تقي زاده

تقي زاده

Israël a reconnu, après deux semaines, avoir été pris pour cible par plus de 132 roquettes.

Le commandement de l’aviation israélienne a déclaré, ce mardi 22 mai, que 32 roquettes avaient été tirées, le 10 mai, sur les hauteurs du Golan.

Le commandant de l’armée de l’air israélienne, le général Amikam Norkin, a rejeté les déclarations du porte-parole de l’armée israélienne selon lesquelles 20 roquettes auraient été tirées sur le Golan occupé.

« 32 roquettes ont pris pour cible le Golan et seules quatre d’entre elles ont été interceptées », a ajouté Amikam Norkin.

Lors d’un forum sécuritaire à Herzliya, le commandant de l’armée de l’air israélienne a déclaré que le reste des roquettes avaient touché des régions qui ne sont pas contrôlées par le régime israélien.

Un ancien diplomate allemand estime que la Russie et l’Iran sont aujourd’hui des partenaires diplomatiques plus fiables que les États-Unis pour l’Europe.

L’ancien diplomate Uwe-Karsten Heye déclare que le président américain Donald Trump essaie actuellement, à travers son approche anti-iranienne, de donner l’impression qu’il est le « commandant du bloc occidental », mais que la Russie et l’Iran sont actuellement des partenaires diplomatiques plus fiables que les États-Unis.

L’ancien diplomate a dit à l’antenne de la radio allemande DLF : « L’Europe devrait se concentrer davantage sur ses autres partenaires en raison de la politique étrangère actuelle de Washington. L’approche géopolitique de Moscou est plus rationnelle que celle de Washington. Les États-Unis n’ont agi au niveau international que dans leurs propres intérêts, ce qui nuit à la paix. »

L’ancien chef des services de sécurité indiens a invité le commandant de l’armée pakistanaise à se rendre à New Delhi.

L’ancien chef des services de sécurité indiens a invité Qamar Javed Bajwa, commandant de l’armée pakistanaise, à se rendre à New Delhi

Qamar Javed Bajaw, commandant de l’armée pakistanaise, a été invité à New Delhi par l’ancien chef des services de sécurité de l’Inde, pour entamer des pourparlers de paix entre les deux pays, a rapporté le correspondant de Fars News à Islamabad.

Qamar Javed Bajwa. (Archives)

« Le monde entier a changé d’attitude. Jusqu’à ces derniers jours, personne ne croyait que le dirigeant nord-coréen accepterait de négocier avec les États-Unis et qu’il mettrait fin à la production d’armes nucléaires », a indiqué l’ancien chef des services de sécurité indiens lors de la présentation d’un livre coécrit par ce dernier et le général Asad Durrani, un ancien chef des services de renseignement pakistanais.

Manmohan Singh, ancien Premier ministre indien. (Archives)

« La guerre entre le Pakistan et l’Inde ne mènera nulle part. Comme l’ancien Premier ministre indien Manmohan Singh l’a demandé, nous devrions appeler le commandant de l’armée pakistanaise à New Delhi et consulter pour une paix durable afin d’obtenir des résultats positifs. Le livre explique qu’il n’est pas difficile d’établir une relation amicale entre les deux pays, et que les facilités de délivrance de visas et l’organisation de jeux, comme de matchs de cricket, pourraient être efficaces », a précisé l’ancien chef des services de sécurité indiens.

Youssouf Raza Gilani, ancien Premier ministre pakistanais. (Archives)

« La rencontre en Égypte de Youssouf Raza Gilani, ancien Premier ministre pakistanais, avec son homologue indien Manmohan Singh, a ouvert un nouveau chapitre dans les relations entre les deux pays, qui doivent se poursuivre », a de son côté affirmé aux médias indiens le général Asad Durrani.

