Presque quelques heures avant que le secrétaire général du Hezbollah n'annonce via son entretien accordé à la chaîne libanaise Al Mayadeen que l'équation de dissuasion dite " sang pour sang" se tient toujours, ce qui empêche d'ailleurs l'armée sioniste de lever l'état d'alerte sur le front nord, près de cinq mois après la mort en martyr de Kamel Mohsen au sud de Damas, une information d'une extrême importance est tombée sur les telex : au Golan occupé où le régime israélien accuse le Hezbollah de "posséder pas moins de 50 postes militaires", où il voit à travers chaque soldat syrien patrouillant non loin de la ligne Alpha en compagnie des soldats russes, un commando du Hezbollah déguisé et ou encore elle accuse l'unité spéciale de la Force Qods de distribuer comme des bonbons des bombes de Kalimagor aux habitants syriens du Golan, les encourageant à les planter au passage des patrouilles militaires sionistes, un tournant vient de se produire qui a tout pour ressembler à une marche arrière d'Israel.