Malgré les allégations occidentales, il n’y a aucune preuve confirmant un prétendu usage d’armes chimiques par le gouvernement syrien à Douma, ce qui, d’ailleurs, n’empêche pas les Français de chercher des prétextes pour imposer leur propre version des faits.
Selon l’agence de presse Fars News, dans un communiqué ce mardi 17 avril, le ministère français des Affaires étrangères a prétendu être inquiet « quant à la dissimulation de preuves sur d’éventuelles armes chimiques lors de l’attaque de samedi dernier en Syrie ».
« Il est très probable que des preuves et des éléments essentiels disparaissent du site de Douma, en Syrie, attaqué à l’arme chimique le 7 avril, avant l’arrivée des inspecteurs de l’OIAC », a estimé mardi le quai d’Orsay.