تقي زاده

تقي زاده

Dans les corpus de hadiths, nous sommes confrontés à une multitude de hadiths sur la supériorité de l’Imam Ali (as) dans le domaine de la connaissance.

Le prophète l’avait surnommé « la porte de la cité de la science », « le plus savant dans l’exercice de la justice » et « le présentateur des enseignements prophétique ».

Voici la présentation de quelques-uns de ces hadiths :

» انا مدينه العلم و علي بابها فمن اراد العلم فليات الباب «

« Le suis la cité de la science et Ali en est l’entrée, celui qui cherche la science doit passer par l’entrée »

 

Sources : Al jame’al-Saghir vol 1 p 415, Al-Sawa'iq al-Muhriqah d’Ibn Hajar Al-Haytami p 73, Tadhib al tahdhib vol 6 p 32 et le Mustadrak alaa al-Sahihain, collection de hadiths en cinq volumes, écrite par Hakim al-Nishapuri

 

«انا دار الحكمه و علي بابها »

« Je suis la maison de la sagesse et Ali en est la porte »

 

Sources : Kanz al-Ummal d'Ali ibn Abd-al-Malik al-Hindi et Al Jame’al-Saghir vol 1 p 415. Le hadith de la cité du savoir fait partie des hadiths récurrents cités par les auteurs des Sahihs et des Sunans, et des expressions qu’ils ont souvent citées.

L’Allameh Amini dans le sixième volume d'al-Ghadir fait référence à 143 spécialistes de hadiths sunnites qui ont présenté ce hadith, à savoir l’auteur du Mustardak, Abdul Razzaq dans son Musnaf, Ahmad ibn Hanbal dans son Manaqib, Jami' at-Tirmidhi dans son Sunan, Muhammad ibn Jarir al-Tabari dans le Tahdhīb al-Āthār, Tabarani dans son Mo’jam al Kabir, Abou bakr Baghdadi dans son Histoire de Bagdad, Ibn Abd-al-Barr dans son (Isti’ab) recensement des compagnons du prophète (as), Muwaffaq b. Ahmad al-Khwarizmi dans son Manāqib Amīr al-Mu’minīn (as) (les qualités de l’Imam Ali (as), Ibn Athir dans son Jame’al Osul, Suyūtī dans son Jame’al-

Saghir, Ali ibn Abd-al-Malik al-Hindi dans son Kanz al-Ummal, Ibn askari dans son Histoire de Damas et d’autres qui l’ont cité et déclaré bon et authentique.

«علي باب علمي و مبين من بعدي لامتي ما ارسلت به »

« Ali est la porte de ma science et celui qui expliquera après moi, ce pour quoi j’ai été envoyé »

Source : Kanz al-Ummal d'Ali ibn Abd-al-Malik al-Hindi, vol 11 p 614

 

 

«يا علي! انت تبين لامتي مااختلفوا فيه من بعدي »

 

« Ali ! Tu seras celui qui après moi, éclairera l’Ummah dans ses divergences »

 

Source : Mostadrak de Hakim, vol 3 p 122

 

Le prophète (as) a dit à Fatemeh (as) :

ُ » زوجتك خير امتي ، اعلمهم علماً و افضلهم حلماً و اولهم سلماً «

 

« Fatemeh ! Ton mari est le meilleur de ma communauté, le plus savant, le plus patient et le premier musulman »

 

Sources : Kanz al-Ummal vol 11 p 605, Jam’ al jawame’ de Jalāl al-Dīn al-Khudayrī al-Suyūtī, vol 6 p 398, l’Isti’ab, vol 3 p 1099, le Majma’ al Zawa’ed, vol 9 p 101 et 114

 

Il a aussi déclaré aux gens :

 

«اقضاكم عليُ »

« Ali est meilleur que vous dans la justice et le jugement »

 

L’ensemble de ces hadiths prouve la supériorité d’Hazrat Ali (as). Après le décès du Prophète (as), il était celui qui possédait la science du prophète (as) et comme l’a montré l’Histoire, les trois califes dans les jugements, la politique ou les guerres, eurent toujours recours à ses conseils. Le second calife implorait Dieu de lui éviter les questions où Abou Hassan, Hazrat Ali (as) ne serait pas là pour l’aider, et déclarait sans cesse que « sans Ali il serait perdu ». (Généalogie des nobles d’Ahmad Ibn Yahya al-Baladhuri p 100 et Bihar al anwar vol 89 p 105)

