تقي زاده

تقي زاده

Le site d’information «NST» a annoncé la création d’un centre de publication du Coran dans la ville de Putrajaya en Malaisie.

Najib Razak, Premier ministre de Malaisie, au début de la construction de ce centre, a déclaré qu’il commencerait ses publications dans 18 mois.
A cette occasion, un fonds a été ouvert pour financer l’achat de papier. Les frais de construction et de matériel ont été évalués à 21 millions de dollars.
Najib Tun Razak a déclaré que ce projet était financé par le gouvernement, différents ministères, le Centre de développement islamique de Malaisie et le Conseil islamique des districts fédéraux.
Le centre produira 1 million de Corans par an et des traductions du Coran en anglais, chinois, bahasa, thaï et russe. D’autres traductions en tagalog et tamoul sont en cours.

L'Iran et les grandes puissances, réunies dans le groupe dit des 5+1 (Etats-Unis, Russie, France, Chine, Royaume-Uni et Allemagne), sont parvenus à finaliser mardi à Vienne un accord historique sur le nucléaire iranien, un dossier qui préoccupe les relations internationales depuis douze ans, a annoncé une source diplomatique proche des négociations.
Un accord au bout de 21 mois de négociations

"L'accord est conclu", a indiqué cette source, alors qu'une réunion plénière "finale" suivie d'une conférence de presse a été annoncée pour 10h30 par l'Union européenne. Cette annonce intervient au terme de 21 mois de négociations et d'un round final de plus de 17 jours de négociations acharnées pour solder le dossier.
Les trois piliers de l'accord

L'accord conclu repose sur trois piliers:
Une limitation du programme nucléaire de l'Iran durant au moins dix ans
La fin des sanctions internationales contre l'Iran
Un renforcement des contrôles
L'objectif est de garantir que le programme nucléaire iranien ne peut avoir de débouchés militaires, en échange d'une levée des sanctions internationales. Le texte, qui autorise l'Iran à poursuivre son programme nucléaire civil, ouvre la voie à une normalisation des relations économiques et diplomatiques de l'Iran avec la communauté internationale, une perspective qui hérisse Israël et les puissances régionales au Moyen-Orient. Depuis le week-end, tous les acteurs assuraient que l'accord était quasi bouclé mais que des "décisions politiques" restaient nécessaires.

Le secrétaire général adjoint du Hezbollah libanais, évoquant la poursuite de la lutte contre les terroristes, a estimé que la Syrie avait surmonté la phase dangereuse et que sa chute n'était plus possible.
"Notre première priorité, c'est de combattre Israël; les groupes takfiris ne sont qu'un des nombreux instruments d'Israël, et notre lutte contre les Takfiris fait partie intégrante de notre plan, pour confronter le régime israélien", a souligné Cheikh Qassem. "Quand nous luttons, en Syrie, nous soutenons, en effet, la Résistance, au Liban, et les éléments de la Résistance, qui sont à nos côtés, tout cela signifie, à vrai dire, la lutte contre Israël", a-t-il, encore, indiqué. Le sous-secrétaire général du Hezbollah a fait remarquer que les terroristes étaient, aujourd'hui, pris en piège, sur les hauteurs d'Erssal et la région de Zabadani, à Rif-Damas; qu'ils y étaient coincés. "Nous sommes arrivés à une phase où les terroristes sont paralysés, et c'est une phase, extrêmement, importante", a-t-il ponctué.

mercredi, 15 juillet 2015 03:24

Pourquoi j’ai traduit le Coran en géorgien

Le traducteur du Saint Coran en géorgien a expliqué que les erreurs faites par les orientalistes dans la traduction du Saint Coran l’ont conduit à la traduction du Coran.

