Les autorités iraniennes et françaises ont signé ce jeudi, deuxième journée de visite en France, du président iranien, Hassan Rohani, une trentaine d'accords dans différents domaines, notamment dans le domaine économique.
"Il y a eu une trentaine d'accords signés dans des domaines très différents. D'abord les finances, conditions préalables pour qu'il puisse y avoir des échanges. Des accords qui iront ensuite de l'agriculture jusqu'à la santé en passant par l'industrie, les télécommunications, l'aéronautique, le développement durable, les transports etc", a déclaré le président français, François Hollande lors d'une conférence de presse commune avec son homologue iranien, à l'Elysée.
Selon le président Hollande, tous les domaines sont couverts et de nombreuses entreprises françaises sont concernées. Il s'agit entre autres, de Total, PSA, Airbus, Aéroports de Paris, Bouygues et Sanofi, a-t-il cité.
"Plusieurs d'entre elles (entreprises) étaient déjà installées en Iran, il y a des années et, aujourd'hui elles peuvent y retourner pour être utiles à nos deux pays", a indiqué le président français.
Des accords ont également été signés dans le domaine de l'éducation, notamment en matière de coopération entre les universités des deux pays, a ajouté le président iranien.
Le président Rohani se dit confiant grâce aux bonnes relations que son pays a eu par le passé avec des entreprises françaises qui viennent d'officialiser leur retour en Iran afin de "reprendre les travaux à zéro pour résorber ce retard de ces dernières années".
"Ces accords sont la preuve que le gouvernement français mais aussi le secteur privé, ont une volonté de travailler en commun dans l'intérêt de nos deux pays", a dit le président iranien.
L'objectif à travers ces relations est l'investissement en Iran, la "création de l'emploi pour nos jeunes" et l'obtention de marchés communs pour "nos deux pays", a expliqué le président Rohani.
Au plan diplomatique, les deux chefs d'Etat ont abordé des questions politiques principalement liées à la crise au Moyen-Orient et au terrorisme.
Pour le président français, la lutte contre le terrorisme qui frappe tous les individus sans distinction de confession religieuse, passe par la résolution des questions politiques du Moyen-Orient.
"Nous avons parlé de la Syrie et, il est urgent de mettre en œuvre des mesures humanitaires mais aussi de régler une transition politique. Elle est possible et, est pour l'instant renvoyer à une négociation qui tarde à s'ouvrir. Nous devons donc favoriser cette discussion", a expliqué le président Hollande.
Selon le président Hollande, tous les domaines sont couverts et de nombreuses entreprises françaises sont concernées. Il s'agit entre autres, de Total, PSA, Airbus, Aéroports de Paris, Bouygues et Sanofi, a-t-il cité.
"Plusieurs d'entre elles (entreprises) étaient déjà installées en Iran, il y a des années et, aujourd'hui elles peuvent y retourner pour être utiles à nos deux pays", a indiqué le président français.
Des accords ont également été signés dans le domaine de l'éducation, notamment en matière de coopération entre les universités des deux pays, a ajouté le président iranien.
Le président Rohani se dit confiant grâce aux bonnes relations que son pays a eu par le passé avec des entreprises françaises qui viennent d'officialiser leur retour en Iran afin de "reprendre les travaux à zéro pour résorber ce retard de ces dernières années".
"Ces accords sont la preuve que le gouvernement français mais aussi le secteur privé, ont une volonté de travailler en commun dans l'intérêt de nos deux pays", a dit le président iranien.
L'objectif à travers ces relations est l'investissement en Iran, la "création de l'emploi pour nos jeunes" et l'obtention de marchés communs pour "nos deux pays", a expliqué le président Rohani.
Au plan diplomatique, les deux chefs d'Etat ont abordé des questions politiques principalement liées à la crise au Moyen-Orient et au terrorisme.
Pour le président français, la lutte contre le terrorisme qui frappe tous les individus sans distinction de confession religieuse, passe par la résolution des questions politiques du Moyen-Orient.
"Nous avons parlé de la Syrie et, il est urgent de mettre en œuvre des mesures humanitaires mais aussi de régler une transition politique. Elle est possible et, est pour l'instant renvoyer à une négociation qui tarde à s'ouvrir. Nous devons donc favoriser cette discussion", a expliqué le président Hollande.