Le président du Parlement iranien Ali Larijani a dénoncé dimanche les frappes aériennes présumées dirigées par l'Arabie saoudite contre la capitale yéménite, Sanaa, et a déclaré que l'Iran était prêt à soigner les personnes blessées, a rapporté Press TV."La République islamique d'Iran est prête à agir rapidement en ce qui concerne le transfert des blessés (yéménites) et leurs soins (en Iran) dans le cadre de la coordination avec le Comité international de la Croix-Rouge (CICR)" , a indiqué M. Larijani.
"Au terme de plus d'une année et demie d'agression militaire mortelle d'Arabie saoudite contre le Yémen et des actes de violence à l'encontre du peuple opprimé de ce pays, le monde a été choqué une nouvelle fois par les raids aériens saoudiens sur un hall funéraire dans la capitale Sanaa, qui a fait des centaines de morts et blessés parmi les civils sans défense", a poursuivi le président du Parlement iranien.
A cette occasion, il a reproché à la communauté internationale "son silence et son indifférence" face à la situation au Yémen.
Les frappes meurtrières présumées lors d'une cérémonie funéraire à Sanaa samedi ont suscité un tollé parmi les dirigeants iraniens.
Selon des sources médicales, les raids aériens ont coûté la vie à plus de 160 personnes dont des responsables militaires et du gouvernement alliés des révolutionnaires houthis.
"Au terme de plus d'une année et demie d'agression militaire mortelle d'Arabie saoudite contre le Yémen et des actes de violence à l'encontre du peuple opprimé de ce pays, le monde a été choqué une nouvelle fois par les raids aériens saoudiens sur un hall funéraire dans la capitale Sanaa, qui a fait des centaines de morts et blessés parmi les civils sans défense", a poursuivi le président du Parlement iranien.
A cette occasion, il a reproché à la communauté internationale "son silence et son indifférence" face à la situation au Yémen.
Les frappes meurtrières présumées lors d'une cérémonie funéraire à Sanaa samedi ont suscité un tollé parmi les dirigeants iraniens.
Selon des sources médicales, les raids aériens ont coûté la vie à plus de 160 personnes dont des responsables militaires et du gouvernement alliés des révolutionnaires houthis.