Agence de Nouvelles d'Ahlul Bait (ABNA) : "L'Iran avait préparé des centaines de missiles à lancer contre des navires américains et France déplacés dans le golfe Persique, où il toute confrontation à la suite de la rétention des marines américains qui ont pénétré dans les eaux territoriales de l'Iran", a déclaré le commandant adjoint du corps des gardiens de la révolution islamique d'Iran (CGRI), le brigadier-général, Hussein Salami samedi.

Dans une interview télévisée avec la Radio et la télévision d'Iran (IRIB), Salami dit que lors de l'USA Navy s'est rendu compte que leurs marines avaient été interceptés et alors retenus par les troupes de CGRI, il a perdu le contrôle, est devenu furieux et entra rapidement en action.

« Le porte-avions américain s'installe rapidement à environ 20 milles de l'île de Farsi et leurs navires de combat s'est approché de nos eaux, créant une atmosphère de tension et d'incertitude pendant une heure, » a poursuivi le général iranien.

Dans un premier temps, a-t-il expliqué, nous avons pensé c'était une tactique psychologique, cependant, qu'ils avaient d'autres exigences, comme ils ont demandé notre autorisation pour envoyer son hélicoptère sur l'île iranienne avec l'objectif d'amener ses Marines. Demande que nous refusions, a-t-il ajouté.

"Nos troupes a voulu leur faire peur, en fait, les a avertis qu'ils sont loin de la zone, mais ils seraient attaqués. Nous demandons qu'ils soient loin de nos eaux et qu'ils contiennent, leur assurant que nous avons eu ses forces de sécurité. C'est qu'ils ont décidé de quitté la région (...) ", dit-il.

Toujours il a dit, nous n'excluent pas la possibilité qui pourrait réagir à ce qui aurait été une grave erreur, donc, nous passons immédiatement nos missiles de lancement de bateaux dans le golfe Persique, nous étions parfaitement préparés à passer à l'action et à réagir car c'est en raison de toute attaque.

"Nous avions préparé des centaines de missiles prêts à être lancés. Nous avons à plusieurs reprises mis en garde les américains de se conformer à toute provocation (...) ", a dit le sous-commandant persan.

Après avoir passé 15 heures après la rétention des bateaux américains, États-Unis devait augmenter le nombre de ses navires, mais finalement fait marche arrière et a quitté la zone.

Le général iranien, citant les recherches, a déclaré qu'une faille dans les systèmes de navigation avait conduit aux bateaux américains dans les eaux de l'Iran et il est surprenant que les navires Français et américains n'avaient pas remarqué son absence.

Selon Salami, ces faits ont montré une fois de plus le pouvoir de la force armée de l'Iran pour faire face à n'importe quel ennemi menace.

« Nos ennemis sachent que toute erreur tactique recevra une réponse forte de notre part », a-t-il averti.

Il a également été suggéré États-Unis changer son approche sur les développements régionaux et ne parviennent pas à les voir avec une vision de la guerre froide.

L'Iran a libéré 13 janvier deux vedettes militaires américaines, avec ses 10 membres d'équipage, qui avaient été retenus après avoir violé les eaux territoriales en persan, l'IRGC a déclaré dans un communiqué.

Hostilités d'Arabie saoudite à l'Iran

Ailleurs dans ses remarques, Salami général visées à l'attitude hostile et provocateur de l'Arabie saoudite envers l'Iran et déploré le rôle destructeur de Riyad sur la région ces dernières années.

« Malheureusement, le régime Saoud a exercé un rôle destructeur sur la sécurité et la dignité de nombreuses villes de la région au cours des dernières années et avec le passage du temps est l'extension du domaine de leur mal, » dit-il.

Enfin, interrogé sur la réponse de l'Iran à une possible menace militaire de l'Arabie saoudite contre le pays de Perse, Salami a dit qu'il préférait ne pas y toucher ce sujet, car, selon lui, il semble ridicule de parler de quelque chose de tellement insignifiant, parce qu'il a simplement rappelé l'inefficacité de l'armée Arabie armés jusqu'aux dents dans sa guerre d'agression au Yémen.

Arabie saoudite a battu diplomatiques et des relations commerciales avec l'Iran après des protestations contre leur siège diplomatique à Téhéran (la capitale) et de Machhad (nord-est) en réaction à l'exécution de l'éminent ecclésiastique de chiite cheikh Nimr Baqer al - Nimr par Al Saoud.