L’arbitre syrien des épreuves de récitation des 34èmes compétitions internationales coraniques de Téhéran a déclaré que les compétitions de Téhéran avaient des particularités qui n’existaient pas dans les autres compétitions internationales des pays arabes.
Dans un entretien avec l’Agence iranienne de presse coranique (IQNA), Mounir Mohammad Aghleh, lecteur syrien et arbitre syrien des épreuves de récitation des 34èmes compétitions internationales coraniques de Téhéran a expliqué : « En Iran, les organisateurs ne peuvent pas intervenir dans les évaluations du jury contrairement à ce qui se passe parfois, dans les pays arabes et qui n’est pas très moral. »
« Je tiens à affirmer que les compétitions en Iran, sont saines et justes, et que les droits des concurrents sont totalement respectés », a-t-il souligné.
Mohammad Aghleh a ajouté : « Cependant, dans la discipline de mémorisation des points importants sont donnés pour la mélodie qui doivent être diminués à mon avis, au profit des points pour le respect des règles de récitation. »
« Le règlement des épreuves de récitation ne pose pas de problème et j’espère que nous assisterons aux finales, à des lectures de plus haut niveau. Ces compétitions encouragent les activités coraniques et font que les enfants, dès le plus jeune âge, sont éduqués selon les principes coraniques », a-t-il dit.