تقي زاده

تقي زاده

Le prochain volet des négociations entre l'Iran et l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) sur le programme nucléaire iranien se tiendra le 15 mai prochain à Vienne, a annoncé le délégué permanent de la République islamique auprès de l'AIEA.

Un nouveau round de négociations entre l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et l'Iran au sujet du programme nucléaire de Téhéran se déroulera le 15 mai prochain à Vienne, en Autriche, a annoncé le délégué permanent de la République islamique auprès de l'AIEA, Ali Asghar Soltanieh,en ajoutant que l'accord de reprendre les négociations montre la détermination politique et la bonne volonté de l'Iran pour coopérer avec l'AIEA en vue de résoudre les ambiguïtés et prouver les allégations infondées de certains pays et que les activités nucléaires de l'Iran sont pacifiques.

Ali Asghar Soltanieh conduira la délégation iranienne lors de ces négociations.

La dernière rencontre entre Téhéran et l'AIEA remonte au 13 février dernier. Les parties se sont alors entretenues du dossier nucléaire, évoquant notamment la collaboration sur le site militaire de Parchin, sans toutefois parvenir à un accord.

Depuis 2003, les Six médiateurs internationaux sur le dossier nucléaire iranien (Russie, Etats-Unis, Grande-Bretagne, France, Chine et Allemagne) œuvrent conjointement avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) pour amener Téhéran à suspendre ses travaux d'enrichissement d'uranium susceptibles de mettre en danger le régime de non-prolifération nucléaire.

 

Le Conseil de l'UE a adopté la décision d'autoriser l'achat de pétrole aux rebelles syriens, ainsi que les investissements et la vente d'équipements pour l'extraction du pétrole en Syrie.

« Cela sera compliqué dans les conditions actuelles, mais il est important d'envoyer un signal politique positif », a déclaré William Hague, ministre britannique des Affaires étrangères.

Bien que les rebelles syriens aient déclaré contrôler 70 % des gisements pétroliers dans le nord-est de la Syrie, l'extraction y est faite par à-coups, les rebelles préfèrant incendier les puits se trouvant dans des zones de combat.

Cette décision semble comme une source de financement pour les rebelles syriens auxquels des pays occidentaux veulent verser plus d'arme.

Un attentat a visé mardi l'ambassade de France à Tripoli, blessant deux gardes français dont un grièvement, et provoquant d'importants dégâts, selon une source à l'ambassade française.

Une source de sécurité libyenne a affirmé que l'explosion, survenue à 07H00 (05H00 GMT), était due à une voiture piégée.

Selon un correspondant de l'AFP sur place, le bâtiment abritant les locaux de la chancellerie a été fortement endommagé et une partie du mur d'enceinte a été détruite. Deux voitures garées devant l'ambassade étaient complètement calcinées.

Une source à l'ambassade de France a affirmé que deux gardes avaient été blessés, l'un grièvement et l'autre n'ayant que quelques égratignures.

Il ne reste plus rien de mon bureau, a déclaré à l'AFP une employée française de l'ambassade installée dans une villa à deux étages située au coin d'une rue du quartier résidentiel de Gargaresh.

On a entendu une forte détonation à 07H00. C'était une très grave erreur d'installer l'ambassade de France dans notre quartier, a dit l'un des voisins accourus sur les lieux.

Les forces de sécurité tentaient de faire évacuer les lieux et de bloquer le périmètre.

En raison de la puissance de l'explosion, deux villas en face de l'ambassade ont subi d'importants dégâts et les vitres d'un commerce, 200 mètres plus loin, ont été soufflées. La rue devant la chancellerie a été inondée d'eau vraisemblablement en raison de l'explosion d'un tuyau.

Aucune indication n'a pu être obtenue dans l'immédiat sur les motifs ou les auteurs de cet attentat.

En 2011, la France dirigée par Nicolas Sarkozy avait, avec la Grande-Bretagne, a conduit une coalition -relayée par la suite par l'Otan- qui a mené des raids aériens contre les forces du régime de Mouammar Kadhafi pour aider la rébellion au sol.

Cette opération avait permis de venir à bout du régime de Mouammar Kadhafi tué en octobre 2011 à l'issue d'un conflit de huit mois.

Mais depuis sa chute, l'insécurité est persistante dans le pays, particulièrement dans la région de Benghazi (est) frappée par des attentats et et assassinats ayant conduit les Occidentaux à évacuer la ville. Un attentat contre le consulat américain à Benghazi en septembre 2012 a tué l'ambassadeur et trois autres Américains.

Ces violences sont souvent imputées à des radicaux, pourchassés sous Kadhafi et qui règlent leurs comptes. La sécurité demeure l'apanage de milices dans un nombre de secteurs importants, qu'il faut intégrer dans l'armée ou la police.

A cela s'ajoute un contexte régional marqué par le conflit au Mali où l'armée française est intervenue à la demande des autorités de Bamako, à la suite d'une offensive vers le Sud en janvier.

