Dès le premier jour de son entrée à la Maison-Blanche et bien que les deux pays aient accepté une prolongation de cinq ans du traité de non-prolifération nucléaire, Joe Biden a adapté un ton froid et critique envers la politique de Moscou, complètement à l’opposé de l’approche de son prédécesseur à l’égard du président russe.
Au cours de la première semaine après son entrée en fonction à la Maison-Blanche, Biden a critiqué l’arrestation d’Alexei Navalny, et a appelé Moscou à rendre des comptes sur les allégations de piratage du logiciel SolarWinds et l’ingérence dans l’élection présidentielle américaine, a indiqué Euronews dans une note publiée le 26 janvier.