Iron beam expédié précipitamment en Ukraine pour qu’il s’y mette à l’épreuve des Shahed 129, des Sjajed 191 et les Shaed 136 iraniens récemment livrés à la Russie, des frets bourrés de Harop fraichement arrivés à l’aéroport de Bakou pour qu’ils y embrasent la frontière Arménie/Azerbaïdjan/Iran puis une conférence militaire convoqué à la hâte à Tel Aviv où prennent part les chefs d’état-major de 24 pays otaniens plus celui du Maroc pour parler de « coopération stratégique militaire internationale » contre « les menaces conjoints, de quoi a-t-il si peur Israël pour remuer si hystériquement le ciel et la terre ? de deux choses : primo d’un ultimatum lancé par le secrétaire général du Hezbollah qui touche bientôt à sa fi, ultimatum comme quoi l’entité sioniste ne pourrait rien tirer des réserves offshores de la Méditerranée orientale ni à Karish ni à Léviathan, ni à Tamar ni dans aucun autre gisement, si le Liban n’en ferait pas autant. Et secundo de cette ambiguïté qui entoure totalement la nature de la première frappe du Hezbollah. Et ce sont ces deux points qu’attise l’assourdissant silence de Nasrallah