تقي زاده

تقي زاده

Le président Rohani se joint aux Iraniens à l’occasion de la Marche grandiose du 11 février marquant l’anniversaire cette année des 40 ans de la victoire de la Révolution islamique.
 
« La Présence massive du peuple aux manifestations pour célébrer les 40 ans de la Révolution islamique d’Iran témoigne du fait que les complots de l’ennemis tramés depuis un an ont été tous déjoués et tombé à l’eau et que l’ennemi n’atteindrait jamais ses objectifs funestes».

« Nous n’avons demandé l’autorisation à personne et nous ne le demanderons à personne pour la production de nos divers types de missiles et nous poursuivrons notre chemin et nous nous renforcerons toujours sur plan militaire et défensif », a-t-il déclaré.

« La puissance militaire de l'Iran est incroyable pour le monde entier depuis 40 ans, et plus particulièrement depuis les 5 ans derniers ».

Aujourd'hui, le monde entier sait que le pouvoir de l'Iran islamique est supérieur par rapport aux jours et aux années du début la révolution.

Selon Palestine al-Youm, suite au meurtre de deux adolescents palestiniens par l'armée israélienne lors de la Marche du grand retour du vendredi 8 février, des jeunes Palestiniens de Cisjordanie et de Gaza, se sont rassemblés près de la barrière de la séparation  pour dénoncer Israël. Le rassemblement a provoqué la panique puisqu'il s'agit de l'une des premières manifestations où les jeunes cisjordaniens et gazaouis se tiennent les uns à côté des autres. En effet, le régime de Tel-Aviv fait face désormais à un nouveau front de combat ouvert en plein cœur des colonies sionistes en Cisjordanie.  

Selon cette source, les affrontements nocturnes aux frontières orientales de Gaza ont causé de violentes explosions dans la région d’al-Sayfa.

Les sources israéliennes ont également annoncé que les Palestiniens avaient brûlé des pneus de voiture et que les soldats israéliens avaient bénéficié des bombes incendiaires et des gaz lacrymogènes pour les disperser.

Lors de la Marche du grand retour de vendredi dernier un adolescent palestinien de 14 ans a été tué à l’est de Khan Younès dans le sud de Gaza et un autre Palestinien de 17 ans a été abattu dans le camp de Malaka à l’est de Gaza. Mais les tensions ont très vite gagné la Cisjordanie où la population ne reste plus différente aux victimes de l'agression israélienne à Gaza. Ces tensions ont poussé l'armée israélienne à arrêter ces derniers jours 22 autres Palestiniens dans différentes régions de la Cisjordanie.

Des sources israéliennes ont affirmé aussi avoir confisqué des armes aux Palestiniens, exprimant ainsi leur crainte suprême de voir la Cisjordanie entièrement "militarisée".

Poursuivant leurs exactions à l’encontre des peuples palestiniens qui ont renoué avec la lutte armée, les forces du régime israélien ont ainsi lancé une vaste offensive contre Ramallah, samedi, où elles ont pris d’assaut les domiciles et enlevé un Palestinien alors qu’il priait dans la mosquée Jamal Abdel Naser. Le Palestinien, selon les sources israéliennes, serait impliqué dans l'élimination  d’une femme colon , la dénommée Ori Anssbacher, tué à Qods.

Après avoir décidé de transférer les comptes bancaires pétroliers du Venezuela sur son sol, la Russie semble vouloir remplir ses engagements militaires envers Caracas plus tôt que prévu. 

Le président vénézuélien Nicolas Maduro a fait état d'une hausse d’investissement dans le domaine militaire. Plusieurs avions militaires russes, dont deux bombardiers stratégiques, étaient arrivés à Caracas en décembre et ont participé participé à des manœuvres militaires. 

Le président vénézuélien, Nicolas Maduro, qui a officiellement lancé dimanche les exercices militaires les plus importants du pays, a déclaré que Caracas ferait tous les investissements nécessaires pour doter son armée des équipements militaires dernier cri.

Avant le début des exercices, le président est arrivé dans l’état de Miranda, dans le nord du pays, pour examiner le matériel militaire, y compris les lance-roquettes fabriqués par la Russie et utilisés par les forces armées vénézuéliennes.

