Dans la nuit de 2 à 3 septembre, et alors même que le dernier « contingent terrestre » de l’entité sioniste en territoire syrien, dit « rebelles de Deraa » se rendait à Canossa, acceptant sous menace d’une action militaire éclaire Armée syrienne-Hezbollah, à rendre des armes ou à quitter cette province stratégique du sud de la Syrie, longeant le Golan occupé et le royaume jordanien, pour Idlib, un séisme se produisait dans le ciel syro-libano-« israélien ». Trop remonté à l’idée de se retrouver désormais au sein du CentCom en lieu et place de l’Eurocom, un CentCom qui se déploie, selon Defense news dans l’une des bases militaires israéliennew non loin de Tel-Aviv, équipée comme il se doit de Patriot et de THAAD et d’autres gadgets du genre, l’armée sioniste qui, a ces jours-ci les yeux sans cesse tournés vers les rivages de Beyrouth, en attendant que les quatre pétroliers iraniens bourrés de fioul et d’essence n’y arrivent, eux-mêmes ou leur cargaison et ne foulent ainsi au pied près de deux ans de complots lâches de blocus inhumain contre le Liban, s’est permise une nouvelle frappe aérienne contre la Syrie.