Est-ce le crash-choc d'un F-35 B british au large de la Syrie alors même qu'il venait juste de décoller de Queen Elizabeth qui a motivé les Américains à annoncer une pareille nouvelle, et ce, au risque de se ridiculiser aux yeux du monde entier? Bien probable. Depuis mercredi date à laquelle un avion dit furtif et de cinquième génération de Sa Majesté s'est lamentablement écrasé en Méditerranée et que son épave peine à être localisée au point même que Londres en appelle aux Américains et à leurs remorqueurs pour se faire aider. Les milieux d'experts occidentaux s'efforcent de trouver une explication à ce crash qui s'est produit comble du malheur dans l'une des régions les plus voraces en termes d'achats d'armements occidentaux.
Au fait le F-35 britannique s'est abîmé en mer sous le nez et la barbe des Turcs engagés depuis plus d'un an dans une polémique avec le Pentagone qui leur refuse leurs F-35 pour les punir d'avoir acheté le S-400 russe. Mais outre les Turcs il y a des Emiratis qui ont tout misé sur l'entité dans le cadre d'un accord d'Abraham qui ne leur a rien apporté si ce n'est la promesse de se doter un jour de F-35 furtifs propres à basculer les rapports de forces aériennes en leur faveur dans le golfe Persique.
Que Londres perde aussi facilement un avion censé passer inaperçu aux yeux des radars, et ce non loin des pays de la Résistance plus la Russie en voilà un coup irréversiblement fatal. D'où cette annonce communiquée par les milieux militaires aux USA ; annonce qui constitue en soi le pire désaveu technologique qui soit à l'adresse de la machine de guerre occidentale.