"La solution de deux États - israélien et palestinien - est la seule possible" selon le chef de la diplomatie française Jean-Marc Ayrault, qui s'est exprimé en ouverture de la conférence pour la paix au Proche-Orient qui réunit ce dimanche à Paris, 70 pays et organisations internationales, pour une paix équitable et durable entre Israéliens et Palestiniens.La création de deux États distincts est la seule issue permettant de répondre "aux aspirations légitimes" et "aux droits" des deux parties, a-t-il affirmé. L'objectif de cette conférence est de "recréer les conditions d'une négociation" entre les deux parties et de tracer des pistes d'action afin de "rouvrir un horizon politique face à une situation d'occupation indéfinie et d'explosions régulières de la violence", a indiqué Jean-Marc Ayrault.
Expliquant avoir conscience de "certaines réserves exprimées à l'encontre de cette conférence", le ministre français a insisté sur "l'urgence de la situation" et a rappelé l'engagement de la France pour tenter de "sortir de l'impasse actuelle" avec l'organisation d'une première réunion interministérielle le 3 juin dernier à Paris.
Le ministre français des Affaires étrangères a souligné la qualité du travail réalisé à l'issue de cette rencontre par la Suède, l'Allemagne, la Norvège et l'Union européenne. Il a également salué "l'action infatigable" de son homologue américain John Kerry, qui effectuait ce dimanche son dernier déplacement international en qualité de secrétaire d'État, et a également remercié le Quartet (composé des États-Unis, de la Russie, de l'Union européenne et des Nations Unies) et l'Égypte pour leurs efforts dans le processus de paix.
Cette conférence pour la paix au Proche-Orient réunit notamment plusieurs représentants de la Ligue des États arabes, des Nations Unies, de l'Union européenne et de l'Organisation de la coopération islamique, mais se tient en l'absence des principaux intéressés puisque aucun représentant d'Israël et des Territoires palestiniens n'était présents.
A ce sujet, le chef de la diplomatie française a expliqué que la France était prête à présenter "sans délai" les résultats de la conférence aux deux parties. "Nous sommes venus ici à Paris tous ensemble pour tendre la main aux bonnes volontés pour qu'enfin elles puissent aussi la saisir pour négocier la paix pour l'avenir", s'est-il ainsi exprimé devant les participants.
Une récente résolution des Nations Unies condamne la colonisation israélienne en Cisjordanie, avec, fait rare, l'abstention des États-Unis lors du vote. Une décision aussitôt rejetée par le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu.
Expliquant avoir conscience de "certaines réserves exprimées à l'encontre de cette conférence", le ministre français a insisté sur "l'urgence de la situation" et a rappelé l'engagement de la France pour tenter de "sortir de l'impasse actuelle" avec l'organisation d'une première réunion interministérielle le 3 juin dernier à Paris.
Le ministre français des Affaires étrangères a souligné la qualité du travail réalisé à l'issue de cette rencontre par la Suède, l'Allemagne, la Norvège et l'Union européenne. Il a également salué "l'action infatigable" de son homologue américain John Kerry, qui effectuait ce dimanche son dernier déplacement international en qualité de secrétaire d'État, et a également remercié le Quartet (composé des États-Unis, de la Russie, de l'Union européenne et des Nations Unies) et l'Égypte pour leurs efforts dans le processus de paix.
Cette conférence pour la paix au Proche-Orient réunit notamment plusieurs représentants de la Ligue des États arabes, des Nations Unies, de l'Union européenne et de l'Organisation de la coopération islamique, mais se tient en l'absence des principaux intéressés puisque aucun représentant d'Israël et des Territoires palestiniens n'était présents.
A ce sujet, le chef de la diplomatie française a expliqué que la France était prête à présenter "sans délai" les résultats de la conférence aux deux parties. "Nous sommes venus ici à Paris tous ensemble pour tendre la main aux bonnes volontés pour qu'enfin elles puissent aussi la saisir pour négocier la paix pour l'avenir", s'est-il ainsi exprimé devant les participants.
Une récente résolution des Nations Unies condamne la colonisation israélienne en Cisjordanie, avec, fait rare, l'abstention des États-Unis lors du vote. Une décision aussitôt rejetée par le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu.