste, particulièrement, "nerveux", qui tape, peut-être, le poing sur la table, en exigeant qu'un plan de guerre soit concocté et mis en oeuvre contre l'Iran : "Les sanctions économiques n'ont pas pu arrêter le programme nucléaire iranien, il faut un plan d'attaque, qui devra être mis en application, en dernier recours". Les délires de Yaalon ne trompent plus personne. L'Iran n'a pas besoin de détenir des troupes, des agents ou des forces, à travers le monde, vu qu'il n'occupe aucun pays, n'a aucune ambition hégémonique, aucun dessein de domination du monde!
Pourquoi Assad ne tombe pas ?
Bachar al-Assad jouit du soutien populaire et du soutien d'une armée puissante, a reconnu le ministre espagnol des Affaires étrangères, en expliquant les raisons pour lesquelles Assad ne tombe pas. "Il y a, aussi, la Russie, qui continue à rester à ses côtés".
José Manuel García-Margallo, en visite, au Liban, où il doit rencontrer les autorités de ce pays, s'est entretenu, au palais présidentiel, avec le Président libanais, Michel Sleimane, de la situation générale, dans ce pays, et des relations bilatérales. Ils ont, également, examiné la question des réfugiés syriens, au Liban, les contacts effectués par ce pays, pour la tenue d'une conférence internationale, sur la situation de ces réfugiés syriens, et l'importance des soutiens des pays voisins de la Syrie, dans ce droit fil. Sleimane a salué la présence de l'Espagne, au sein des forces internationales de la FINUL, dans le Sud du Liban, en souhaitant
Rebélion syrienne: Destruction du minaret de la Grande Mosquée d'Alep
Le minaret de la Mosquée des Omeyyades d'Alep, joyau historique de cette métropole du nord de la Syrie, s'est effondré mercredi.
Le minaret de la mosquée historique des Omeyyades, autour duquel de violents combats se sont déroulés durant des mois, s'est effondré mercredi, a indiqué l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) sans autre précision.
La Mosquée des Omeyyades se situe dans la Vieille ville d'Alep, classée au patrimoine mondial de l'Unesco.
La télévision d'Etat a affirmé que des combattants du Front jihadiste Al-Nosra ont fait sauter le minaret de la mosquée d'Alep puis l'ont filmé (...) pour ensuite faire endosser (les dégâts) à l'armée syrienne.
Il se peut que le minaret se soit effondré tout seul en raison de la violence des combats au cours des derniers mois, a indiqué de son côté Rami Abdel Rahmane, directeur de l'OSDH.
Le 28 février, les rebelles se sont emparés de cette mosquée construite au 8e siècle, puis rebâtie au 13e siècle, après le retrait de l'armée.
La mosquée, également connue sous le nom de Grande mosquée d'Alep, avait déjà subi d'importants dommages à l'automne 2012 à la suite de combats entre rebelles et soldats.
Des reliques appartenant selon la tradition au prophète Mahomet, trois cheveux et un fragment de dent, avaient alors été subtilisées. Outre l'architecture superbe des lieux, ces reliques étaient l'une des principales attractions du lieu saint.
L’Islam n’est pas ce qui est présenté dans les écoles occidentales
En lisant des livres sur l’Islam et surtout le chiisme, je me suis rendu compte que l’Islam n’était absolument pas ce qui est présenté en Occident notamment dans les écoles américaines et suédoises.
La Suédoise Céclilia Hedstorm qui a passé son enfance aux Etats-Unis a fourni des explications, lors d’un entretien avec l’Agence Internationale de Presse Coranique, sur la manière dont elle s’est convertie à l’Islam et au chiisme.
