Alors même que le monde entier se focalise sur le canal de Suez, suivant les aléas de la politique US en mer de Chine ou encore en mer Noire, les USA de Biden viennent de perdre leur première guerre militaire. Selon des informations fiables, ce qui s’est passé il y quelques jours sur la frontière Venezuela/Colombie n’est pas un simple combat contre un camp de guérilléros comme veut le faire croire la presse mainstream. Cette information est fausse. Ce qui s’est passé sur la frontière colombo-vénézuélienne dans l’État d’Apure a été une offensive particulièrement bien planifiée comme cet assaut naval en septembre 2020 impliquant des contracteurs US et qui visait à arrêter le président Madura et à l'amener aux États-Unis. Cette nouvelle offensive a impliqué un nombre important d’hommes, d’avions et le poids et le calibre du bombardement qui ont eu lieu indiquent son ampleur. A quoi s'ajoute le nombre de camps illégaux, de leur origine, de leur état pratiquement neuf, de la sophistication de ceux-ci et de la quantité d’armes saisies ainsi que de la logistique dont disposent les insurgés, du matériel de dernière génération utilisé pour leurs communications cryptées par satellite.