Robert Malley, le sioniste "modéré" que le nouveau locataire de la Maison Blanche vient de nommer émissaire pour l'Iran, a passé toute sa journée de vendredi à donner des coups de fil tantôt à la France d'où le président Jupiter, désormais en "porte-voix gracieusement payé" de Ben Salmane demande à ce que Riyad, le grand perdant de quatre ans de Trumpsime effréné à la Maison Blanche, intègre la table des négociations du "PGAC" bis avec l'Iran, tantôt à l'Allemagne où le MAE, Mass, pris entre le marteau des lobbies israéliens et l'enclume de son rôle de première classe dans une UE totalement exsangue par Covid-19, s’époumone pour que "l'arsenal balistique iranien" s'invite aussi dans le jeu.