Elle explique: « Avant de me familiariser avec l’Islam, je croyais, comme la majorité des Suédois, en un esprit transcendant et pas en Dieu. »
« Après avoir rencontré un musulman en 1997, raconte-t-elle, j’ai constaté la manière dont il faisait ses prières. Je lui ai posé des questions et il m’a répondu : « Il semble peut-être que je fais du sport, mais ce n’est pas ça. Si vous voulez avoir plus de renseignements je peux vous offrir des livres sur l’Islam et si vous avez des questions, posez-les. »
Cécilia Hedstorm ajoute : “J’ai lu différents livres sur l’islam et surtout sur le chiisme. En lisant ces livres, je me suis rendu compte que l’Islam n’était absolument pas ce qu’on présentait dans les écoles aux Etats-Unis et en Suède. »
La Suédoise qui vient d’embrasser l’Islam a expliqué : « J’étais très étonnée en lisant sur la place des femmes dans le Coran qui a été révélé il y a 14 siècles. J’ai compris pourquoi les chiites pleurent encore l’Imam Hussein(AS) après plus de 1000 ans après son martyre. »
Elle a ajouté : « Après avoir réfléchi sur tout ce que j’avais appris de l’Islam, j’ai décidé de me convertir à l’Islam. Je me souviens très bien de la première fois que j’ai accompli la prière. C’était au moment où mon époux était venu en Iran pour revoir sa famille. Je ne connaissais pas encore la manière dont on fait sa prière, c’est pourquoi je me suis assise sur le tapis de prière et j’ai parlé à Dieu. Après la fin de la prière, je sentais un profond calme en moi. »
Cécilia Hedstorm explique : « Malheureusement en raison des mauvaises idées faites sur l’Islam surtout sur le chiisme, ma famille était contre mon mariage et ma conversion à l’Islam. Mais je ne la considère pas comme responsable. Les vrais responsables ce sont les vastes propagandes négatives faites autour de l’Islam en Occident. »
« Dès ma première arrivée en Iran en 2000, j’ai dit à mon époux que l’Iran c’est le pays où je voulais vivre. Ce sentiment se renforçait en moi à chaque fois que je venais en Iran. De même, je voulais que mes enfants aient la chance de connaître leur religion et l’Ahl-ul-Bayt(AS). Le seul pays qui leur offre cette chance c’est l’Iran », affirme Hedstorm.
« Je vis depuis 9 mois à Téhéran, ajoute-t-elle, et mes enfants avouent qu’ils ne veulent plus quitter l’Iran. »
Cette femme chiite souligne : « Les discriminations et les mauvais comportements envers les musulmans sont un grand problème dont souffrent les musulmans dans les pays occidentaux et en Suède. Malgré les slogans de coexistence pacifique, le problème persistera tant que les gens n’essaieront pas de s’informer sur les autres religions et cultures. »
La Chine, la Russie, le Venezuela et l'Iran: la solution de la crise en Syrie réside dans la voie pacifique et politiques et via un dialogue national global
Le représentant permanant de l'Iran à l'ONU, Mohammad Khazaee, a affirmé que la solution de la crise en Syrie est dans le renforcement des choix politiques et pacifiques pour mettre fin à la violence et amorcer un dialogue national global entre l'opposition et le gouvernement syrien.
Dans son intervention devant le Conseil de Sécurité de l'ONU, tenue hier pour discuter des développements au Moyen-Orient, Khazaee a indiqué que toute intervention militaire en Syrie aggravera la crise et attisera la tension dans les pays de la région, soulignant que toute éventuelle décision d'intervention militaire au Moyen-Orient serait au profit de l'extrémisme, du confessionnalisme et du terrorisme.
En tant que chef du centre de coordination du mouvement de non- alignement, Khazaee a exprimé l'inquiétude du mouvement de la violation de l'accord de 1974 concernant le Golan syrien occupé, appelant l'entité sioniste à s'y retirer totalement et à appliquer la décision des Nations Unies no 497.
De même, il a exprimé la condamnation du mouvement des pratiques sauvages de l'entité sioniste contre le peuple palestinien, faisant état de la croissance du nombre des réfugiés palestiniens en Cisjordanie du fait de l'élargissement de la colonisation et de la violence pratiquée par les colons contre les citoyens palestiniens.
De même, Khazaee a incité, à cet effet, la communauté internationale à mettre au point une initiative pour s'en finir avec les activités coloniales.
Il a, par ailleurs, réitéré l'engagement de Téhéran aux principes du pacte des Nations-Unies interdisant la menace ou l'utilisation de la force contre n'importe quel Etat membre à l'ONU.
La Chine insiste sur un processus politique conduit par la Syrie pour résoudre la crise. Le délégué permanent de la Chine auprès des Nations Unies, Li Baodong, a affirmé que son pays insiste sur le règlement de la crise en Syrie via un processus politique conduit par elle même.
