Après s’être retrouvé assiégé par les membres de Haredim protestant contre le service militaire obligatoire, le commandant de l’armée sioniste aurait tiré sur les manifestants non armés en raison d’une intervention tardive d’une unité spéciale de police.
Terrifié, le général Yoel Strick, a échappé à la foule à l’entrée de la ville de Qods alors qu’il s’apprêtait à tirer avec son arme personnelle sur les manifestants protestant contre l’arrestation d’un étudiant qui ne s’était pas présenté au bureau de recrutement pour recevoir son sursis de service dans l’armée israélienne, a rapporté le journal Yedioth Aharonot.