Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères a conseillé au nouveau secrétaire général du Conseil de la coopération du golfe Persique de se centrer sur la nécessité de l'arrêt des attaques de la coalition saoudienne contre les femmes et les enfants yéménites au lieu de formuler des accusations infondées contre la République islamique d'Iran.
Je conseille au secrétaire général du Conseil de la coopération du golfe Persique, au lieu de formuler des accusations infondées contre la République islamique d'Iran dans le sens du rôle destructeur de certains membres de ce conseil, de se centrer sur l'arrêt des attaques de la coalition saoudienne contre les femmes et les enfants du Yémen et d'aider le processus de la résolution de la crise yéménite par des pourparlers yéménites-yéménites, a déclaré Sayed Abbas Moussawi dans une réaction aux accusations sans fondées de Nayef Al-Hajraf, secrétaire général du Conseil de la coopération du golfe Persique.
Certains membres du Conseil de la coopération du golfe Persique par crainte des Etats-Unis et contrairement aux volontés des nations arabes et islamiques sont restés silencieux envers les questions et les menaces principales du monde musulmans et des nations opprimées de la Palestine venues de la part des Etats-Unis et du régime sioniste. Ces membres bombardent le peuple patient et résistant du Yémen et imposent un embargo injuste à ce pays, a-t-il insisté.
La manière du comportement des Saoudiens et du gouvernement démissionnaire de Mansour Hadi face à l'initiative du secrétaire général de l'ONU concernant l'arrêt des conflits partout dans le monde et surtout au Yémen montre les positions hypocrites de ces agresseurs. Malgré le cessez-le-feu annoncé par le représentant du secrétaire général de l'ONU, la coalition saoudienne continue à bombarder barbarement le Yémen. Les Saoudiens refusent le plan de la paix présenté par le représentant du secrétaire général de l'ONU. Ils insistent sur la résolution militaire de ce crise et essaient de détourner l'attention du monde de leurs agressions en accusant les autres pays, a-t-il ajouté.