Citée par /Xinhua/, Baodong a appelé, lors d'une séance tenue la nuit dernière au Conseil de sécurité et consacrée à la situation au Moyen Orient, toutes les parties concernées à appliquer, le plus tôt possible, un cessez-le-feu et à mettre fin à la violence conformément à la déclaration de Genève pour lancer un dialogue politique et un processus de transition politique sous une direction syrienne".
Il a aussi appelé à prendre des mesures pour régler le conflit palestino-israélien, émettant l'espoir que toutes les parties concernées règlent leurs conflits via les négociations conformément aux résolutions des Nations Unies ad hoc.
Il a réitéré l'appui de son pays aux droits palestiniens légitimes et à l'établissement d'un Etat indépendant et souverain. "La Chine est prête à œuvrer avec la communauté internationale pour jouer un rôle constructif dans la réalisation de la paix globale au Moyen Orient", a-t-il assuré.
Tchourkin: La décision de l'UE d'importer le pétrole de l'/opposition syrienne/ constitue une transgression de la loi internationale
Le délégué permanent de la Russie auprès des Nations Unies, Vitali Tchourkin, a affirmé que la décision de l'Union Européenne d'importer le pétrole syrien de l'/opposition syrienne/ constitue une transgression de la loi internationale et une violation de la souveraineté syrienne, la qualifiant de "dangereuse".
Dans une intervention lors d'une séance du Conseil de sécurité consacré à la situation au Moyen Orient, Tchourkin a exprimé son vif étonnement de cette décision dangereuse.
Il a affirmé que le pari sur la guerre jusqu'au bout en Syrie va aggraver la situation et accroîtrait les risques du terrorisme.
Il a aussi critiqué les partisans de l'opposition qui ont avancé une résolution très nuisible sur la Syrie à l'Assemblée de l'Onu.
"La mission essentielle en Syrie réside actuellement dans l'obligation de toutes les parties à arrêter la violence, à se mettre autour de la table du dialogue et à s'accorder sur la formation d'une direction de transition conformément à la déclaration de Genève", a-t-il assuré.
Il a qualifié de "non cohérentes et non transparentes" les résolutions du secrétariat général de l'Onu concernant l'enquêté sur l'usage des armes chimiques en Syrie, appelant à refuser les tentatives de détourner l'attention sur la demande avancée par le gouvernement syrien pour ouvrir une enquête sur l'usage des armes chimiques près d'Alep le 19 mars dernier.
Venezuela condamne les ingérences de certains pays dans les affaires intérieures de la Syrie. Le Venezuela a condamné les ingérences étrangères dans les affaires intérieures de la Syrie via la militarisation des groupes armés et affirmé son refus de ces ingérences qui constituent une violation fragrante des principes de la souveraineté et de l'indépendance politique syrienne.
Lors de la séance du Conseil de sécurité consacrée à la situation au Moyen Orient, le délégué permanant vénézuélien a affirmé que "la seule issue de la crise en Syrie est le dialogue entre les Syriens eux-mêmes".
Il a par ailleurs condamné les pratiques israéliennes contre le peuple palestinien, la détention arbitraire, la construction de colonies dans les territoires occupés et l'embargo imposé à la bande de Gaza.
Syrie : les services d’espionnage occidentaux, sources de discorde
En Syrie, les parties étrangères mettent de l’huile sur le feu et ne cessent de fomenter des complots contre Damas et cela de manière si évidente que même les opposants au gouvernement syrien viennent de le reconnaître. Le président démissionnaire de la Coalition des opposants syriens, Moaz al-Khatib, a reconnu que des dizaines de services d’espionnage occidentaux, présents en Syrie, se trouvaient derrière l’enlèvement des deux évêques syriens à Alep. Selon Al-Khatib, les auteurs de cet enlèvement cherchent à semer la discorde en Syrie. Dans le même temps, l’émissaire spécial de l’ONU et de la Ligue arabe en Syrie, Lakhdar Brahimi, fait part de la présence de 40.000 guerriers en Syrie. Epaulés par l’Occident et ses alliés régionaux comme l’Arabie saoudite et le Qatar, les terroristes sèment non seulement le chaos en Syrie, mais en plus ils ne lésinent sur aucun crime contre la nation syrienne. Le trafic d’organes des corps des Syriens constitue un crime odieux dans lequel certains pays occidentaux sont impliqués. Il est à noter que certains responsables turcs et français sont aussi impliqués dans le trafic d’organes des corps des Syries.