 

Les échecs du renseignement militaire israélien (Aman) se succèdent tout comme l'évènement qui s'est passé en novembre 2018 à Khan Younès. En effet, Israël cherche à faire passer son récent fiasco à Khan Younès pour une opération de collecte d’informations, sans pour autant dissimuler ses inquiétudes liées aux actes de représailles des Palestiniens. 

Tout de suite après que les Brigades Izz al-Din al-Qassam (branche armée du Hamas) eurent publié un communiqué confirmant l’infiltration manquée d’un groupe de forces d’élite de l’armée israélienne à Khan Younès pour assassiner un leader du mouvement Hamas, l’armée israélienne a démenti avoir l’intention de mener une opération d’assassinat ou d’enlèvement mais, le site d’information israélien Walla a écrit que les soldats israéliens avaient traversé le mur de sécurité et s’étaient rendus à Khan Younès aux profondeurs de la bande de Gaza dans le cadre d’une opération de collecte d’informations. L'opération s'est soldée par un échec: un officier israélien de haut rang a été tué. 

Dans ce même cadre, les appareils de sécurité de la bande de Gaza affiliée au Mouvement de la Résistance islamique de la Palestine, Hamas, ont arrêté, ce dimanche 10 février, un espion israélien dont la mission était de mener une « opération dangereuse ».

Selon le site web Al-Majd, proche de la Résistance, l’espion avait l’intention de connecter pendant trois minutes une clé USB à l’ordinateur d’un membre de la Résistance pour en retirer des informations.

 

Alors que le 14 février, Sotchi est hôte d'un nouveau sommet Russie-Iran-Turquie, les analystes jugent la situation particulièrement névralgique sur le terrain. L'armée syrienne a poursuivi lundi sa campagne militaire dans le nord-ouest de la Syrie, ciblant plusieurs zones contrôlées par les terroristes pro-Ankara dans le nord de Hama. Ce sont les repaires des terroristes près de la ville d'al-Janabah qui ont été pris pour cible. Mais les choses risquent de ne pas en rester là : l'action syrienne se complète par un volet russe, l’armée de l’air russe surveillant de près l’ouest d’Idlib où, selon Al Masdar News, les frictions sont bien palpables entre les groupes terroristes. 

Selon une source à Lattaquié, des avions à réaction russes survolent de près la situation dans les régions de Jabal al-Zawiyah et de Jisr al-Chughour à Idlib où Hay’at Tahrir al-Cham (Al-Nosra) et Tanzim Hurras al-Deen se trouvent au seuil d'une confrontation. Cette dernière milice est obédience qaidiste mais elle s'est dissociée d'al Nosra. Aux dires d'Al-Masdar, l’armée de l’air russe utilise largement ses avions espions Il-20, que l’on voit généralement survoler les positions des terroristes lorsqu’une offensive est imminente ou qu’une attaque au drone a visé l’aéroport Hmeimim.

À quoi rime cette action conjuguée syro-russe? 

Si une guerre venait à éclater entre les  groupes terroristes dans l’ouest d’Idlib, l’armée syrienne et ses alliés russes pourraient commencer à reprendre les terres à ces groupes. L’armée syrienne a lancé, le vendredi 8 février, de vastes opérations contre les positions des groupes terroristes affiliés au Front al-Nosra dans la banlieue de la cité de Tal-Manas au sud d’Idlib.

 

Au Venezuela, environ 700 forces spéciales de l’armée bolivarienne ont été transférées ce dimanche sur ordre de Nicolas Maduro à Estado Táchira, sur les frontières communes avec la Colombie en prévention d'une éventuelle attaque étrangère.

Certains médias occidentaux ont rapporté que l’armée vénézuélienne avait bloqué le pont de communication avec la Colombie voisine afin de bloquer l’arrivée des "aides humanitaires" internationales au Venezuela.

Maduro a réfuté la permission de l’arrivée des "aides humanitaires" dans son pays, estimant que cela pourrait servir de prétexte aux États-Unis pour lancer une intervention militaire au Venezuela. 

« Ils cherchent à nous expédier deux petits convois d’aides humanitaires alors que le Venezuela n’a pas besoin de leur charité. S’ils s’inquiètent vraiment pour nous, Washington devrait franchir un pas pour mettre fin au blocus et lever les sanctions imposées contre Caracas », a-t-il martelé.

Maduro lance les plus grands exercices militaires de toute l’histoire du Venezuela

Le président vénézuélien, Nicolas Maduro, a officiellement ordonné le lancement des plus grands exercices militaires qui dureront cinq jours.

