L'Union européenne a prorogé vendredi d'un an, jusqu'au 1er juin 2017, les sanctions imposées au gouvernement syrien.
Le boycott inclue notamment un embargo pétrolier et un gel des avoirs de la banque centrale syrienne en Europe, précise l'AFP.
A l'origine de cette décision, on trouve le Conseil de l'UE. Cette instance a prétendu que les sanctions seraient maintenues, tant que continuera ce qu'elle a appelé "la répression".
Cette nouvelle intervient alors que le gouvernement légitime syrien est en lutte contre les groupes terroristes.
Les sanctions européennes incluent un embargo pétrolier, des restrictions sur certains investissements, un gel des avoirs de la banque centrale syrienne dans l'UE, et des restrictions sur les exportations de certains équipements et technologies.
Le communiqué ajoute pourtant que l'UE reste déterminée à trouver une solution durable au conflit en Syrie.