Tout au long de ces deux dernières années, le front arabo-occidental a beaucoup tenté de se poser en avocat des droits de la nation syrienne mais à présent les crimes, les politiques bellicistes et la discorde semée par ce front sont tellement flagrants que même les opposants à Damas se voient obligés de lever un coin du voile des réalités en coulisse de cette crise.
Dans la conjoncture actuelle, les Etats-Unis battent toujours le tambour de guerre et ils appellent la communauté mondiale à apporter son soutien aux rebelles. Cela fait deux ans que les Etats-Unis profitent de tous leurs moyens, dont le Conseil de sécurité, l’ONU, l’UE et l’Otan, pour renverser le gouvernement Assad. Ce qui se passe actuellement en Syrie ne ressemble nullement au soutien aux revendications populaires mais représente en effet une crise, une guerre et un crime odieux. Une crise qui a détruit les infrastructures de la Syrie. Par ailleurs, les Etats-Unis et le front arabo-occidental cherchent à neutraliser les efforts de Lakhdar Brahimi, visant à régler la crise syrienne d’une manière pacifique, ou à l’obliger à démissionner. Lakhdar Brahimi, s’abstenant de démissionner, balaie d’un revers de main toutes les rumeurs concernant sa démission. En dépit des allégations de Washington et de l’Occident, Lakhdar Brahimi assure que la crise en Syrie ne sera pas réglée par une solution militaire et que le règlement négocié reste la meilleure voie pour soutenir les Syriens.
Silence sur les télés françaises : deux évêques enlevés en Syrie…,
Les médias français sont actuellement très pris par la polémique sur «le mariage pour tous». Il n'y a donc (presque) pas de place pour une autre actualité. Surtout celle qui porte sur l'enlèvement de deux évêques sur la route d'Alep en Syrie. Qui a écouté les bulletins d'information des chaînes françaises ces deux derniers jours pour tenter d'avoir du nouveau sur cette affaire dramatique qui constitue un tournant dans le conflit sanglant qui ravage la Syrie depuis deux ans ou au moins pour entendre une condamnation officielle, médiatique et populaire d'une telle pratique, a été déçu. Les deux évêques qui ont voulu rester dans ce pays déchiré pour aider la communauté chrétienne forte de deux millions de personnes et lui donner du courage et de l'espoir, mais aussi pour tenter de maintenir un semblant de diversité dans la Syrie menacée par le Front al Nosra et ses alliés, ne méritent pas une phrase dans les bulletins des chaînes françaises. Que le Pape François du Vatican ait condamné leur enlèvement et que l'un des évêques soit le propre frère du patriarche grec orthodoxe d'Antioche ne mérite pas non plus d'être relevé, pour ces médias qui se veulent à la pointe de l'actualité. N'ont-ils pas été ainsi les premiers à parler de l'attentat déjoué au Canada et préparé, selon la thèse officieuse, par Al Qaëda basée en Iran ? Naturellement, ces fins connaisseurs de l'actualité internationale et moyen orientale que sont les médias audiovisuels français n'ont pas cherché à aller plus loin dans l'information, la reproduisant telle qu'elle est arrivée sans s'interroger sur la possibilité pour Al Qaëda, un groupe extrémiste takfiri, de s'implanter en Iran considéré par ces mêmes extrémistes comme leur ennemi juré? Il a fallu par exemple sur la chaîne Canal Plus, que le chroniqueur international de «la matinale» (le programme d'information du matin) s'élève contre cette information pour que l'équipe du bulletin décide d'en parler quelques secondes. Le chroniqueur s'est donc demandé comment Al Qaëda pourrait avoir pignon sur rue à Téhéran et les autres journalistes l'ont regardé en faisant les yeux ronds : «ah bon, cela ne va pas ensemble ? L'information ne serait donc pas plausible ?», se sont-ils exclamés, sans toutefois donner du temps au chroniqueur pour de plus amples explications. Les médias audiovisuels français qui ne manquent ni de confiance en eux ni de certitudes, ne veulent surtout pas comprendre la complexité de la région du Moyen Orient et celle des religions dont elle est le berceau. Pour eux, c'est tellement plus simple de faire des amalgames : terroristes, Iran, Al Qaëda. Et la question est réglée. En Syrie, c'est la même chose : l'opposition est composée de héros et c'est le régime qui commet les pires exactions. C'est pourquoi, ces médias préfèrent occulter l'enlèvement des deux évêques par un groupe de Tchétchènes qui combattent dans les rangs de l'opposition syrienne. Car dire que l'opposition tant chantée, aidée et louée peut regrouper des combattants extrémistes qui font preuve de barbarie et s'en prennent désormais aux hommes de religion chrétiens c'est aller à l'encontre de ce qu'ils n'ont cessé de clamer depuis plus de deux ans à leurs téléspectateurs...