 

 

 

Beaucoup de compagnons ont aussi fait allusion à la science d’Ali (as)

 

Ibn Abbas disait :

« و ما علمي وعلم اصحاب محمد (ص) في علم علي الاكقطرة في سيعة »

« Mon savoir et le savoir des compagnons du prophète (as) sont comme une goutte d’eau dans sept mers »

(Bihar vol 89 p 105)

 

Il ajoutait : «والله اعطي علي بن ابيطالب تسعة اعشار العلم ولقد شاركهم في العشر العاشر »

« Je jure par Dieu que 9/10 des sciences ont été donnés à Ali Ibn Abi Taleb (as) et qu’il partage avec les autres le dixième qui reste » (Isti’ab vol 3 p 1104)

 

Abdoullah ben Saoud disait :

 

«ان القرآن انزل علي سبعه احرف ما منا حرف الا وله ظهر و بطن و ان علي بن ابيطالب عنده منه الظاهر و الباطن »

«Le Coran a été révélé avec 7 lettres, chaque lettre à un sens visible et un sens caché, et la science des deux sens est chez Ali (as) » (livre de présentation des compagnons d’Ibn Athir, vol 4 p 22)

 

Il disait aussi : « كان علي خير الناس واعلمهم بعد رسول الله ولقد رايته كان بحرا يسيل سيلا»

« Ali était le meilleur et le plus savant après le prophète (as), et était comme un fleuve en constant mouvement »

(Généalogie des nobles d’Ahmad Ibn Yahya al-Baladhuri)

 

Sa'id Ibn Al-Musayyib, une des plus importantes autorités de jurisprudence des Taba'een, déclarait :

 

«ما كان احد من الناس يقول سلوني غير علي بن ابيطالب »

«À part Ali, personne n’osait demander qu’on l’interroge »

 

Abu Thufail al-Qurasyi a dit :

» شهدت علياً و هو يخطب و يقول سلوني فوالله لا تسالوني عن شيء يكون الي يوم القيامه الا حدثتكم به وسلوني عن كتاب الله فوالله ما من ايه الا و انا اعلم ابليل نزلت ام بنهار ام في سهل ام في جبل «

 

« Je fais le serment qu’Ali a dit dans un de ses discours : «Interrogez-moi car je jure par Dieu, que je répondrai à toutes vos questions jusqu’au jour du jugement, et interrogez moi sur le Livre de Dieu dont je jure connaitre tous les versets et où et quand ils ont été révélés, pendant la journée ou la nuit, dans la plaine ou dans la montagne »

(Tafsir de Tabari, vol 26 p 116 et Al-Fath'ul Bâri d’Ibn Hajar al-Asqalani, vol 10 p 221.

Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères Bahram Qassemi a dénoncé, vendredi 16 novembre, l’instrumentalisation des droits de l’Homme et des mécanismes internationaux au profit des États puissants, du régime infanticide d’Israël et des monarchies réactionnaires de la région.

Une résolution condamnant l’Iran de violation des droits de l’Homme a été adoptée, jeudi 15 novembre, par la Troisième Commission des Nations unies, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles. La résolution était parrainée par les pays qui comptaient parmi les plus grands transgresseurs des droits de l’Homme.

« Cette résolution ne tient pas en compte les réalités du moment en Iran. Elle se base sur une pratique sélective, discriminatoire, partiale et politique qui n’est pas efficace et ne peut qu’attiser la confrontation entre les États membres. Elle est donc complètement invalide », a déclaré Bahram Qassemi.

« Nous dénonçons toute instrumentalisation des droits de l’Homme et des mécanismes internationaux surtout par le régime infanticide d’Israël et les États réactionnaires de la région qui ne se soucient que de leurs intérêts. Nous condamnons également toutes les politiques qui sont destinées à semer le chaos dans la région et à soutenir les terroristes séparatistes. De telles politiques affaiblissent la Commission », a-t-il ajouté. 

