Trois événements-choc en l'espace de quelques heures à Deir ez-Zor, tous interconnectés et laissant penser que les prédictions du chef du CentCom McKenzie qui a estimé vendredi dernier que les troupes US ont encore un certain temps devant eux avant de se retirer : Deir ez-Zor, province limitrophe d'al-Anbar où la Résistance détient ses principaux quartier à Abou Kamal et à Mayadin, et où l'Amérique contrôle quatre principaux gisements pétroliers, à savoir al-Omar, Tanak, al-Jafra et Conoco totalisant 80% du pétrole du pays trafiqué à l'axe US/Israël/Turquie a été le théâtre d'un attentat anti-russe, d'une première frappe au missile anti-US et d'une inouïe tentative de réconciliation du représentant des USA et chef des FDS, Mazloum Abdi qui dans un geste rare, est allé de son propre chef à la rencontre des chefs des tribus de Ziban, d'al-Shuhail et al-Huwaij qui se sont armés contre les Américains, créant une puissante armée tribale.