Razva Mikaledzi, traducteur du Coran en géorgien et représentant de la Géorgie à la 23ème exposition coranique de Téhéran, dans un entretien avec l’Agence iranienne de presse coranique, a déclaré que les deux traductions du Coran en géorgien faites par des orientalistes, manquaient de précision et avaient même des fautes.
Razva Mikaledzi a expliqué : « Les musulmans géorgiens avaient vraiment besoin d’une traduction correcte du Coran. Ce travail a pris trois ans et 1000 exemplaires de cette traduction ont été imprimés et vendus. Grâce à cette traduction, les musulmans géorgiens peuvent maintenant lire et comprendre le texte coranique. »
« J’ai traduit aussi deux livres de Hadiths «ریاض الصالحین» et«اربعین نووی» et j’envisage maintenant la traduction d’un commentaire », a-t-il ajouté.
Le traducteur du Saint Coran en géorgien a précisé : « A l’époque du communisme, l’islam avait beaucoup décliné en Géorgie et aucun professeur coranique n’avait été formé. Avec des amis, nous sommes allés en Turquie pour étudier les sciences islamiques, j’ai fait mes études à l’université de sciences religieuses d’Istanbul. »
Il a encore ajouté : « Avec la disparition du communisme, les universités en Géorgie, ont commencé à organiser des cours de Coran et les jeunes ont commencé à mémoriser le Coran. »
« Je dirige actuellement un centre coranique en Géorgie qui a formé jusqu’à présent cinq mémorisateurs coraniques. Les musulmans de Géorgie représentent 15 à 20% de la population. Nous espérons que les musulmans dans le monde, feront des efforts pour apprendre le Coran et respecter ses prescriptions, pour sortir de la crise que nous connaissons », a-t-il dit.

mercredi, 15 juillet 2015 03:21

Syrie : 200 daechistes tués à Raqqa ...

L’attaque de haute précision des chasseurs-bombardiers de l’armée syrienne contre les positions des terroristes takfiris de Daech, dans la province de Raqqa, s’est soldée par la mort de 200 d’entre eux.
Après avoir été informée des réunions et des agissements des forces du groupe takfiri Daech, dans la province de Raqqa, au Nord-Est du pays, l'armée de l'Air syrienne a lancé plusieurs raids aériens précis, couronnés de succès contre leurs positions.
D’importants éléments terroristes, accompagnés de leurs trois adjoints, tous, d’origine saoudienne, figuraient parmi les morts.
Selon une autre dépêche, les forces de l’armée syrienne ont repoussé une vaste attaque des groupes terroristes, sur la colline Al-Cheikh Khattab, dans la banlieue d’Idlib. Selon la chaîne Al-Mayadeen, les forces de l’armée syrienne et de la Résistance libanaise ont pris le contrôle du quartier Al-Zalah, au Sud d’Al-Zabadani. Selon Al-Mayadeen, l’armée syrienne et les comités populaires ont dominé les hauteurs d'Al-Maqalee et des montagnes donnant sur le Sud du triangle de Tadmor.

Quatre réunions ont été organisées le 12 juillet 2015, second jour de l’exposition coranique de Moscou, avec le concours des services culturels iraniens, du Conseil des muftis des fédérations de Russie et d’autres centres islamiques, sur la nouvelle traduction du Coran en russe, les différentes traductions du Coran en russe, l’art et le Coran.

Nazem zinalov a fait un discours et déclaré que jusqu’à présent, le Coran avait été traduit vingt fois en russe, mais que la nouvelle traduction était la première traduction faite par des chiites, avait pris cinq ans et était en cours d’impression.
Ayrat Bayshov a déclaré que la première traduction du Coran en russe était une traduction de la traduction en français et en anglais, et datait de l’époque de Pierre le grand.
L’Hodjat-ol-islam Mousavi Sharbiani, a déclaré que le mot « art » n’existait pas dans le Coran bien que le Coran soit un exemple parfait d’expression artistique.
« L’Occident cherche à développer l’art visuel pour imposer sa culture, son économie et son idéologie, par conséquent les pays qui ne travaillent pas dans ce domaine ne pourront pas s’imposer », a-t-il dit.
Kheir-o-din Abdoullah a déclaré que les anciennes traductions montraient que les traducteurs étaient influencés par les idées d’Ibn Teymiyeh et d’Abdoul Wahab, et que certains versets avaient été traduits dans l’optique salafite.

