Cette DCA aveugle comme une taupe qui paiera pour l'optimiser?

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Cette DCA aveugle comme une taupe qui paiera pour l'optimiser?

On se rappelle fort bien comment Israël s’est mis au sortir de la terrifiante bataille de mai qui a vu sa « DCA multicouche » se partir en mille éclats sous les coups balistiques de la Resistance à demander un financement « d’urgence » d’un milliard de dollars des États-Unis pour « renouveler son stock de missiles Tamir ». Au fait plutôt que vouloir renouveler ce stock, il s’agissait de remettre en état des radars largement « hackés » de Dôme de fer par les dispositifs de suppression de la Resistance voir refaire ces batteries de Dôme de fer elle-même qui dans une ville comme Ashkelon ont été jusqu’à être prise pour cible par les missiles tant ont été puissantes les attaques électroniques. Ceci étant les Americains ne semble pas être partant pour desserrer les cordons de la bourse. Car les remises à l’état ils en ont fait en été 2020 au Texas, mais L’Épée de Qods a prouvé que c’était de l’argent jeté littéralement par la fenêtre. Que faire donc en ces temps de râle, de tension Colons/Armée sioniste ? 

La machine à arnaque sioniste propose une solution : 

 Alors que les États-Unis sont sur le point de retirer les défenses aériennes de leurs alliés au Moyen-Orient, Israël doit intervenir et offrir les siennes, ouvrant la voie à un véritable dialogue et à une coopération ouverte dans la région, tout en fournissant à l’industrie de la défense militaire plus de ressources pour se développer des systèmes encore meilleurs », c’est ce qu’a déclaré l’ancien vice-ministre de la Guerre et PDG du Center for Strategic Dialogue du Netanya Academic College du régime sioniste : « La plupart des retraits auront lieu en Arabie saoudite, en Irak, au Koweït et en Jordanie, supprimant efficacement la couche de protection des alliés régionaux des États-Unis contre les missiles et les drones. Et tandis que l’Arabie saoudite a renforcé ses propres défenses face aux attaques constantes de drones et de missiles de croisière d’Ansarallah du Yémen, le principal défi pour Riyad reste la protection de ses sites cruciaux. » 

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