تقي زاده

تقي زاده

dimanche, 12 juillet 2015 15:36

Le message de Daech au président français

Le groupe takfiri de Daech a mis en garde le président français. Cité par le website du Figaro, le centre de contrôle et de supervision des sites internet des extrémistes a fait part, samedi, de la diffusion d'une vidéo par Daech dans laquelle, les terroristes ont mis en garde le président français, François Hollande. 
Sur cette vidéo de plus de quatre minutes, on apperçoit Kevin Chassin, extrémiste, membre de Daech depuis 2013 et originaire de Toulouse, qui s’est fait exploser dans un attentat-suicide en Irak fin mai. "Ce message s’adresse à François Hollande", déclare-t-il une kalachnikov à la main, un drapeau noir flottant derrière lui. "Sachez que vous venez d’entrer dans une guerre que vous ne pourrez pas gagner".

La ville d’Oufa accueille les sommets de l’Organisation  de Shanghai et des BRICS, objets de l’attention des analystes et des médias internationaux. Les États-Unis ne cachent pas leur irritation et tentent de ramener l’attention sur eux. Par exemple, Deborah Lee James, secrétaire adjointe des Forces aériennes, s’est fait remarquer, lors d’une interview à Reuters, en qualifiant la Russie de «plus grande menace à la sécurité nationale américaine». Son propos n’avait rien d’original : arguant des «actions menaçantes» de Moscou, en Europe de l’Est, James a appelé les États-Unis à étendre leur présence militaire, sur le vieux continent, en forçant ses alliés de l’OTAN à consacrer 2% de leur PIB à la défense, pour maintenir l’alliance. Seuls, 4 des 28 États membres, sont à ce niveau de dépenses militaires. Ce qui montre que les fables, sur les «terribles Russes», ne fonctionnent, toujours, pas. La Russie a de quoi répondre à l’Ouest. Et nous ne parlons pas, seulement, de la chose militaire, mais de l’économie et de la finance. Selon IA Regnum, la Russie a augmenté sa production d’or, au cours des cinq premiers mois de 2015 de 6,5 %, et sa production d’argent, de 7,7 %. 83,01 tonnes d’or ont, déjà, été extraites, (contre 84,7 tonnes, sur l’ensemble de l’année 2014), et 411,78 tonnes d’argent, (contre 542,32 tonnes, en 2014). En plus de ces chiffres inquiétants, pour les Étasuniens, la Banque de développement des BRICS a commencé ses opérations avec un capital de départ de 100 milliards de dollars. Il faut, également, ajouter la promesse d’introduire une couverture or, pour le yuan, à la fin de 2015, comme cela a été annoncé par Shen Han, le vice-Président de la bourse de l’or de Shanghai. Cette annonce a été suivie de celle de l’ancien chef de la Banque nationale de la Chine, Pan Hongshen, qui a parlé à Reuters du projet de la banque d’augmenter et d’«internationaliser» le marché de l’or. Ce ne sont pas des paroles en l’air, car la Chine et l’Inde représentent la moitié de la consommation d’or mondiale. Le pouvoir de Pékin est en expansion accélérée. A la mi-juillet, la Banque de Chine, la plus ancienne institution financière de Chine, (fondée en 1912), va devenir, officiellement, la première banque chinoise à participer au fixing de l’or, à Londres, le mécanisme, pour établir le prix quotidien de l’or, qui fonctionne, depuis 1919. Pékin n’a pas l’intention de s’en tenir là : la seconde banque à rejoindre le pool d’élite sera la Banque industrielle et commerciale de Chine. Il y a beaucoup de raisons à cette expansion : la Chine envisage de faire entrer le yuan, dans le panier de devises de réserve du FMI, en plus du dollar, de l’euro, de la livre sterling et du yen. Par conséquent, elle a l’intention de demeurer l’un des plus gros acheteurs de lingots d’or. «Les Chinois veulent être leaders, dans tous les secteurs du commerce international, par conséquent, ils veulent être présents, partout où les prix se forment», selon Ross Norman, le Directeur de Sharps Pixley, cité par Bloomberg. La bourse de l’or de Londres, la plus grande de son espèce, dans le monde, (en avril, elle a échangé de l’or, pour une valeur de 20,2 milliards de dollars), est en train de devenir le «tremplin» de la Chine, pour permettre au yuan d’affaiblir le dollar et le mécanisme d’échange qui en dépend. Naturellement, l’objectif est l’expansion «durable» du yuan, car une chute rapide du dollar détruirait, inévitablement, l’économie de la Chine, qui finance la dette nationale des États-Unis. C’est leur étroite interdépendance, qui a engendré le terme «Chimerica». La difficulté réside ici, dans le fait que, sans Moscou, qui, avec l’Afrique du Sud, est le principal producteur d’or, Pékin ne peut pas faire le saut. L’Ordre mondial subit l’influence croissante d’une «ruée vers l’or». Sa propagation rappelle celle de la technologie Web 2.0, qui rend les systèmes plus efficaces, à mesure que leur utilisation s’élargit. Le virus de l’or se répand. Il est stimulé par la demande croissante d’or. Selon le World Gold Council, la Chine va augmenter ses achats d’or de 3%, cette année. Les réserves d’or de la Russie, également, en croissance, ont atteint 1250,9 tonnes, en juin. Cette information a suffi, pour que Jim Rickards, l’auteur du livre "La Mort de la monnaie" : l’effondrement imminent du système monétaire international, prédise que la Russie allait, bientôt, passer à un rouble indexé sur l’or. Peter Kraut, un analyste de Money Morning, a exprimé une position semblable, en écrivant que la Russie développait, rapidement, ses réserves d’or, en dépit des problèmes économiques, et que «cette tendance pouvait avoir une influence destructrice sur le dollar américain». Rickards croit que la fin du dollar surviendra, aussitôt que la Chine aura dévoilé le montant réel des réserves d’or, détenues par la Banque de Chine. Jusqu’à présent, son montant n’est pas connu, officiellement. Les rapports de Goldseek.com, qui citent Jian Bingnan, le dirigeant de l’Association de l’or de la république populaire de Chine, évaluent les réserves d’or de la Chine à 9816,03 tonnes. C’est un chiffre énorme, qui dépasse même les réserves d’or des États-Unis, qui s’élèvent à 8.134 tonnes. Il est évident que personne ne confirmera, ni n’infirmera ce chiffre, dans un proche avenir. La Chine s’abstient de faire des commentaires officiels. La «ruée vers l’or» ne se limite pas à la Russie et la Chine. Il ne faut pas oublier la Turquie, qui, selon Alister Hewitt, un expert du Conseil mondial de l’or, est le quatrième plus grand consommateur d’or, (6%, ou 181 tonnes, par an). Les particuliers du pays en détiennent, déjà, 3.500 tonnes. L’Iran voisin a, également, commencé à augmenter ses réserves, à cause du fardeau des sanctions, et a commencé à utiliser l’or, comme moyen d’échange avec Ankara, une procédure, qui a été l’objet de nombreux scandales. Selon le "Hürriyet Daily News", Téhéran a récupéré 13 tonnes d’or «gelées», en Afrique du Sud, en raison des pressions des États-Unis et de l’UE. Maintenant, Washington montre sa «générosité», en encourageant la passion des pays de l’Est, pour le métal magique. Étant donné que les avoirs iraniens bloqués sont estimés à 100 milliards de dollars, la chasse à l’or ne fait que commencer. L’Ordre mondial va s’effondrer plus vite qu’il n’y paraît, et les fissures du nouvel équilibre des forces sont de plus en plus visibles. La Russie et la Chine mènent la course. Qui va atteindre la ligne d’arrivée, en premier ? Nous ne le saurons que, dans quelques années. Sarkis TsaturyanFortruss, 9 juillet 2015

