Depuis que la Jordanie a loué sa moitié nord aux Yankee pour que quelques 30 000 soldats US puissent s'y positionner avec avions, arme lourde, drone et commando et tutti quanti et ce, dans le double objectif d'abord de barricader Israël qui en mai a prouvé qu'il était bien vulnérable non seulement sur le front Nord ou sur le front sud ou encore sur le front intérieur mais que flan nord ouest du côté de la Jordanie se trouve lui aussi largement ouvert aux missiles et aux drones de la Résistance, les Américains s'y attendaient : un embrasement anti US en Syrie orientale et partant un "remake de ce qu'endurent les troupes US en Irak" à savoir des attaques quotidiennes contre leurs convois, bases et campement . La première semaine de juillet marquée par cinq attaques aux missiles et aux roquettes de la Résistance est-syrienne contre les deux bases de contrebande et de pillage du pétrole syrien que sont al Omar et Connoco, a d'ailleurs placé l'axe US/Israël face à la dure réalité : le maintien de l'US Army en Syrie orientale où sa mission consiste à répandre Daech à Homs et dans l'ouest de l'Irak demande bien plus qu'un contingent de 900 soldats à al-Tanf, autant sinon un peu plus à al Omar ou à Connoco.