C'est faux de prendre M. Lavrov à la lettre. Certes le chef de la Diplomatie russe a affirmé ce 18 janvier que la "Russie ne veut pas de la guerre avec les Etats-Unis en Syrie" ou encore qu'"Israël et l'Iran ne devraient pas faire de la Syrie un terrain d'affrontement" ou que "des menaces iraniennes s'il y a ( et il y en a effectivement!) contre Israël, il faut en informer la Russie.. qui agirait en fonction", mais tout le monde a compris que le discours du haut diplomate ne dit pas ce qu'il veut dire : plus d'un analystes politique y verrait même un appel désespéré d’Israël en direction des "amis russes" pour qu'ils intercèdent en leur faveur et les "aident d'une façon ou d'une autre" à se tirer du pétrin que représente désormais " la campagne totalement défaite de guerre dans la guerre" israélienne contre la Syrie qui a marqué tout le mandat de Trump et qui par les temps qui courent s'est retourné totalement contre Israël puisque coûteuse, inutiles, et par dessus tout éminemment dangereuses.