Qu’est-ce qui aurait poussé le commandant en chef du CentCom, Micheal Kurilla à atterrir ce 17 juillet en catastrophe à Tel-Aviv après une visite inopinée à al-Tanf en Syrie ? Dit à l’état brut, un problème radar. En effet et à lire la quasi-totalité de la presse sioniste, les deux jours et trois nuits de visite de Biden en territoires occupés de la Palestine commencée sous le signe d’une double batterie d’Iron Beam3 et d’Arrow que les sionistes avaient dressé à Ben Gourion par crainte que l’avion présidentiel ne fasse l’objet d’un coup aux roquettes ou aux drones de la Résistance a échoué à accoucher d’une coalition militaire Israël/golfe, encore moins d’une DCA intégrée anti Résistance, les Arabes du golfe Persique n’étant pas aussi incrédules que les sionistes le croyaient, eux qui ayant à l’esprit les frappes historiques anti Armaco ou anti Jabal Ali (Abou Dhabi) ont refusé net de jouer le jeu et de servir de bouclier extra territorial à l’entité.