lundi, 13 juillet 2015 14:01

Surveillez vos actes et vos paroles

Surveillez vos actes et vos paroles, peut-être que cette action louable même fera que Dieu le Très-Haut, béni soit-Il, Se tourne vers vous et vous accorde la réussite, si bien que le mois du jeûne passé, quand les démons seront délivrés de leurs chaînes, vous aurez été amendés, ne vous laisserez plus tromper par Satan et serez devenus probes.
Je le répète encore: prenez la décision de surveiller, pendant ces trente jours du mois béni de Ramadhãn, votre langue, vos yeux, vos oreilles et tous vos membres, et interrogez-vous sans cesse sur la légitimité au regard de la Loi révélée de l’acte que vous voulez accomplir, des paroles que vous voulez prononcer, des propos que vous êtes en train d’écouter…

Ce sont là les règles élémentaires et formelles du jeûne. Respectez à tout le moins ces règles formelles. Si vous voyez que quelqu’un veut médire, empêchez-le et dites-lui que vous vous êtes engagés à vous abstenir des choses illicites pendant ces trente jours du Ramadhãn, et si vous ne pouvez l’empêcher de médire, quittez cette réunion; ne vous asseyez pas pour écouter. Les musulmans ne doivent rien avoir à craindre de votre part. Quelqu’un dont les autres musulmans ne sont pas à l’abri de la main, de la langue ou de l’œil n’est pas en réalité musulman; il ne l’est que formellement et en apparence; il n’a que formellement dit «point de dieu hormis Dieu». Si, à Dieu ne plaise, vous entendiez offenser et bafouer quelqu’un ou commettre quelque médisance, sachez que vous êtes en présence du Seigneur, que vous êtes les hôtes de Dieu le Très-Haut, et que c’est en présence de la Réalité suprême que vous vous comportez mal envers Ses serviteurs. Or, offenser un serviteur de Dieu, c’est offenser Dieu. Ce sont là des serviteurs de Dieu, surtout si ce sont des gens de science cheminant sur la voie du savoir et de la vertu.
Parfois, vous voyez un homme en arriver par de telles choses au point qu’au moment de mourir il renie Dieu et nie les signes de Dieu: «Puis, l’aboutissement de ceux qui firent le mal fut qu’ils traitèrent de mensonge les signes de Dieu et s’en moquèrent» (Coran, 30.10).

Ces choses se font progressivement. Aujourd’hui, un regard fautif, le lendemain un propos médisant et un autre jour une offense à un musulman… Peu à peu, ces désobéissances s’amassent dans le cœur et, l’ayant noirci, empêchent l’homme de connaître Dieu. Les choses en arrivent au point que, niant toutes choses, il traite les vérités de mensonges.

Une partie du livre "Lutter contre soi-même" de l'Imam Khomeyni

Sources:

Imam-khomeini.com

Khatteemam.ir

lundi, 13 juillet 2015 13:57

Nucléaire: L'Iran va-t-il fléchir?

