Le Noble Prophète (SAWAS) a dit: « De vous tous, Ali ibn AbiTalib est celui qui maitrise le plus la science du jugement ».
S’agissant de la justice, Imam Ali durant son califat, partageait le trésor public équitablement entre tout le monde, il était ascète envers la richesse de ce monde et à chaque fois qu’il visitait la trésorerie islamique et y voyait l’or et l’argent, Il disait : *« l’or et l’argent, allez-vous en trompé quelqu’un autre que moi parce que vous ne me tromperiez jamais. »* et il les distribuait équitablement entre les besogneux et les nécessiteux.
Un Exemple de son jugement :
Un jour, une dame vint voir Deuxième Calife, Omar ibn Khattab et lui dit : « J’ai commis l’adultère !
Y avait-il des témoins ? lui demanda le Calife.
Oui, il y en avait et je veux être punie.
Très bien, dit-il en ordonnant à ces hommes de la punir.
 ce moment-là , Ali ibn Abi Taleb est entré et Omar ibn Khatab lui dit de prononcer un jugement à propos de la dame. Ali ibn Abi Taleb lui demanda :
Y avait-il des témoins ? lui demanda le Calife.
Oui, il y en avait et je veux être punie.
Très bien, dit-il en ordonnant à ces hommes de la punir.
 ce moment-là , Ali ibn Abi Taleb est entré et Omar ibn Khatab lui dit de prononcer un jugement à propos de la dame. Ali ibn Abi Taleb lui demanda :
« Quelle est votre crime femme ?
J’ai commis l’adultère.
Quelles en étaient les circonstances ?
Je n’avais rien à manger pour mes enfants et je suis allée demander de l’aide à un des riches du quartier. Il m’a dit : « Si tu veux à manger, tu devras commettre l’adultère avec moi. » Je lui ai dit : « Oh monsieur ! Craignez Allah. Ne dites pas de telles choses. » Je lui ai supplié une deuxième fois, mais à la troisième, j’ai cédé.
Très bien ! Vous pouvez partir, dit Ali ibn Abi Taleb (paix sur lui).
Que voulez-vous dire ?
Elle regarda Calife d’un air interrogateur et lui demanda :
« Que veut-il dire ? »
Omar demanda aussi à l’Imam Ali :
« Que veux-tu dire ?
Il dit : Dieu dans la sourate 5 : 3, dit ceci : « … Quiconque, contraint par la faim et non par inclination vers le péché [mange un peu de viandes interdites, sera absout], car, en vérité, DIEU pardonne [Il est] Miséricordieux. » Cette dame a été contrainte au péché par la faim et non par inclinaison. Allah pardonne ceux qui sont dans la faim, car c’est l’État qui en est responsable, et non les gens. L’État ne devrait pas laisser une femme dans une telle situation. C’est alors qu’Umar dit : *« Si Ali n’était pas là, Umar aurait péri. »*
J’ai commis l’adultère.
Quelles en étaient les circonstances ?
Je n’avais rien à manger pour mes enfants et je suis allée demander de l’aide à un des riches du quartier. Il m’a dit : « Si tu veux à manger, tu devras commettre l’adultère avec moi. » Je lui ai dit : « Oh monsieur ! Craignez Allah. Ne dites pas de telles choses. » Je lui ai supplié une deuxième fois, mais à la troisième, j’ai cédé.
Très bien ! Vous pouvez partir, dit Ali ibn Abi Taleb (paix sur lui).
Que voulez-vous dire ?
Elle regarda Calife d’un air interrogateur et lui demanda :
« Que veut-il dire ? »
Omar demanda aussi à l’Imam Ali :
« Que veux-tu dire ?
Il dit : Dieu dans la sourate 5 : 3, dit ceci : « … Quiconque, contraint par la faim et non par inclination vers le péché [mange un peu de viandes interdites, sera absout], car, en vérité, DIEU pardonne [Il est] Miséricordieux. » Cette dame a été contrainte au péché par la faim et non par inclinaison. Allah pardonne ceux qui sont dans la faim, car c’est l’État qui en est responsable, et non les gens. L’État ne devrait pas laisser une femme dans une telle situation. C’est alors qu’Umar dit : *« Si Ali n’était pas là, Umar aurait péri. »*
