La distinction de l'islam entre la bonne et la mauvaise musique est une des points forts du fiqh islamique. Les oulémas doivent désigner les critères et les artistes peuvent les utiliser, a déclaré l'ayatollah Araki, secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques, lors de la cérémonie de fermeture du festival de la musique du ''Prophète de gentillesse''.
La cérémonie de fermeture du festival de le musique du ''prophète de gentillesse'' a été organisée par l'organisation de la culture de la mairie de Téhéran en coopération avec la section de la culture du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques.
Félicitant l'anniversaire de la naissance du noble prophète de l'islam et celle de sa fils le vénéré Imam Sadiq, l'ayatollah Araki, secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques a remercié la mairie de Téhéran pour l'organisation de ce festival.
Donner de bons exemples pour la musique est un des grandes mesures dans le domaine de la culture, a déclaré l'ayatollah Araki.
Les oulémas doivent désigner les critères et les artistes peuvent les utiliser. Faire la distinction entre la bonne et la mauvaise musique est un point fort du fiqh islamique, a-t-il ajouté.
Félicitant l'anniversaire de la naissance du noble prophète de l'islam et celle de sa fils le vénéré Imam Sadiq, l'ayatollah Araki, secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques a remercié la mairie de Téhéran pour l'organisation de ce festival.
Donner de bons exemples pour la musique est un des grandes mesures dans le domaine de la culture, a déclaré l'ayatollah Araki.
Les oulémas doivent désigner les critères et les artistes peuvent les utiliser. Faire la distinction entre la bonne et la mauvaise musique est un point fort du fiqh islamique, a-t-il ajouté.