Si le régime d'occupation israélien a donné son feu vert à l'entrée d'une aide humanitaire minuscule, comparée à la demande, et dont la première livraison limitée a été effectuée, il faut dire que le carburant n'en faisait pas partie. Ce manque critique de carburant dans les hôpitaux de la bande de Gaza met en péril la vie de nombreux malades, mais aussi de nouveau-nés prématurés.
Mis à part les bébés qui nécessitent d'être soignés dans des couveuses, ce sont des milliers de patients qui souffrent, à titre d'exemple, d'insuffisance rénale qui sont en danger de mort. A ceux-là s'ajoutent les blessés, là aussi par milliers, qui souffrent de brûlures graves causées par les armes non conventionnelles d'Israël comme l'indique le ministre de la Santé de Gaza.