Les militaires vénézuéliens se sont livrés depuis le dimanche 10 au vendredi 15 février aux plus grandes manœuvres rapides et tactiques militaires jamais lancées depuis 200 ans dans le pays.

Le président Nicolas Maduro (C) assiste à des exercices militaires au Fort Guaicaipuro, dans l'État de Miranda, au Venezuela, le 10 février 2019. ©AFP

« Les exercices militaires vont durer jusqu’au 15 février. Ils sont considérés comme les exercices les plus importants que Caracas ait jamais organisés au cours de son histoire vieille de 200 ans » a réaffirmé Maduro.

Les exercices militaires ont pour but de démontrer la puissance militaire afin de protéger Caracas face à toute éventuelle attaque.

Aucun État au monde ne demande la permission pour se défendre et l'Iran ne fait pas exception à la règle. À l'instar de tout autre pays souverain l'Iran dispose de quoi défendre sa souveraineté, son intégrité territoire et les intérêts suprêmes de sa nation. Sur ce sujet, l'Iran n'a pas à demander la permission de quelle que partie que ce soit, estime le chef d'état-major des forces armées, le général de division Baqeri. Le général est revenu aussi sur les images diffusées vendredi derniers mettant en scène une nouvelle cité balistique souterraine iranienne. 

"Les ennemis de l’Iran ont tort de faire trop de confiance en leurs capacités de renseignement et le dévoilement de la cité balistique iranienne vendredi en est la meilleure preuve, selon le général Baqeri qui s'exprimait  dimanche 10 février, en marge du salon d'exposition des acquis défensifs de l'Iran, au seuil du 40e anniversaire de la victoire de la Révolution islamique. Mille acquis iraniens dans le domaine de la défense, et impliquant quelque 45 organisations étatiques et universitaires y sont exposés.  

Le général de division Mohammad Baqeri ©Tasnim

« 40 ans de sanctions n'ont pas eu droit de notre volonté à être indépendants, et à ne pas tendre la main en direction des grandes puissances. Cette exposition réunit les fruits d'une partie de nos efforts dans les secteurs technique, scientifique, médical et en science humaine... Il y a là les acquis de nos recherches en nucléaire civile. Nous nous sommes toujours engagés par l'accord du juillet 2015. Mais la donne pourrait changer à tout moment  au regard des manquements de plus en plus larges d'autres signataires », a poursuivi le chef d’état-major des forces armées iraniennes.

 
Des millions d’Iraniens doivent descendre aujourd'hui lundi dans la rue à Téhéran et dans d’autres villes iraniennes pour participer à des manifestations à traves le pays pour célébrer le 40ième anniversaire de la victoire de la Révolution islamique d’Iran de 1979 qui a mis fin au règne despotique de la dynastie Pahlavie et à la dépendance du pays au régimes impérialistes.
 
Les célébrations de cet événement historique qui est unique dans son genre aura lieu simultanément dans plus de 1000 villes et plus de 10.000 villages.

La grande Marche du 11 février a démarré ce lundi à 9 heures du matin. Le Président Hassan Rohani doit prononcer un discours, à cette occasion, comme les années précédentes. 

Plus de 6.500 journalistes iraniens et étrangers couvrent l’événement dont 3.500 depuis Téhéran et 3.200 autres depuis d’autres points de l’Iran. 

Un discours du président Hassan Rohani est prévu pendant les manifestations de Téhéran, et est particulièrement attendu dans ce contexte de tension croissante avec les politiques anti-iraniennes des Etats-Unis intensifiées depuis l’arrivée au pouvoir de Donald Trump, son retrait unilatéral en 2018 de l’accord nucléaire et ses sanctions illégales « sans précédent » contre la nation iranienne. 

Le 40e anniversaire de la Révolution survient donc dans une période de difficultés économiques pour l’Iran où de vastes campagnes de pression et psychologiques menées par l’administration faucon Trump visaient à provoquer des dissensions parmi le peuple iranien. 
Mais en dépit de toutes les machinations une marée populaire plus unie que jamais issue de toutes les couches de la société et de tous horizons, homme, femme, jeune, vieux ainsi que de toute la classe politique du pays se présente à ce rendez-vous qui s’annonce emblématique et historique. 