Lors des conférences que j’ai données, en Iran,  début juin, sur les origines de l’Etat islamique, des questions m’ont été posées, pour savoir si je pensais que les négociations sur le programme nucléaire iranien aboutiraient à un accord, s’il serait, vraiment, respecté par les Etats-Unis, et pourquoi la France – par la voix de Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères – se montrait si arrogant. J’ai répondu qu’accord ou pas accord, l’objectif final des administrations américaines était de renverser le régime au pouvoir, en Iran, et de partitionner le pays. Dans cette perspective, un accord n’était qu’une pause tactique – toujours bonne à prendre – permettant à Barack Obama d’achever son mandat en beauté. Certes, la levée des sanctions serait une victoire pour l’Iran, mais qu’il ne fallait pas en attendre beaucoup, économiquement parlant, sinon on courrait à la désillusion. En Israël : plus de 200 têtes nucléaires non déclarées. Prudent, Ali Khameneï – Guide suprême de la Révolution islamique – a fixé une «ligne rouge, notamment, en refusant que l’Agence internationale de l’Energie atomique, (AIEA), – couverture utilisée par la CIA, le Mossad et le MI6, pour leurs noirs desseins, comme on l’a vu, en Irak, du temps de Saddam Hussein – inspectent les sites militaires iraniens. Le général Massoud Jazayeri - Porte-parole de l’état-major des forces armées – a précisé qu’aucune visite ne serait autorisée : «qu’elle soit limitée et contrôlée (…) et quelle que soit sa forme», une précaution nécessaire, car plusieurs scientifiques iraniens, ciblés par le Mossad, ont été assassinés par le Kidon, son service action. Bien que l’Imam Ali Khameneï ait déclaré que l’arme nucléaire est «illicite», au regard de l’Islam (cf. la vidéo ci-dessous – sous-titrée en français), les Occidentaux et Israël accusent l’Iran de chercher à fabriquer une bombe atomique en secret. Est-il besoin de rappeler, ici, qu’Israël possède plus de 300 bombes atomiques, non déclarées à l’AIEA – selon l’ancien Président Jimmy Carter – et n’accepte pas d’inspection de sa centrale nucléaire de Dimona. Mordechaï Vanunu, ingénieur israélien, d’origine marocaine, qui a révélé l’étendue du programme israélien … dès 1986. Il a passé, pour cette raison, 18 ans en prison, est interdit de sortie de l’Etat, dit hébreu, et n’a, toujours, pas le droit de s’entretenir avec des journalistes étrangers. Aucun des pays membres du groupe P5+1 (Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Russie, Chine et Allemagne) n’accepterait, non plus, que des Iraniens visitent leurs infrastructures de défense. Iran, un avenir plein de menaces. Les pourparlers actuels achoppent, dit-on, sur la levée de l’embargo sur les armes. En vérité, ce serait plutôt sur la volonté des Occidentaux de maintenir disponible la structure bureaucratique onusienne leur permettant d’imposer, plus tard, de nouvelles sanctions. Début juin, la date-butoir était fixée, à la fin du mois. Depuis, elle a été repoussée au 7 juillet dernier, puis… aux calandres grecques. Résultat : le Sénat américain aura 60 jours – au lieu de 30 –, pour étudier le futur l’accord. Que se passera-t-il, si les Républicains et des Démocrates, majoritaires, refusent de l’avaliser ? Obama ne veut pas être humilié. C’est, sans doute, la raison pour laquelle John Kerry fait traîner les discussions et donne, à mon avis, l’impression qu’il veut les enterrer.Que se passera-t-il, aussi, dans deux ans, si la politique proche-orientale du prochain président Etats-Unis – ou présidente – est, de nouveau, dictée par les pétroliers, le complexe militaro-industriel et l’AIPAC, le puissant lobby pro-israélien ? Le multimilliardaire juif, Sheldon Adelsona, proposé aux candidats en lice, pour les primaires du Parti Républicain - à qui il fait passer un examen de passage – de soutenir, à bourse déliée, celui qui, clairement, s’engagera à bombarder l’Iran. Quant à Hillary Clinton, la «Démocrate», soutenue par le milliardaire George Soros, elle a déclaré, début juillet, dans le New Hampshire, qu’ «elle, présidente» mettrait les Gardiens de la Révolution iranienne sur la liste des organisations terroristes, qu’elle était prête à bombarder l’Iran, «sponsors en chef du terrorisme mondial», voire, «d’oblitérer, totalement» le pays, s’il lançait une attaque contre Israël. En d’autres termes: de l’effacer de la carte… Cela promet ! Fabius, dans le rôle du «méchant flic». Les Iraniens m’ont, également, demandé comment j’expliquai la position de la France et l’agressivité de Laurent Fabius, tant, lors des pourparlers de Vienne, sur le nucléaire, qu’à l’égard de la guerre civile, en Syrie. J’ai rappelé que la France – surnommée par l’Imam Khomeyni le «petit Satan» – était à l’origine de l’introduction du nucléaire, au Proche-Orient. Elle avait aidé Israël à construire Dimona, proposé au Shâh d’Iran cinq centrales nucléaires et la fourniture d’uranium enrich,i et vendu à Saddam Hussein le réacteur Osirak, détruit par les Israéliens, en 1981. J’ai dit que le lobby pro-israélien n’est pas, seulement, puissant, aux Etats-Unis ; que François Hollande et Benyamin Netanyahu entretiennent d’excellentes relations : qu’en Syrie et à Vienne, la France et les Etats-Unis s’étaient, sans doute, partagés les rôles de «gentils» et de «méchants», comme dans les films hollywoodiens du genre «Good Cop-Bad Cop». Le scénario était, selon moi, bien réglé, l’objectif étant – à moyen ou long terme – de renverser le régime au pouvoir en Iran. C’est ce qui s’était passé, en Irak – où j’ai évoqué cette possibilité à Tarek Aziz, durant l’embargo -, mais, dans des rôles inverses. La France était le «gentil» : elle a condamné l’embargo et l’agression américaine contre l’Irak, mais cela ne l’a pas empêché, ensuite, de cautionner l’occupation du pays, par les Etats-Unis.