« Les coordinations pour trouver un mécanisme conjoint de lutte contre le terrorisme ont été un grand succès pour l’Inde et le Pakistan, mais hélas nous n’avons pas pu trouver un terrain d’entente là-dessus », a-t-il ajouté.

« Ajit Dawul, un ancien conseiller à la sécurité nationale, a admis qu’il était impossible de vaincre le Pakistan via une guerre. Nous devons réfléchir à un autre moyen pour parvenir à un compromis avec ce pays », a-t-il poursuivi.

Ajit Dawul était l’un des principaux responsables des services de sécurité indiens, qui a pris sa retraite en 2005.

Le général Durrani a déclaré en 2016 que les hautes autorités pakistanaises et indiennes avaient essayé de négocier, mais certains extrémistes ont accusé Islamabad d’être impliqué dans l’attaque terroriste contre la base militaire de Pathan Kurt au Cachemire.

Cette information intervient alors que la visite du Premier ministre indien Narendra Modi au Cachemire a attisé les tensions à la frontière des deux pays.

Narendra Moody, Premier ministre indien. (Photo d’archives)

Après la construction par l’Inde d’un barrage au Cachemire, le Pakistan a porté plainte auprès de la Banque mondiale pour faire valoir ses droits et a apporté son soutien aux manifestations de la population du Cachemire contre New Delhi.

Suite aux propos de John Bolton ; un modèle libyen pour la Corée du Nord et au retrait des États-Unis de l’accord sur le nucléaire iranien, les autorités de Pyongyang mettent en cause la tenue du sommet américano-nord-coréen.

Trump n’est pas très motivé à participer au sommet américano-nord-coréen, a déclaré Mike Pence lors d’une interview, lundi 21 mai, à Fox News suite à la mise en cause par Pyongyang de la tenue du sommet le 12 juin 2018 à Singapour et a prévenu que la Corée du Nord ne devrait pas chercher à obtenir des concessions.

Face aux dernières sanctions américaines visant une série d’hommes d’affaires, d’entreprises et de responsables russes, la Douma russe a adopté une loi sur les sanctions contre les USA et les pays « non-amicaux ».

La chambre basse du parlement russe a adopté, ce dimanche 22 avril, la loi à l’issue de plusieurs réunions, appelant à restreindre les importations de logiciels, de produits agricoles, de médicaments, de tabac et d’alcool en provenance des États-Unis.

Elle entrera en vigueur à partir du jour de sa publication officielle. Le document prévoit la possibilité d’introduire des mesures supplémentaires afin de réagir rapidement à l’évolution de la situation et de riposter aux actions des États-Unis et d’autres pays, rapporte la chaîne de télévision russe, Sputnik.

Le projet de loi sur les mesures de riposte à la politique antirusse menée par l’Occident a été soumis le 13 avril à la Douma d’État par les chefs des groupes parlementaires et Viatcheslav Volodine, président de la Chambre basse du parlement russe.

Le 6 avril, les États-Unis ont imposé de nouvelles sanctions contre 38 hommes d’affaires, officiels et sociétés russes accusant Moscou de déstabiliser les démocraties occidentales.

Sur la liste, l’on retrouve entre autres le fournisseur d’armes russe Rosoboronexport, le ministre de l’Intérieur Vladimir Kolokoltsev, le président de la Commission des Affaires étrangères du Conseil de la Fédération, Konstantin Kossatchev et le secrétaire du Conseil de sécurité de la Russie, Nikolaï Patrouchev. Ces restrictions prévoient l’interdiction aux personnes et aux sociétés concernées de conclure des marchés avec des ressortissants américains et le gel de leurs avoirs aux États-Unis.

Des dizaines de milliers de Marocains ont participé à une manifestation pro-palestinienne à Casablanca, scandant que Qods serait éternellement la capitale de la Palestine.

Dimanche 20 mai, plus de 10.000 Marocains sont descendus dans les rues de la capitale pour exprimer leur protestation contre le déménagement de l’ambassade américaine de Tel-Aviv à Qods, selon Reuters.

