Avec un Israël dont l’armée de l’air avoue désormais « avoir diablement peur de la Syrie » pour cause de ces missiles « intercepteurs » syriens qu’il dit être de type SA-5 qui chassent des salves de 20 de 30 voire de 40 missiles de croisière israéliens dans le ciel du Golan, d’al-Tanf, de la Jordanie voire dans celui du sud Liban, et ce, non seulement parce qu’ils proviennent des batteries de missiles antimissiles Buk 2 E, , mais bien parce que l’axe de la Résistance aurait décidé à faire du sud de la Syrie et du sud du Liban, « sa principale base de défense aérienne à basse altitude », et qu’il travaillerait même depuis plus d’un an à la création d’un réseau de défense intégré « non statique » et « adaptables aux menaces», et surtout doté de dispositifs de guerre électronique comme ce superbe radar « Nasser 40 », passive, totalement furtif aux avions et aux satellites israéliens et surtout propre à abattre drones et missiles de croisière en milieux urbain, lequel radar va avec cet autre système d’aide-navigation « Moeen 40 » qui collecte des données non pas à partir du cabine de pilote et mais de l’avion lui-même, quitte à permettre à l’aviation syrienne de couvrir un périmètre de 400 kilomètres et ce, en totale connexion avec les stations radars au sol, il fallait bien s’y attendre.