Les combattants du Hezbollah libanais ont lancé un ultimatum aux groupes terroristes takfiris, dont les terroristes du Front Al-Nosra, les sommant de se rendre aux forces de la Résistance, faute de quoi ils devront se préparer à mourir, sous les nouvelles vagues d’attaques des combattants du Hezbollah.
«Rendez-vous ou bien mourez», tel a été le message du Hezbollah libanais aux terroristes du Front Al-Nosra, qui sont encerclés, dans la ville syrienne de Zabadani, à 50 kilomètres de Damas, la capitale de la Syrie. Les forces de l’armée syrienne et les combattants de la Résistance resserrent de plus en plus l’étau autour des terroristes, qui sont encerclés, dans cette ville.
Les combattants du Hezbollah libanais et les unités de l’armée syrienne ont commencé leur opération de nettoyage, dans cette région.
L’opération contre les terroristes, à Zabadani, a commencé, la semaine dernière, quand les forces terrestres de l’armée syrienne, appuyées par l’armée de l’air, ont commencé leur progression vers Zabadani. Dans le même temps, les combattants du Hezbollah libanais et l’armée syrienne ont lancé des attaques contre les terroristes takfiris, sur d’autres axes, notamment, au Qalamoun, en Syrie, et à Erssal, au Liban. Les terroristes takfiris du Front Al-Nosra sont soutenus par les Etats-Unis et leurs alliés occidentaux et régionaux.

Les Etats-Unis ont dépensé quelque quatre millions de dollars pour la formation de chacun des 60 terroristes armés syriens qui devraient combattre Daech.
Selon le site web « POLITICO », le gouvernement américain avait demandé, en 2014, au Congrès un budget de 500 millions de dollars, pour son programme de « formation-équipement » des soi-disant « opposants modérés ». Il a dépensé à peu près la moitié de cette somme pour l’entraînement de 60 terroristes syriens. Ces nouvelles statistiques servent de prétexte aux détracteurs de la stratégie du président américain Barack Obama, de lutter contre le groupe terroriste Daech, d’autant plus que le sénateur républicain John McCain a déclaré que le programme qui va former les terroristes syriens ne donnera pas les résultats attendus. Le programme serait "faible et en train de souffrir" selon McCain.