Ce Colonial Pipeline que les « hackers » ont attaqué au mois d’avril, pipeline long de 9000 kilomètres étendus du golfe Mexique à New York, les États-Unis d’Amérique qu’on donnait il y a encore peu pour être potentiellement capable d’éliminer de la course tous les États pétroliers du Moyen-Orient, ne s’en est pas encore remis vu les menaces un peu hors cadre que le chef du Pentagone vient de formuler. La partie qui est à l’origine de cette cyberattaque et les Russes disent que ce n’est pas eux, car la Russie est après tout le premier vendeur du pétrole aux USA- a à peu près paralysé le flux de l’énergie dans la moitié des États-Unis un peu à l’image d’Ansarallah yéménite et ses drones quand ils se sont abattus sur le pipeline est-ouest saoudien Buqaiq-Yanbu... Austin prétend pouvoir de façon foudroyante ripostée, mais dans les faits les cyberfailles du système US sont beaucoup plus nombreuses. Les chiffres parlent d’eux-mêmes.
Le secrétaire à la Défense américain réaffirme que les États-Unis ont des « options offensives » pour répondre aux cyberattaques.
Le secrétaire à la Défense des États-Unis, Lloyd Austin, a déclaré à CNN que les États-Unis avaient des « options offensives » pour répondre aux cyberattaques.
« Nous avons la capacité de mener des opérations offensives. Nous avons également une capacité significative qui nous permet de pouvoir nous défendre. Nous optons toujours pour une défense en avant d'un point de vue militaire », a déclaré Austin dans une interview exclusive avec CNN vendredi 28 mai.