Cet aveu d'échec de l'ex numéro deux du département d'état, Jeffry Feltman, où il reconnait que les Etats Unis d’Amérique ont "militairement " perdu les dix ans guerre en Syrie, et que par conséquent, il conviendrait que Biden opte pour une nouvelle approche à savoir "réduire à l'extrême famine" les Syriens, ce n'est pas par la Loi César que le nouveau président US veut l'appliquer : le corridor maritime anti sanction que l'axe de la Résistance a mis en place depuis des années et qui alimente la Syrie en essence et denrées alimentaires et qui s'est même étendue depuis mai 2020 aux Caraïbes pour faire intégrer le Venezuela, a fait de la Loi César, une loi bien creuse, même si les Américains ont tout fait pour que le contraire se produise, y compris, au Liban où ainsi que le reconnait Feltman, la cible des hostilités US est à la fois le Hezbollah mais encore les banques puisqu'elles sont les poumons de l'économie syrienne.