CGRI: "pirates de mer" israéliens paniquent!

Rate this item
(0 votes)
CGRI: "pirates de mer" israéliens paniquent!

Le vendredi 31 octobre, Israël qui venait d'envoyer un de ses F-15 escorter un B1 américain dont la mission consistait à survoler, au-dessus du détroit d'Hormuz, en se faisant plus visible qu'il ne fallait aux radars ultra performants iraniens, histoire d'intimider l'Iran,

une tentative assez risible à laquelle les Iraniens n'ont pas tardé à répondre quelques heures plus tard, en annonçant avoir déjà fabriqué 25 kg d'uranium enrichi à 60%, n'avait, alors, aucune idée de ce méga coup qui se préparait en mer d'Oman. Aussi, depuis ce mercredi 3 novembre, date à la quelle la force navale du CGRI a diffusé pour la première fois et à la grande surprise des Yankee les images ahurissantes de sa chasse aux pirates de mer US qui tentaient, navires USS Sullivan et Murphy et Sentinel à l'appui, d'empêcher les forces iraniennes de saisir le pétrole iranien et de le ramener au bercail, c'est motus bouche-cousue à Tel-Aviv!

Pourquoi? le choc dépasse tout entendement . Car pour une entité sioniste qui se targuait il y a encore quelques mois d'avoir à son actif pas moins de 13 "opérations navales contre les pétroliers iraniens" mais qui en a eu pour ses frais quand les Iraniens se sont mis à riposter et lui renvoyer les carcasses de "Hyperion Ray", de "Lori", de "Helios Ray", ou le pire de tout celle de "Mercer Street" avec ses tués, ces images d'une opération navale anti-pirate parfaite, où chaque élément, vedettes rapides, destroyers et drones et évidemment commandos marins,  jouent en total  synchronie entre eux d'une part et avec le C2 de l'autre leur rôle, signifient beaucoup plus qu'un coup de com ou de pub. 
 

Elles renvoient à toutes ces déculottées "navales" que l'entité connait depuis le mois de mai, et qui ont commencé d'abord par le blocage du site offshore Tamar au second jours de l'opération de l’Épée de Qods sous les coups des missiles antinavire et des drones sous marins de Gaza et qui se sont poursuivis par ces "étranges" incidents visant tour à tour "les navires puis les commandos marins israéliens" et qui ont poussé l'entité à suspendre même le cours de leurs entrainement , puisque " des incendies et des mutilations de soldats ou des collisions entre navires devenait trop légion". D'ailleurs ces déboires ont fini par pousser Israël à renoncer à déployer ses propres sous-marins au détroit de Bab el-Mandeb où il a peur  d'Ansarallah et de ses drones et mines, et à n'agir qu'à l'ombre de la Ve flotte.

Il y a trois semaines, en effet, juste après l'annonce de la création d'une Task Force 59 de drone US à Bahreïn, Israël a annoncé pompeusement avoir mené son premier exercice naval conjoint avec la Ve flotte en mer  Rouge comme si cette intégration NavCent l'immunisait automatiquement .  c'était sans compter avec la dynamisme anti-empire inhérente à  l'axe de la Résistance, qui n'en déplaise à l'US Air Force et à ses B1 , sillonnent toutes les mers et les détroits de la région.

Ce mercredi alors même que les Sionistes comptaient faire sensation en annonçant à partir de ce 5 novembre, la tenue d'une nouvelle manœuvre navale conjointe avec l'US Navy, "impliquant pendant deux semaines,  des forces '''antiterroristes"", des forces de commando et des forces d’attaque à découvert, et simulant des techniques de guerre dans des zones ouvertes et des environnements urbains », les images choc du CGRI sont tombées.. Désormais Israël peut-il réellement compter sur NavCent pour l'installer définitivement en mer Rouge soit sur ces îles yéménites de Socotra et de Mion où il a pour mission de  couper le corridor anti sanction US de la Résistance? A en juger cette information qui au contraire de celle liée au premier face-à-face naval US Navy /CGRI en mer d'Oman fait la manchette de tous les médias israéliens ce samedi la réponse serait "NON".

Times of Israel écrit : "Le ministère de la Protection de l’environnement a notifié mercredi à une société publique d’oléoducs qu’il n’accorderait pas de permis pour un projet visant à utiliser une route terrestre israélienne pour acheminer le pétrole brut du Golfe vers l’Europe, invoquant des inquiétudes quant à d’éventuelles fuites. Cette décision, annoncée mercredi, fait pratiquement échouer un contrat lucratif de dix ans signé en décembre entre des responsables israéliens et émiratis, qui aurait permis d’augmenter considérablement la quantité de pétrole pompée dans les terminaux d’Eilat et d’Ashkelon. Le projet avait été critiqué par des militants et d’autres groupes, qui ont fait remarquer que l’oléoduc vieillissant était déjà responsable du pire déversement environnemental jamais constaté dans le pays, et qui craignaient qu’un autre incident ne dévaste le riche éventail de coraux de la mer Rouge au large d’Eilat, tout en nuisant au tourisme dans la ville. La proposition a été gelée par le ministère en juillet.

" Une pollution de corail ou .... la crainte d'une Epée de Qods bis ... ou d'une opération anti piratage signée Résistance en plein Eilat? n'est ce pas que Tamar contient du gaz palestinien piraté et que Léviathan pompe le gaz libanais ? ... Le commandant en chef du CGRI, département Ghazvin le répétait ce matin : "L'US Navy s'est réduit au rang d'un vulgaire pirate de mer que nous pourchassons..."  Alors Israël, pas même besoin d'en parler ... 

Read 434 times