Les manifestants portaient de nombreux drapeaux de la Palestine et des pancartes avec comme slogan « Qods est la capitale éternelle de la Palestine ».  

« La manifestation d’hier à Casablanca a eu lieu à l’initiative des quatre partis politiques du pays, parmi lesquels, Al-Adl Wal-Ihsan, le plus fort parti de l’opposition au Maroc. 

En décembre 2017, Donald Trump a annoncé le déplacement de l’ambassade US de Tel-Aviv à Qods et reconnu la ville sainte comme la nouvelle capitale d’Israël. Sa décision a suscité une vague de colère aux quatre coins du monde. L’ONU a par la suite condamné la décision de Trump dans une résolution votée avec 128 voix pour et 9 contre, avec l’abstention de 35 pays.

Lors de l’ouverture du bureau politique du Parti des travailleurs d’Algérie, sa secrétaire générale, Louisa Hanoune, a mis l’accent sur le renforcement du front intérieur comme principal garant de la protection du pays face aux dangers et aux menaces que représentent les pays étrangers, rapporte Fars News.

Louisa Hanoune, secrétaire générale du Parti des travailleurs d’Algérie. ©Liberté Algérie

Évoquant la résistance de l’Algérie face aux tentatives étrangères pour entraîner l’armée algérienne dans les crises étrangères, Louisa Hanoune a déclaré : « L’Algérie s’est toujours opposée à l’implication de l’armée algérienne dans les crises, notamment au Mali et en Libye, et à ce qu’elle joue le rôle de gendarme dans la région aux frais du Trésor public. »

C’est une décision stratégique qui aura des répercussions aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays, a-t-elle précisé selon l’agence de presse Sputnik.

Les relations entre l’Algérie et le Maroc se sont refroidies depuis que l’État marocain a accusé l’Algérie d’avoir accueilli une réunion entre les dirigeants du Hezbollah et le Front Polisario.

D’autre part, à l’est de l’Algérie, la Libye traverse une situation chaotique depuis le renversement du régime autoritaire de Mouammar Kadhafi en 2011.

Les mises en garde n'avaient cessé de se multiplier à l'égard des forces d'occupation mais les Américains et leurs alliés croyaient à une promenade de santé : un convoi des militaires US, empruntant la route qui relie Hasaské au village assyrien de Tel Tamar au nord est de la Syrie a sauté sur un engin explosif.

Un premier bilan fait état de la mort de trois soldats américains et d'un nombre important de blessés. Cette zone à majorité kurde de la Syrie est le théâtre d'intenses agissements des forces américaines, françaises et de l'Otan qui au nom de l'appui aux FDS (Forces démocratiques syriennes) face à Daech ( qui n'existe plus), travaillent à la création d'un État kurde et partant au démembrement de la Syrie.  

 

Selon le site proche des terroristes takfiristes, Eldorar al-Shamiya, "les trois soldats ont été membres de la coalition soi-disant anti-Daech que dirigent les États-Unis, coalition sous couvert de laquelle les Américains impliquent de plus en plus la France et la Grande-Bretagne en Syrie. "Les soldats américains ont été tués dans le Rif de Hassaké, au nord est de la Syrie, alors qu'ils se dirigeaient à bord d'un convoi militaire sur la route menant à Tel Tamar. L'explosion s'est produite très précisément à al-Rukaba . La source affirme aussi que trois des véhicules blindés US ont été endommagés. 

Les Américains opèrent contre l'État syrien à Deir ez-Zor, sur la rive est de l'Euphrate et à Hassaké dans le nord est syrien. L'attaque s'est produite au lendemain des propos tenus par le commandant de la coalition US comme quoi "Washington poursuivra sa lutte contre Daech en appuyant les FDS ". À Deir ez-Zor, Daech bénéficie toutefois du soutien direct des États Unis qui en héliportent les chefs et larguent des munitions aux éléments terroristes, allant jusqu'à les réorganiser pour des batailles à venir contre l'armée syrienne et ses alliés. 

