Le secrétaire d'Etat américain John Kerry a reconnu jeudi qu'une partie des fonds que l'Iran va récupérer grâce à la levée des sanctions américaines allait financer certaines de ses organisations militaires considérées comme terroristes par Washington.
Le Trésor américain évalue à 55 milliards de dollars la somme que Téhéran doit empocher du fait de l'allègement des mesures de rétorsion contre son économie, grâce à la mise en oeuvre, le 16 janvier, de l'accord international de Vienne scellé en juillet.
Interrogé par la chaîne américaine CNBC en marge du Forum économique de Davos pour savoir si une portion de ces 55 milliards de dollars allait tomber dans les mains de terroristes, M. Kerry a répondu: Je pense qu'une partie finira dans les mains du CGR (les Gardiens de la révolution, l'armée d'élite de l'Iran, Ndlr) ou d'autres entités, dont certaines sont classées terroristes.
Une partie du CGR, le Hezbollah et le gouvernement syrient sont des groupes, aux yeux des Etats-Unis, terroristes soutenus par l'Iran.
L'Iran qui soutient la Palestine et le Liban contre l'invasion du régime israélien, allié du premier ligne des Etats-Unis, est toujours accué par les américains de soutenir les groupes terroristes.
En Syrie et en Irak, l'Iran soutient et aide les deux gouvernements contre les groupes extrémistes armés dont Daech (EI).
Interrogé par la chaîne américaine CNBC en marge du Forum économique de Davos pour savoir si une portion de ces 55 milliards de dollars allait tomber dans les mains de terroristes, M. Kerry a répondu: Je pense qu'une partie finira dans les mains du CGR (les Gardiens de la révolution, l'armée d'élite de l'Iran, Ndlr) ou d'autres entités, dont certaines sont classées terroristes.
Une partie du CGR, le Hezbollah et le gouvernement syrient sont des groupes, aux yeux des Etats-Unis, terroristes soutenus par l'Iran.
L'Iran qui soutient la Palestine et le Liban contre l'invasion du régime israélien, allié du premier ligne des Etats-Unis, est toujours accué par les américains de soutenir les groupes terroristes.
En Syrie et en Irak, l'Iran soutient et aide les deux gouvernements contre les groupes extrémistes armés dont Daech (EI).