Pour l’Iran, la seule procédure idoine pour ce type d’exercice au sein des Nations unies est l’Examen périodique universel qui, dans le cadre du Conseil des droits de l’homme, permet un « dialogue constructif ».

L’Examen périodique universel (EPU) est un processus unique en son genre qui consiste à passer en revue les réalisations de l’ensemble des États membres de l’ONU dans le domaine des droits de l’Homme. Il s’agit d’un processus mené par les États, sous les auspices du Conseil des droits de l’Homme. Il fournit à chaque État l’opportunité de présenter les mesures qu’il a prises pour améliorer la situation des droits de l’homme sur son territoire et remplir ses obligations en la matière.

Le porte-parole de la diplomatie iranienne a réaffirmé que l’EPU traitait tous les pays de manière égale.

« La contribution constructive et active de la République islamique d’Iran dans le mécanisme de l’EPU met en évidence sa volonté sérieuse de promouvoir le statut des droits de l’Homme et d’honorer ses engagements internationaux via une coopération constructive et des mécanismes fondés sur le dialogue », a-t-il souligné.

Le fossé se creuse entre le groupe terroriste Tahrir al-Cham et le courant al-Masri qui est contre l’accord de Sotchi signé entre la Russie et la Turquie sur la création d’une zone démilitarisée à Idlib.

Des médias proches des terroristes ont déclaré ce vendredi que des membres du courant al-Masri s’opposaient aux politiques de Tahrir al-Cham sur l'accord de Sotchi et menaçaient de s'en retirer pour rejoindre le groupe terroriste Haras al-Din affilié à Al-Qaïda en Syrie.

Suite à ces différends, des éléments de Tahrir al-Cham (ex-Front al-Nosra) ont menacé de rejoindre le groupe terroriste Daech.

Six terroristes de Tahrir al-Cham ont déjà rejoint le groupe terroriste Haras al-Din, affilié au courant jordanien, séparé de Tahrir al-Cham et diligenté par un dénommé Abuhomam al-Chami.

À l’appel du Comité national pour la Marche du grand retour, les Palestiniens de la bande de Gaza vont descendre « massivement » dans la rue ce vendredi 16 novembre pour participer à une nouvelle manifestation.  

Le haut Comité national pour la Marche du grand retour a invité les habitants de Gaza à participer massivement à une manifestation ayant pour mot d'ordre « la normalisation des relations avec Israël est une trahison ». Il a mis l'accent sur la poursuite du mouvement populaire jusqu’au recouvrement de leurs revendications, rapporte l'agence palestinienne Paltoday.

La « Marche du retour », protestation symbolique des habitants de Gaza pour les 70 ans de la création de l’entité factice d’Israël, a été entamée le 30 mars dernier.

Cette manifestation qui est devenu hebdomadaire et qui se veut pacifique insiste notamment sur le droit au retour des réfugiés dans leurs terres natales en Palestine, comme l'indique la résolution 194 des Nations Unies.

230 Palestiniens ont été tués et des milliers d’autres blessés depuis le début du mouvement par des militaires israéliens qui font usage de balles réelles et de fusées à gaz pour disperser les manifestants.

vendredi, 16 novembre 2018 12:56

Afrique: réduction en nombre des troupes US

Le Pentagone retire 10 % de ses troupes en Afrique pour se concentrer sur les menaces chinoises et russes.

L’armée américaine retirera des centaines de soldats en Afrique au cours des prochaines années afin d’intensifier sa lutte contre les menaces qui émaneraient de la Chine et de la Russie.

Plus tôt cette année, l’armée américaine a placé la lutte contre la Chine et la Russie au centre d’une nouvelle stratégie de défense nationale, dernier signe de changement des priorités après plus de quinze années de focalisation sur la lutte contre le terrorisme.

« Cette mesure prévoit spécifiquement de réduire les forces d’environ 10 % au cours des prochaines années. Actuellement, 7 200 militaires américains sont déployés en Afrique dans le cadre de la lutte antiterroriste », a déclaré le commandant Candice Tresch, porte-parole du Pentagone.

vendredi, 16 novembre 2018 12:55

Israël avoue redouter les missiles du Hamas

Selon le ministre israélien de la Coopération régionale, Israël a accepté le cessez-le-feu par crainte des missiles de la Résistance.