L’armée égyptienne a séparé la ville de Rafah de la péninsule Sinaï avec une barrière édifiée à 13 km de la mer Rouge pour y dresser sa propre zone tampon. 

Selon le journal Al-Arabi Al-Jadeed, l’armée égyptienne a séparé 5 km de la ville de Rafah pour établir une zone tampon avec la bande de Gaza, actuellement sous blocus illégal israélien. Cette décision a déjà séparé et déplacé des milliers de familles palestiniennes depuis 2014.

Selon les sources locales depuis Rafah, cette zone de séparation a été érigée tout au long de la frontière avec la bande de Gaza.

Pour les observateurs politiques égyptiens, la séparation de la ville de Rafah et la création d’une zone de séparation sur la frontière avec la bande de Gaza font partie des préparatifs d’un plan de compromis américain appelé « Deal du siècle » pour faire semblant de contribuer au rétablissement d’une soi-disant paix israélo-palestinienne.

Suite à une attaque terroriste qui a tué en octobre 2014, 30 effectifs des forces de l’ordre égyptiennes dans le Sinaï, Le Caire a décidé d’ériger une barrière de séparation de 13,5 km de long et de 500 m de large séparant ses frontières avec la bande de Gaza.

L’armée égyptienne a peu après étendu la largeur de la barrière à plus d’un km, ce qui a provoqué le déplacement d’un grand nombre de famille de Sinaï.

Poursuivant ses mesures militaro-sécuritaires, l’armée égyptienne, qui a séparé les familles vivant dans la région, a détruit complètement leurs maisons.

La France a étendu sa présence militaire dans le nord et l’est de la Syrie, rejoignant les troupes militaires américaines qui soutiennent les Forces démocratiques syriennes, dans leur prétendue lutte contre Daech, alors que ce groupe a déjà capitulé dans cette région. 

Les forces spéciales françaises ont installé six batteries d’artillerie aux alentours du village de Baghuz sur la rive orientale de l’Euphrate dans le sud-est de Deir ez-Zor.

 

Les forces françaises ont multiplié leurs bases militaires à Manbij, à Aïn Issa, à Hassaké et à Raqqa, ont affirmé des sources locales citées par l’agence de presse Turque Anadolu.

En apportant leur soutien aux FDS, les soldats français sont également passés à l’action à plusieurs reprises, en faisant usage de leur unité d’artillerie, ont ajouté ces sources.

Les Forces démocratiques syriennes (FDS) sont témoin, ces derniers mois, d’une augmentation du nombre de militaires français qui se sont infiltrés sur le territoire syrien depuis le sol irakien.

Les forces spéciales françaises se sont déployées dans le sud de Kobané dans la banlieue d’Alep et dans la cité d’Aïn Issa dans le nord de Raqqa, précise Anadolu. Elles ont, en fait, rejoint les militaires américains qui soutiennent les Forces démocratiques syriennes dans la prétendue lutte contre Daech.  

La coalition dirigée par les États-Unis a confirmé sur Twitter que l’artillerie française soutenait les FDS dans une attaque présumée contre les résidus des terroristes de Daech à l’est de l’Euphrate dans l’est de la Syrie. Au contraire des régions du nord-est, contrôlées par la Turquie, les Français risquent, dans l’est de l’Euphrate, d’entrer directement en conflit avec l’armée syrienne et ses alliés de la Résistance.

Le premier mai, un groupe composé de 60 snipers français a été arrêté à un poste de contrôle de l’armée syrienne à Hassaké. Depuis le 14 avril, date à laquelle la France a participé directement à la frappe tripartite contre les cibles en Syrie sur l’ordre des Américains, elle ne cesse de multiplier la présence de ses effectifs militaires en Syrie.