La mairie israélienne de Jérusalem a donné son feu vert définitif à la construction de 566 logements dans trois quartiers de colonisation de Jérusalem-Est deux jours après l'entrée en fonction du président américain Donald Trump, a annoncé un conseiller municipal.Les permis de construire de ces logements avaient été gelés à la fin décembre à la demande du Premier ministre Benjamin Netanyahu en attendant l'arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche, a précisé à l'AFP, Meïr Turjeman, président de la commission de la construction et de planification de la municipalité de Jérusalem.
Ces logements seront construits dans les quartiers de colonisation de Pisgat Zeev, Ramot et Ramat Shlomo, a précisé Meïr Turjeman.
Selon lui, "les règles du jeu ont changé avec l'arrivée au pouvoir de Donald Trump. Nous n'avons plus les mains liées comme du temps de Barack Obama, désormais nous pouvons enfin construire".
"Ces 566 logement ne sont qu'un coup d'envoi. Nous avons des plans pour la construction de 11.000 logements qui attendent les autorisations", dans les quartiers de colonisation de Jérusalem-Est, a-t-il ajouté.
Benjamin Netanyahu s'est chaudement félicité de l'arrivée au pouvoir de Donald Trump après avoir entretenu des relations tendues avec Barack Obama, critique sur la question des colonies présentées comme un des obstacles à la reprise des négociations avec les Palestiniens gelées depuis plus de deux ans.
La tension avec Obama avait atteint son paroxysme lorsque le 23 décembre les Etats-Unis pour la première fois depuis 1979 les Etats-Unis n'ont pas mis leur veto à une résolution de l'ONU condamnant les colonies israéliennes.
Les 14 autres membres du Conseil ont voté en faveur du texte qui exhorte Israël à "cesser immédiatement toute activité de colonisation en territoire palestinien occupé, dont Jérusalem-Est", et affirme que les colonies "n'ont pas de valeur juridique" et sont "dangereuses pour la viabilité d'une solution à deux Etats" israélien et palestinien.
Quelque 430.000 colons israéliens vivent actuellement en Cisjordanie occupée et ils sont plus de 200.000 à Jérusalem-Est dont les Palestiniens veulent faire la capitale de l'Etat auquel ils aspirent.
Ces logements seront construits dans les quartiers de colonisation de Pisgat Zeev, Ramot et Ramat Shlomo, a précisé Meïr Turjeman.
Selon lui, "les règles du jeu ont changé avec l'arrivée au pouvoir de Donald Trump. Nous n'avons plus les mains liées comme du temps de Barack Obama, désormais nous pouvons enfin construire".
"Ces 566 logement ne sont qu'un coup d'envoi. Nous avons des plans pour la construction de 11.000 logements qui attendent les autorisations", dans les quartiers de colonisation de Jérusalem-Est, a-t-il ajouté.
Benjamin Netanyahu s'est chaudement félicité de l'arrivée au pouvoir de Donald Trump après avoir entretenu des relations tendues avec Barack Obama, critique sur la question des colonies présentées comme un des obstacles à la reprise des négociations avec les Palestiniens gelées depuis plus de deux ans.
La tension avec Obama avait atteint son paroxysme lorsque le 23 décembre les Etats-Unis pour la première fois depuis 1979 les Etats-Unis n'ont pas mis leur veto à une résolution de l'ONU condamnant les colonies israéliennes.
Les 14 autres membres du Conseil ont voté en faveur du texte qui exhorte Israël à "cesser immédiatement toute activité de colonisation en territoire palestinien occupé, dont Jérusalem-Est", et affirme que les colonies "n'ont pas de valeur juridique" et sont "dangereuses pour la viabilité d'une solution à deux Etats" israélien et palestinien.
Quelque 430.000 colons israéliens vivent actuellement en Cisjordanie occupée et ils sont plus de 200.000 à Jérusalem-Est dont les Palestiniens veulent faire la capitale de l'Etat auquel ils aspirent.