La Marche grandiose du 11févier pour fêter les 40 ans de la Révolution populaire islamique intervient également au moment où en été 2017, à ses amis terroristes (les Moudjahidins du peuple (OMK)) réunis à Paris pour leur show annuel, John Bolton promettait que Téhéran ne fêterait pas son 40e anniversaire. La prévision du faucon, qui allait devenir quelques mois plus tard conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump, n’avait pas de chances de se réaliser et se heurte à des vents contraires, des vents puissants qui émanent des réalités de l’Iran dont ils sont déconnectées. 

Ce n’est pas étonnant si la nation iranienne n’abandonne pas « A bas les Etats-Unis » qui vise, bien sûr, comme l’a souligné le Guide suprême de la RII, la classe politique dirigeante US et non pas le peuple américain. 
Plus de 300 journalistes étrangers venant de différents pays couvriront le prochain rassemblements du Bahman 22 (11 février) à l'occasion du 40ème anniversaire de la Révolution islamique d'Iran.
 une interview exclusive avec l'Agence de presse de la République islamique d'Iran (IRNA), le vice-président du Conseil de coordination pour la propagande islamique a déclaré que plus de 6 500 reporters, photographes et cameramen iraniens et étrangers couvriraient la marche grandiose du 11 février (22 Bahman dans le calendrier iranien).

Nasrollah Lotfi a répété que les reporters étrangers seront présents dans les routes menant à la place Azadi à l’ouest de Téhéran.

Il a ajouté que plus de 200 personnalités étrangères politiques, religieuses, sportives et universitaires de haut rang seraient également présentes aux rassemblements. 

Lotfi a souligné que les adeptes des religions divines ainsi que leurs dirigeants participeraient à cet événement magnifique.

Les Iraniens à travers le pays commémoreront le 40e anniversaire de leur révolution islamique lundi en se descendant dans les rues et en prenant part à des rassemblements.

Le jour du retour de l'Imam Khomeiny en exil (le 1er février 1979) marquera le début de l'aurore de dix jours au cours de laquelle se tiendront des cérémonies qui culmineront avec l'anniversaire de la victoire de la révolution islamique le 11 février 1979.

Le peuple iranien célèbrent la décade de l'aube marquant une période de 10 jours entre le retour de l'Imam Khomeini le 1er février 1979 et la victoire de la révolution le 11 février à l’occasion du 40e anniversaire de la révolution islamique de 1979, qui a renversé la monarchie du régime pahlavi soutenu par les États-Unis en Iran.
Selon le Hamas, deux adolescents palestiniens ont été tués par des tirs de Tsahal lors de manifestations le long de la barrière frontalière entre Gaza et Israël, théâtre de manifestations hebdomadaires depuis l'initiation de la Marche du retour.
 
 
Le ministère de la Santé du Hamas a fait savoir que deux adolescents palestiniens avaient été tués le 8 février par un tir de l'armée israélienne dans la bande de Gaza lors de heurts et de manifestations le long de la barrière séparant Israël de l'enclave palestinienne.

 
Hassan Shalabi, 14 ans fut la première victime des tirs de Tsahal. Il «a été tué à l'est de Khan Younès par un tir de l'occupant israélien qui l'a atteint à la poitrine», est-il écrit dans un communiqué le ministère du Hamas, au pouvoir à Gaza.

Hamza Ishtawi, 17 ans, «a été tué à l'est de Gaza par une balle de l'occupant israélien qui l'a atteint au cou», a publié le ministère sur Twitter.

Huit autres Palestiniens ont été blessés par balles le long de la frontière, selon le ministère. L'armée israélienne a fait état de plus de 6500 Palestiniens manifestant le long de la barrière frontalière haute de plusieurs mètres de haut et lourdement gardée par les soldats israéliens.

Déjà 248 morts côté palestinien

La bande de Gaza, coincée entre Israël, l'Egypte et la Méditerranée et éprouvée par les guerres, la pauvreté et les blocus israélien et égyptien, est le théâtre depuis mars 2018 de protestations hebdomadaires le long de la barrière, depuis l'instauration de Marche du retour. Organisée à Gaza chaque vendredi depuis le 30 mars, elle exige la levée du blocus et le retour chez eux des Palestiniens chassés de leurs terres. 

Au moins 248 Palestiniens ont été tués par des tirs israéliens depuis cette date, la grande majorité le long de la frontière, et les autres dans des frappes israéliennes en représailles à des actes en provenance de l'enclave, tandis que deux soldats israéliens ont trouvé la mort.