Par contre, ces médias ont trouvé le temps de parler en long et en large de la banderole brandie par de jeunes syriens à Boston, après l'attentat du marathon et dans laquelle les Syriens exprimaient leur solidarité avec les Bostoniens, en leur rappelant que de tels attentats se produisent chez eux chaque jour. Les télés ont ensuite allongé l'information en mettant en avant la réponse des Bostoniens qui ont à leur tour exprimé leur solidarité avec les Syriens «qui se battent pour la liberté et la démocratie contre un régime totalitaire et violent». Comme si les attentats à la voiture piégée et les obus contre l'université de Damas et d'autres agressions du même genre étaient le fait des forces du régime. Encore heureux que ces médias n'aient pas choisi d'ajouter «la solidarité des survivants de l'Holocauste» avec le peuple syrien !!! Etonnant d'ailleurs qu'Israël n'ait pas été mentionné, parce qu'en général c'est à cette entité que se limite l'intérêt de la plupart des chaînes occidentales pour la région. Le professionnalisme, le souci de la vérité et le minimum d'humanité, c'est désormais ailleurs qu'il faut le chercher. Heureusement que les deux évêques et les Syriens en général ne comptent pas sur ces médias pour obtenir leur libération des combattants de l'extrémisme et de ceux qui veulent dénaturer la Syrie. Leur foi sera sans doute plus efficace et en tout cas plus sincère.
Une première erreur d'Israël, dans le sens d'attaquer l'Iran, sera sa dernière erreur... (Ahmad Vahidi)
Le Ministre iranien de la Défense a mis en garde le régime le régime sioniste et ses alliés contre les conséquences regrettables de toute attaque contre l'Iran.
Cité par Fars News, le Ministre iranien de la Défense, le Général Ahmad Vahidi, a affirmé, aujourd'hui, dans un déplacement dans la province d'Ispahan, qu'une première erreur d'Israël, dans le sens d'attaquer l'Iran, serait la dernière erreur de ce régime. Toujours selon Ahmad Vahidi, les sanctions économiques sont la dernière option qu'ont essayée les ennemis de l'ordre de la République islamique. « Pour faire déjouer les pressions économiques des ennemis, l'Iran réduit rapidement le niveau de la dépendance aux revenus pétroliers, en essayant à la fois de développer les industries et les productions intérieures, », a-t-il ajouté.
Quels sont les trois Etats qui pourront attaquer l'Iran?
La visite de Chuck Hagel, le secrétaire américain à la Défense, en Israël, ne cesse d'alimenter des rumeurs, sur des plans d'attaque contre l'Iran.
