Pour la première fois le président américain Barack Obama révèle ouvertement le conflit de son pays avec le gouvernement de l’occupation sioniste pour prouver à Netanyahu et l'entité que la sécurité nationale américaine est la plus importante que les décisions téméraires des dirigeants israéliens. Décrivant la pression qu’exerce l’entité israélienne comme le vacarme qui doit être ignoré.
De nombreuses données et faits, indiquent la profondeur du conflit israélo-américain à propos de la question iranienne et du nucléaire pacifique qui soulève la spéculation et des questions sur l'avenir de la région qui se penche tantôt vers le calme et tantôt vers l'escalade militaire et politique !
Bien que tout au long de l'histoire les candidats américains essayaient en permanence de courtiser l'entité sioniste afin de remporter les votes du lobby sioniste aux Etats-Unis, la politique que le président américain Barack Obama entame aujourd'hui a tendance à ne plus se soumettre à la volonté de Netanyahou à propos de l'Iran.
Les tentatives israéliennes n'hésite pas à mendier les américains parfois, et faire pression sur eux à d'autres moments, dans ce cadre l'ambassadeur sioniste en Amérique est arrivé à Tel Aviv pour consulter les dirigeants sioniste sur la manière de convaincre l'Amérique d'adopter des lignes rouges sur la base de trois piliers relatifs à l'uranium iranien: la quantité, la fréquence et le degré d'enrichissement, ce qui garantit selon les sionistes que l’Iran ne se procure pas d’une puissance nucléaire.
En revanche, pour la première fois, le président américain a révélé explicitement la crise de son pays avec le gouvernement de l'entité sioniste dans une interview sur la chaîne américaine CBS dans un programme intitulé «٦٠ Minutes», Obama a déclaré fermement que «quand il s'agit de décisions relatives à la sécurité nationale, la pression que je ressens est celle qui me pousse à tout faire pour le bien du peuple américain et j'ai l'intention de repousser tout vacarme qui résonne. "
Par ailleurs Obama avait évité de rencontrer Netanyahu en marge de la réunion de l'Assemblée générale des Nations Unies et auquel ils participent malgré cela il a annoncé hier lors d’une interview que l’entité sioniste est «l’un des alliés les plus proches ».
Sur le champ, Mit Romney, le candidat républicain a critiqué la négligence de Netanyahu de la part du président Obama en marge de l'Assemblée générale des Nations Unies, en disant: «La décision du président de ne pas rencontrer Netanyahu, le premier ministre d'Israël, à l'Assemblée générale des Nations Unies, est une mauvaise décision qui envoie un message à travers le Moyen- Est que nous nous éloignons de nos amis »