Le secrétaire d'Etat américain John Kerry a annoncé samedi à Istanbul que son pays fournirait 123 millions de dollars américains supplémentaires en assistance militaire à l'opposition syrienne.

M. Kerry a fait cette promesse, qui porterait le montant total de l'aide à 250 millions de dollars, lors d'une conférence de presse tenue à l'issue d'une rencontre à Istanbul réunissant 11 ministres des Affaires étrangères de pays arabes et occidentaux.

L'aide américaine se concentrerait sur le soutien de dirigeants syriens locaux dans la préparation de l'avenir démocratique de la Syrie, a déclaré le chef de la diplomatie américaine.

L'aide devrait également comporter pour la première fois des véhicules blindés, des gilets pare-balles, des lunettes de vision nocturne ainsi que d'autres équipements militaires.

M. Kerry a mis l'accent sur l'idée que les "Amis de la Syrie" et la Coalition d'opposition partageaient la vision d'une transition pacifique.

La rencontre d'une journée a réuni les ministres des Affaires étrangères de la Turquie, des Etats-Unis, de la Grande-Bretagne, du Qatar, de l'Arabie saoudite, de la Jordanie, de l'Egypte, des Emirats arabes unis, de l'Italie, de l'Allemagne et de la France -- le dénommé "noyau" des "Amis de la Syrie".

Un communiqué conjoint a été diffusé à l'issue de la rencontre, appelant à une solution politique développée dans le cadre du communiqué de Genève et exhortant le président syrien Bachar al-Assad à céder son poste, n'ayant pas sa place dans le futur du pays.

Plus de 70 000 personnes ont été tuées et quelque 1,3 million de Syriens se sont réfugiés dans des pays voisins depuis l'éclatement de la crise déclenchée par la rebélion il y a deux ans.

350 foyers de la mémorisation du Saint Coran lancent leurs activités dès le mois de juillet par le ministère égyptien des legs pieux et des affaires islamiques, dans les mosquées des centres des provinces égyptiennes.

Le nombre des foyers coraniques dans les mosquées des différentes provinces égyptiennes dépendra de la population de chacune des provinces et les imams de mosquée dépendant du ministère égyptien des legs pieux et des affaires islamiques surveilleront leurs activités.

Le directeur du département des affaires coraniques au ministère égyptien des legs pieux et des affaires islamiques a expliqué: « Le projet sera mis en œuvre en 7 niveaux et au premier niveau, cinq parties du Saint Coran seront mémorisées. »

Il a ajouté : « Les participants au projet coranique s’avanceront étape par étape pour participer aux niveaux plus élevés et au 7e niveau, ils réussiront à mémoriser la totalité du Saint Coran. »

« Le ministère égyptien des legs pieux et des affaires islamiques a pour objectif de favoriser le développement des activités coraniques chez les différentes catégories d’âge », a-t-il conclu.

Le ministre iranien des Affaires étrangères, Ali Akbar Salehi, a dénoncé les allégations du Canada qui attribue deux membres d'Al-Qaïda à l'Iran.

Répondant à la question du journaliste d'ISNA sur les allégations de la police canadienne a propos de deux membres du groupe terroriste d'Al-Qaïda en "Iran", arrêtés au Canada, accusés d'avoir essayé de sortir un train canadien de la voie ferrée, Ali Akbar Salehi a dénoncé cette information en déclarant: "après mes 64 ans de vie, je n'ai jamais entendu quelque chose aussi ridicule que "Al-Qaïda iranien". J'espère que les responsables canadiens réfléchissent un peu plus logiquement et qu'ils fassent plus d'attention aux compréhensions du peuple et les pensées publiques".

A propos du voyage récent du ministre américain de la Défense aux territoires occupés, le ministre iranien des Affaires étrangères a affirmé: "les Etats-Unis ne cherchent que ses intérêts et la vente des ses armes, alors que l'Iran a essayé, pendant les 34 ans derniers, d'instauré la stabilité et la paix régionale.

Les complots dans la région, les questions des chiites et des sunnites, la création des Talibans et l'Al-Qaïda, sont préparés par qui? Ce sont leurs centres sécuritaires de l'Organisation d'espionnage qui les ont préparés".

Sur les négociations entre l'Iran et les 5+1 (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Grande-Bretagne plus Allemagne) à Almaty2, M. Salehi a expliqué que selon les accords qui ont été faits par les deux parties, la cheffe de la politique étrangère de l'Union européenne, Catherine Ashton, devait discuté avec les ministres des Affaires étrangères des autres six pays et de communiquer les résultats au secrétaire du Conseil suprême de la sécurité nationale iranienne, Saïd Jalili, mais elle ne la pas encore faite.

Le président Bachar al-Assad a affirme que la situation en Syrie s'améliorait grâce à la fermeté du peuple syrien et à son soutien à l'armée arabe syrienne.