Certaines analyses évoquent l'intention de Hagel de renforcer l'alliance entre les trois pays, qui seront impliqués, dans une éventuelle guerre contre l'Iran. Mais quels sont ces trois pays ? Israël, les Emirats arabes unis et l'Arabie saoudite. Hagel envisage de signer un contrat d'armement, d'une valeur de 10 milliards de dollars, avec les trois pays en question, qui comprend des armements sophistiqués, des avions de combat. Debka file, le site proche des milieux du renseignement, au sein de l'armée israélienne, s'attarde sur ce contrat, et explique que la raison du choix de ces trois Etats réside dans le fait qu'ils sont les seuls parmi les alliés des Américains à pouvoir attaquer, militairement, l'Iran! Le raisonnement du site est simple : les Etats Unis n'ont pas encore envie de s'impliquer, directement; dans une guerre contre l'Iran, d'où leur souhait de pousser ces trois pays vers une confrontation directe avec les Iraniens. D'autres commentateurs sont plus sceptiques : en effet, à part Israël, les deux autres pays n'ont, ni la taille, ni la compétence nécessaire, pour mener une offensive militaire contre l'Iran. S'il est vrai que les Emirats et l'Arabie saoudite se sont constitués un gros arsenal, grâce à l'argent du pétrole, il n'en reste moins vrai que la main d'oeuvre qualifiée, pour manier autant de joujous guerriers sophistiqués leur manquent cruellement. Quant à Israël, qui est, certes, mieux adapté aux techniques guerrères, pour être né, pour faire la guerre, il lui faut sans nul doute l'appui et l'assisstance américaine, pour lancer sa guerre. Au cours de leurs conférences de presse, les ministres américain et israélien de la Guerre ont, d'ailleurs, mis l'accent sur la nécessité d'entre-aide et de coopération entre les deux pays, dans tous les domaines; et du fait que Netanyahu est parfaitement conscient des limites, au-delà desquels il ne peut pas pousser ses prérogatives. Reste que le contrat de 10 milliards que Hagel veut faire signer aux trois pays précités permettrait d'insuffler une petite bouffée d'air à l'économie agonisante de la première puissance mondiale.
La conférence des oulémas de la communauté et l’éveil islamique se tiendra avec la participation de plus de 500 personnalités étrangères
Le secrétaire de la conférence mondiale des oulémas et l’éveil islamique a fait état lors d’un point de presse tenu mardi 23 avril à Téhéran, de la participation de plus de 500 oulémas du monde de l’Islam à la « conférence des oulémas de la communauté et l’éveil islamique ».
Lors de ce point de presse, tenu au centre des recherches Bagher ol Oloum, à Téhéran, le secrétaire de la conférence mondiale des oulémas et l’éveil islamique, Ali Akbar Vélayati a présenté un rapport des précédentes conférences.
Il a indiqué : « En 2011, lorsque la nouvelle vague de l’éveil islamique s’est lancée dans les pays arabes, notamment dans les pays de l’Afrique du Nord, comme le héraut de l’éveil islamique, le Guide Suprême de la Révolution Islamique a annoncé que ces soulèvements étaient des soulèvements islamiques qui ramèneraient l’honneur à la communauté islamique et couperaient la main de l’ennemi et de l’arrogance. »
« Après le lancement de cette vague, la première réunion de la conférence s’est tenue le 18 septembre 2011 pour donner naissance à l’assemblée générale de la conférence de l’éveil islamique. Des oulémas des différentes écoles islamiques venus de 80 pays avaient participé à la conférenceé», a-t-il souligné.
Faisant allusion à ce que plusieurs conférences axées autour de l’éveil islamique ont déjà été organisées, Vélayati a affirmé : « La Conférence de la Jeunesse et l’Eveil Islamique, la Conférence des Femmes et l’Eveil Islamique, la Conférence des Professeurs et Universitaires du Monde de l’Islam et l’Eveil Islamique ont déjà été organisées. »
Le secrétaire de la conférence mondiale des oulémas et l’éveil islamique a expliqué : « Cette conférence sera la plus importante conférence sur l’éveil islamique et la question syrienne y sera examinée. Les musulmans doivent savoir que les pays qui n’ont pu réaliser leurs objectifs en Syrie par l’agression, ont l’intention de les réaliser en semant la discorde. »
Le secrétaire de la conférence des oulémas de la communauté et l’éveil islamique, l’ayatollah Taskhiri a ensuite pris la parole, indiquant : « Du point de vue de l’Islam, toutes les évolutions de l’histoire islamique doivent se produire sous l’égide des oulémas et être dirigées par eux afin d’éviter qu’elles sortent du chemin de l’Islam. »
« Après les Prophètes et les Imams, il incombe aux oulémas de diriger la société et sur cette même base, nous essayerons de franchir des pas vers une juste orientation de la communauté en établissant un dialogue entre les oulémas du monde de l’Islam. »
L’ayatollah Taskhiri a émis l’espoir que de bons pourparlers auront lieu en vue de mieux orienter l’éveil islamique, au cours de cette conférence à laquelle participeront les oulémas des différentes écoles même ceux du soufisme et du salafisme.