Un ministre israélien a reconnu qu’Israël avait accepté le cessez-le-feu par crainte des missiles de la Résistance.

Quelques mois après le show médiatique de Donald Trump à Singapour, Pyongyang renforce son arsenal atomique. 

Le leader nord-coréen a pris part au test d’une nouvelle arme « stratégique de pointe développée récemment », a rapporté vendredi 16 novembre un média d’État nord-coréen.

Kim Jong-un a supervisé le test d’une nouvelle arme tactique de haute technologie à l’Académie nationale de science de la Défense.  

Le terme « arme stratégique » fait généralement allusion aux armes atomiques. La télévision publique nord-coréenne a ajouté que le développement de cette arme était en cours sur une longue période. Elle s’est toutefois abstenue de spécifier la nature de l’arme testée.

Selon la même source, cette arme « contribue à rendre la défense du pays invulnérable et renforce la puissance de combat de l’armée ».

Le test constitue « un tournant décisif dans le renforcement de la puissance de combat des forces armées nord-coréennes », a déclaré Kim Jong-un cité par l’agence de presse officielle nord-coréenne KCNA.

Le test a été couronné de succès, d’après les médias nord-coréens.

 

Les États-Unis avaient beau compté sur le gouvernement irakien en ce qui concerne le dossier des sanctions anti-iraniennes. Le nouveau gouvernement irakien d’Adel Abdel-Mehdi a fait preuve de vigilance et d’intelligence. 

Cette prise de position du gouvernement irakien est due au soutien indéfectible que Téhéran lui a fourni dans différents domaines, notamment dans la lutte antiterroriste.

Dans la foulée, le Premier ministre Adel Abdel Mahdi a déclaré que l’Irak ne se soumettrait pas aux sanctions des États-Unis contre l’Iran. « En plus, l’Irak en est exempté », a-t-il indiqué.

Auparavant, de nombreux médias arabes et occidentaux ont eu recours à l’intoxication médiatique en faisant croire à la fin imminente des relations entre l’Iran et l’Irak.

 

Les Américains recourent largement aux bombes à sous-munitions pour réprimer dans le sang les populations civils de l’est de la Syrie. Alors que les terroristes de Daech ont réussi à s'emparer des puits de pétrole de Deir ez-Zor et ce, à la faveur d'un jeu du chat et de la souris mené avec les FDS, les Américains, eux, continuent à frapper les zones d'habitation de l'est syrien par intermittence. L’est syrien a ainsi été frappé à coup de bombes à sous-munitions.

Selon l’agence officielle syrienne, Sana, des bombes prohibées, larguées sur la ville d'al-Chaafa et le village de Hajin, en banlieue de Deir ez-Zor, ont laissé le mercredi 14 novembre, plusieurs morts et blessés parmi les civils, mais aucun chiffre n’a été fourni pour le moment sur le nombre exact des victimes.

L'utilisation de ce type de bombes prohibées par les conventions internationales, par la coalition américaine en Syrie sous prétexte de la lutte anti-Daech a également provoqué le déplacement des centaines d’habitants dans cette région, ajoute la source.

En se rendant au sultanat d'Oman le Premier ministre israélien a cru faire le coup de siècle : rendre enfin publique des relations qu'Israël entretient depuis des années et en secret avec les monarchies du golfe Persique. C'était sans compter avec la principale partie avec qui Israël a affaire à savoir la Résistance palestinienne. À peine quelques 72 heures après l'échec de l'opération commando israélienne dans le sud de la Bande de Gaza et des tirs de missiles anti-israéliens qui l'ont suivi, la ville sainte Qods a été le mercredi 14 novembre le théâtre d'une opération bien significative : un jeune palestinien s'en est pris à l'arme blanche aux soldats de "Tsahal" qui, à défaut de briller sur le champ de bataille, ont pour l'unique art tuer des civils. Et pourtant cinq soldats d'occupation ont été blessés au cours de cette opération qui devra inquiéter les autorités de Tel-Aviv.