L'Iran a signé des contrats de vente de pétrole brut à sept compagnies européennes, a rapporté dimanche l'agence de presse semi-officielle iranienne Mehr, citant un responsable du secteur pétrolier iranien.
L'Iran a signé ces contrats à long terme avec Saras SpA et Eni (Italie), Repsol (Espagne), Hellenic Petroleum SA (Grèce), Total (France), Vitol Group (Suisse) et Lukoil (Russie), a fait savoir Mohsen Qamsari, directeur exécutif pour les affaires internationales de la Compagnie nationale du pétrole de l'Iran (NIOC).
"Des contrats de vente d'environ 700.000 barils par jour (bpj) ont été signés jusqu'à présent" avec les entreprises européennes, a précisé M. Qamsari, ajoutant que les exportations vers ces entreprises ont déjà débuté.
Les exportations de pétrole de l'Iran se sont élevées à 2,1 millions de bpj, par rapport à environ un million bpj pendant la période de sanction, et pourrait atteindre 2,5 millions de bpj à la fin de l'été 2016.
Le nouveau Iran Petroleum Contrat (IPC, modèle de contrat nouvellement développé) est une des stratégies pour attirer des investissements et moderniser l'industrie pétrolière du pays, a déclaré plus tôt ce mois le vice-ministre iranien du Pétrole pour les affaires internationales, Amir Hossein Zamaninia.
A cette fin, le pays élabore des projets pour attirer 185 milliards de dollars d'investissements dans tous les secteurs de l'industrie pétrolière au cours d'une période de cinq ans, a indiqué M. Zamaninia, ajoutant que 85 milliards de dollars de ces investissements iront au secteur en amont de l'industrie.
Une fois mis en oeuvre, l'IPC, qui a remplacé les contrats traditionnels iraniens d'achat en retour (buy-back), aidera le pays à séduire des investisseurs asiatiques et européens.
Dans le cadre de l'IPC, la NIOC établira des joint-ventures pour produire du pétrole brut avec des compagnies internationales qui seront payées avec des parts de la production.
"Des contrats de vente d'environ 700.000 barils par jour (bpj) ont été signés jusqu'à présent" avec les entreprises européennes, a précisé M. Qamsari, ajoutant que les exportations vers ces entreprises ont déjà débuté.
Les exportations de pétrole de l'Iran se sont élevées à 2,1 millions de bpj, par rapport à environ un million bpj pendant la période de sanction, et pourrait atteindre 2,5 millions de bpj à la fin de l'été 2016.
Le nouveau Iran Petroleum Contrat (IPC, modèle de contrat nouvellement développé) est une des stratégies pour attirer des investissements et moderniser l'industrie pétrolière du pays, a déclaré plus tôt ce mois le vice-ministre iranien du Pétrole pour les affaires internationales, Amir Hossein Zamaninia.
A cette fin, le pays élabore des projets pour attirer 185 milliards de dollars d'investissements dans tous les secteurs de l'industrie pétrolière au cours d'une période de cinq ans, a indiqué M. Zamaninia, ajoutant que 85 milliards de dollars de ces investissements iront au secteur en amont de l'industrie.
Une fois mis en oeuvre, l'IPC, qui a remplacé les contrats traditionnels iraniens d'achat en retour (buy-back), aidera le pays à séduire des investisseurs asiatiques et européens.
Dans le cadre de l'IPC, la NIOC établira des joint-ventures pour produire du pétrole brut avec des compagnies internationales qui seront payées avec des parts de la production.