Une adolescente de 16 ans, qui se disait prête à commettre un attentat en France, a été mise en examen lundi à Paris et placée en détention provisoire, a-t-on appris de source judiciaire.
La jeune fille avait été interpellée jeudi dans le cadre d'une opération antiterroriste à Melun (Seine-et-Marne), en grande banlieue parisienne.
Très radicalisée, la jeune fille était administratrice d'un groupe sur Telegram, où lors de conversations elle a relayé de nombreux messages de propagande du groupe Daech, a relayé des appels à la commission d'un attentat et a également exprimé son intention de passer à l'acte, a précisé une source proche de l'enquête.
Les enquêteurs sont remontés jusqu'à l'adolescente, qui n'a pas d'antécédent judiciaire, après avoir repéré un message très inquiétant posté au sein de ce groupe sur Telegram, a indiqué cette source.
L'adolescente a été mise en examen des chefs d'association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste criminelle et provocation à la commission d'actes de terrorisme par un moyen de communication en ligne, en l'occurrence la messagerie cryptée Telegram, a précisé cette source.
Une information judiciaire, confiée aux magistrats du pôle antiterroriste de Paris, a été ouverte lundi par le parquet de Paris.
Des perquisitions ont été menées jeudi par les policiers d'élite du Raid à Melun, notamment au domicile familial de la jeune fille. Ni arme ni explosif n'ont été découverts.
A ce stade des investigations, les enquêteurs n'ont pas mis en évidence une cible de lieu ou un projet (d'attaque) abouti, a ajouté la source proche de l'enquête.
Très radicalisée, la jeune fille était administratrice d'un groupe sur Telegram, où lors de conversations elle a relayé de nombreux messages de propagande du groupe Daech, a relayé des appels à la commission d'un attentat et a également exprimé son intention de passer à l'acte, a précisé une source proche de l'enquête.
Les enquêteurs sont remontés jusqu'à l'adolescente, qui n'a pas d'antécédent judiciaire, après avoir repéré un message très inquiétant posté au sein de ce groupe sur Telegram, a indiqué cette source.
L'adolescente a été mise en examen des chefs d'association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste criminelle et provocation à la commission d'actes de terrorisme par un moyen de communication en ligne, en l'occurrence la messagerie cryptée Telegram, a précisé cette source.
Une information judiciaire, confiée aux magistrats du pôle antiterroriste de Paris, a été ouverte lundi par le parquet de Paris.
Des perquisitions ont été menées jeudi par les policiers d'élite du Raid à Melun, notamment au domicile familial de la jeune fille. Ni arme ni explosif n'ont été découverts.
A ce stade des investigations, les enquêteurs n'ont pas mis en évidence une cible de lieu ou un projet (d'attaque) abouti, a ajouté la source proche de l'enquête.