Aéroport, stade, hôpitaux, télécommunication, infrastructure, depuis 15 jours les pilotes américain et britannique de la Royal Saudia Arabia, tentent de ramener à la case départ la guerre contre le Yémen qui entre bientôt dans sa huitième année et ne font aucune manière pour frapper sauvagement la capitale yéménite, et ce, dans l'espoir de voir Ansarallah jeter enfin l'éponge, renoncer à reprendre Maarib, accepter le démembrement du Yémen, et évidemment céder Bab el Mandeb aux Yankees, à leurs affidés golfiens. Tout le matraquage médiatique fait autour des "cargaisons d'armes iraniennes" que l’Amérique aurait saisie en mer Rouge avant qu'"elles ne tombent entre les mains d'Ansarallah", ou encore cette honteuse joie qu'affichent les médias saoudiens après la mort de l'ambassadeur iranien en post à Sanaa que les tergiversations planifiées de Riyad à permettre son évacuation urgente a accéléré après qu'il eu été diagnostiqué " atteint de Covid-19" renvoie à ceci, les USA cherchent à rendre la victoire d'Ansarallah, "coûteuse".