Entre le samedi 31 janvier 2021 et ce mardi 2 février, trois drones israéliens ont été interceptés dans le ciel de Gaza et du sud du Liban, deux dans le premier, un dans le second. Au point de pousser l'armée israélienne et ses cohortes d'analystes de pacotille à reconnaître qu'il se passe quelque chose "d'inhabituel" , "d’éminemment dangereux dans le ciel du Moyen-Orient". En effet, à peine parallèlement au test réussi d'un second porte-satellites iranien, du nom de Zoljanah qui succède à Qassed, cet autre porte-satellites qui a réussi au mois d'avril 2020 à placer en orbite basse le premier satellite militaire iranien, Nour-1, il y a comme une éclosion d'une "DCA" intégrée de la Résistance libano-palestinienne dans l'air. Car abattre un drone israélien au Liban ou à Gaza, c'est une chose mais le fait de pouvoir en prendre le contrôle par système de brouillage électronique interposé, puis de le prendre de sorte que toutes ces données en soient déchiffrées et utilisées à des fins militaires anti-israéliennes, c'en est une autre.
Surtout en temps de guerre et alors même qu'aussi bien le Liban que Gaza rognent le frein pour en découdre avec une entité sioniste parfaitement aux abois laquelle entité bombe le torse à l'adresse de ses "amis golfiens" qui ont vendu la cause palestinienne et trahi la Résistance, gratuitement.