Des milliers de colons et de soldats israéliens sont aux prises avec la dépression en Palestine occupée où le bilan des suicides montre une hausse depuis le 7 octobre dernier.
Le journal israélien Maariv appelle « le samedi noir » le 7 octobre dernier marquant l’éclatement d’une guerre qui a entraîné de graves problèmes de santé psychique à des milliers de colons et militaires israéliens.
« Des centaines de soldats israéliens souffrent désormais de graves problèmes psychiques dus à la gravité de l’état de choc qu’ils ont vécu le 7 octobre (et de la gravité de la guerre dont ils ont été témoins avec le déclenchement de l’invasion terrestre à Gaza) ; cela à tel point que le secteur psychiatrique du système de santé israélien en est lourdement sous pression », écrit Maariv ; or, « les experts ne savent toujours pas quelles conséquences ces problèmes auront à long terme pour ceux qui en souffrent », ajoute le rapport.