Ces exercices baptisés Grand-Prophète 16 que le CGRI a lancé cette semaine, presque aussitôt après près de 20 jours de manœuvres militaires d'envergure, Grand Prophète 15 et Eqtedar 99 naval, aérien, aérospatial, terrestres dans le golfe Persique, et au cente de l'Iran, on s'en doute sont porteurs d'un message qui n'en déplaise aux Américains, est bien adressé à leur président : à la mi janvier, le chef du CentCom a annoncé vouloir concentrer sur la côte ouest saoudienne, les bases US en Arabie saoudite, ce, pour éviter à avoir compter des tas de cercueils de soldats US si d'aventure un face-face maritime avec l'Iran venait à éclater dans le golfe Persique. Il a parlé même d'un besoin pressant pour les troupes US d'une "arrière base" qui permettrait la projection rapide de "troupes" dans les bases américaines situées au golfe Persique et ce, toujours en prévision d'une guerre navale avec l'Iran. Plus d'un analystes a qualifié de retrait "naval" US face à l'Iran cette mesure qui est allé de paire avec la vraie fausse offre de paix US avec Ansarallah. Ce retrait serait intervenu au termes de deux grands exercices, tenus en décembre et en janvier où l'Iran a exploité une pléthore d'atouts militaires nouveaux, allant d'un missile Sejjil de haute précision ayant frôlé l'USS Nimitz dans le nord de l'océan Indien à ces nuées de drones rôdeurs perçant les répliques des Patriot, de Dôme de fer et de THAAD...