Israël a poursuivi son offensive de colonisation jeudi sous l'effet de la présidence Trump en avalisant la construction de 153 logements à Jérusalem-Est annexée et occupée, et en promettant des milliers d'autres dans les prochains mois.
La municipalité israélienne de Jérusalem a donné jeudi son accord final à 153 nouvelles unités d'habitation dans le quartier de Gilo, a indiqué à l'AFP le maire adjoint de Jérusalem, Meïr Turjeman, président du comité de planification et de construction de la municipalité de Jérusalem.
"Les entrepreneurs peuvent commencer à construire demain", a-t-il ajouté.
Il s'agit de la troisième annonce du genre en six jours. M. Turjeman a dit ouvertement qu'avec l'accession de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis, la donne avait changé en ce qui concerne la construction par Israël de logements en territoires palestiniens occupés.
Comme beaucoup d'autres, le programme de Gilo était gelé depuis deux ans sous la pression de l'administration Obama, a-t-il dit. Environ 11.000 autres logements attendent une approbation, rien qu'à Jérusalem, selon lui.
"Dans les prochains mois, je vais délivrer des permis pour des milliers de logements à Jérusalem", a-t-il dit.
Les autorités israéliennes se sont engouffrées dans l'espace ouvert par l'avènement de M. Trump, jetant aux orties la relative retenue observée dans leurs activités de colonisation au cours des dernières semaines de la présidence Obama.
Dimanche, premier jour ouvré après la prestation de serment de M. Trump, et le jour du premier entretien téléphonique entre le nouveau président américain et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, la mairie de Jérusalem a donné son feu vert définitif à la construction de 566 logements dans trois quartiers de colonisation de Jérusalem-Est.
Deux jours après, le gouvernement israélien annonçait la construction de 2.502 logements de colonisation en Cisjordanie, autre territoire palestinien occupé depuis 1967.
"Nous construisons et nous continuerons à construire", tweetait alors Benjamin Netanyahu, qui ne cache pas que la présidence Trump représente une "chance formidable" après les "pressions énormes" de l'administration Obama sur la colonisation.
"Les entrepreneurs peuvent commencer à construire demain", a-t-il ajouté.
Il s'agit de la troisième annonce du genre en six jours. M. Turjeman a dit ouvertement qu'avec l'accession de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis, la donne avait changé en ce qui concerne la construction par Israël de logements en territoires palestiniens occupés.
Comme beaucoup d'autres, le programme de Gilo était gelé depuis deux ans sous la pression de l'administration Obama, a-t-il dit. Environ 11.000 autres logements attendent une approbation, rien qu'à Jérusalem, selon lui.
"Dans les prochains mois, je vais délivrer des permis pour des milliers de logements à Jérusalem", a-t-il dit.
Les autorités israéliennes se sont engouffrées dans l'espace ouvert par l'avènement de M. Trump, jetant aux orties la relative retenue observée dans leurs activités de colonisation au cours des dernières semaines de la présidence Obama.
Dimanche, premier jour ouvré après la prestation de serment de M. Trump, et le jour du premier entretien téléphonique entre le nouveau président américain et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, la mairie de Jérusalem a donné son feu vert définitif à la construction de 566 logements dans trois quartiers de colonisation de Jérusalem-Est.
Deux jours après, le gouvernement israélien annonçait la construction de 2.502 logements de colonisation en Cisjordanie, autre territoire palestinien occupé depuis 1967.
"Nous construisons et nous continuerons à construire", tweetait alors Benjamin Netanyahu, qui ne cache pas que la présidence Trump représente une "chance formidable" après les "pressions énormes" de l'administration Obama sur la colonisation.