Rencontrant aujourd'hui une délégation de Partis, de forces et de personnalités libanais, avec laquelle il a discuté des derniers développements arabes et régionaux, précisément en Syrie et au Liban, le président al-Assad a affirmé qu'il n'y pas de trêve avec les groupes terroristes takfiris. "La Syrie affrontera avec fermeté le terrorisme sous toutes ses formes, tout en allant sur la voie de l'exécution du programme politique lancé pour résoudre la crise actuelle", a-t-il affirmé.

Le président al-Assad a tenu à souligner à cet effet que la force du Liban est dans sa puissance et non dans sa faiblesse, précisant que la richesse et la diversité politique, culturelle et sociale du Liban et de la Syrie sont un facteur de puissance de ces deux pays dans l'affrontement de l'invasion culturelle dont fait l'objet la région et dans l'avortement des plans de l'extérieur qui recherchaient un nouveau Sykes-Picot qui diviserait la région sur base confessionnelle et ethnique.

Il a par ailleurs affirmé que les événements que connaît actuellement la scène arabe affirme l'importance des idées "unificatrices", rappelant "le rôle pionnier" de la Syrie et le Liban dans ce sens notamment via les partis nationaux, arabes et nassériens, lequel avait contribué à propager et à renforcer l'esprit et le sentiment nationaux arabes.

"Nous avons aujourd'hui besoin plus que jamais d'investir ce rôle dans l'affrontement des tentatives de partition qui nous visaient", a-t-il insisté.

Les membres de la délégation ont affirmé l'attachement des Libanais à l'arabité et à la résistance et affirmé que "ce qu'affronte la Syrie vise en effet l'ensemble de la nation arabe ce qui fit que tous les peuples arabes sont concerné à faire échouer les plans qui visent le rôle national de la Syrie et l'islam modéré civilisateur qu'elle prône.

Ils ont exprimé la confiance que la Syrie restera le foyer et le défenseur de la résistance et affirmé leur soutien à la Syrie.

Les membres de la délégation ont rendu hommage aux martyrs du peuple et de l'armée arabes syriens, les qualifiant "la gloire et la dignité de la nation arabe.

Les tunnels de transfert d'eau du plus grand projet d'eau du Moyen-Orient sera officiellement mise en exploitation en Iran en présence du président iranien.

La pleine exploitation des tunnels de transfert d'eau se déroulera aujourd'hui (mardi) en présence du président Mahmoud Ahmadinejad dans l'Organisation du Traitement d'eau à Qom.

Ce projet de transfert d'eau du barrage de "Dez", dans la ville la plus proche de Dezful, au Nord-ouest de Khouzestan, à la ville de "Qamroud", situé à 20 km au nord de Qom, est le plus grand projet d'eau de l'Iran qui, en ensemble, fait 270 kilomètres de longueurs, y compris 56 kilomètres de tunnel, 180 km de pipeline en acier de 2000 millimètres et le barrage qui le rendent unique dans le Moyen-Orient.

Ces tunnels transfèrent l'eau du barrage de "Dez" à la ville de "Qamroud" et de là; elle se transféra aux villes du centre du pays tels que: Qom, Golpaygan, Khomeyn, Delijan, Mahalat et les autre ville de la province de Markazi.

Les relations qu'entretient Téhéran avec Caracas sont stratégiques et symbolisent le partenariat tel qu'il pourrait exister entre l'Iran et l'Amérique Latine, a affirmé le président Ahmadinejad avant de partir pour Caracas où il devra participer à la cérémonie d'investiture du président vénézuélien, Nicolas Maduro.

« Il est réjouissant de constater que les relations de la RII avec l'Amérique Latine s'acroissent de jour en jour et vont dans la bonne direction , a-t-il déclaré, hier jeudi soir, Mahmoud Ahmadinedjad, à l'aéroport de Téhéran. "Aujourd'hui le cercle des Etats latino américain qui se tiennent à leur indépendance ne cesse de s'élargir et Chavez reste le hérault de cette dynamique révolutionnaire qui a sillonné ces dernières années l'Amérique latine, a poursuivi le président iranien Mahmoud Ahmadinedjad, en allusion à l'héritassage inpérissable du défunt président vénézuélien , désormis compris et adopté par une majorité des pays du continent.

 

A l'occasion de la journée nationale de l'armée iranienne, le tout nouveau drone furtif iranien fabriqué par les ingénieurs et les spécialistes de la base aérienne de «Khayom-ol-Anbia», a été dévoilé.

Ce drone est appelé «Sarir» et il a été exposé, au cours du défilé annuel des forces armées, ce jeudi, le 18 avril. Ce drone, de longue endurance, est conçu, pour résister aux rayons, et il peut être doté d'armes et de caméras. D'autres acquis, dévoilés, lors de ce défilé, sont le canon 23 mm mobile, monté sur le véhicule tactique «Safir» ou encore le système de défense anti-balistique S-200, les systèmes de défense anti-missiles «Qader», «Ya Zahra», «Hague», ainsi que les radars «Chahab» et «Thamen».