Ce deuxième vol militaire iranien en moins d’une semaine à avoir été envoyé le 10 février à Lattaquié et qui s’est posé à la base aérienne russe de Hmeimim sous protection rapprochée des batteries de missiles Toshka de l’armée russe, lesquels missiles ont royalement et presque simultanément à l'atterrissage de l’appareil iranien, intercepté puis détruit en plein ciel de la base, une flopée de missiles de croisières US/Israël, n’a pas été la seule surprise que l’Iran a tenue à faire au président Joe Biden avec l’aide efficiente de son partenaire russe: Certes, cette liaison aérienne militaire désormais « régulière » entre Téhéran et Hmeimim qui toute raison garder semble faire écho au récent message iranien à Poutine, va booster la puissance « aérienne et aérospatiale » de la Syrie et partant du Hezbollah aux portes d’Israël, avec en toile de fond davantage de batteries de missiles anti- missiles, de missiles tactiques, de dispositifs de brouillage et de suppression, ainsi que des radars et de drones de tout genre à déployer sur la frontière syro-libanaises ou encore à Idlib occupé par le Sultan.