Paris a manifesté samedi des signes d'impatience, alors que les négociations sur le nucléaire iranien continuent d'achopper sur des "questions difficiles" après quinze jours d'intenses tractations.
"Tout est sur la table, le moment est venu de décider", a déclaré à la presse le ministre des Affaires étrangères français Laurent Fabius, à l'issue d'un entretien avec son homologue iranien Mohammad Javad Zarif.

A l'inverse, la délégation iranienne, qui a posé tout sourire sur le balcon du palais viennois où se déroulent les discussions, a joué la montre. "Nous n'avons aucune limite dans le temps pour parvenir à un bon accord", a déclaré à l'AFP un de ses responsables.

A en croire le secrétaire d'Etat américain, John Kerry, il reste de toute façon "des questions difficiles à régler". C'est ce qu'il a twitté en sortant d'un autre entretien avec M. Zarif, en présence de la chef de la diplomatie européenne Federica Mogherini.

Le groupe P5+1 (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Royaume-Uni et Allemagne) est engagé depuis septembre 2013 dans des négociations délicates avec Téhéran pour mettre un terme à plus de douze ans de crise internationale.

Outre MM. Kerry, Zarif et Fabius, les ministres allemand Frank-Walter Steinmeier et britannique Philip Hammond ont participé samedi à Vienne à des entretiens à huis clos.

Leurs homologues russes et chinois sont absents depuis plusieurs jours mais John Kerry a téléphoné à sob homologue russe Sergueï Lavrov dans la journée pour faire le point. Et leurs représentants participaient dans la soirée à une réunion du P5+1.

Depuis 2006, les Etats-Unis, l'UE et l'ONU ont adopté plusieurs trains de sanctions contre Téhéran pour son programme nucléaire.

Il y a près de deux ans, les deux camps sont entrés dans des négociations sérieuses pour trouver les moyens de s'assurer que Téhéran ne se dote pas de la bombe atomique, en échange d'une levée des sanctions internationales.

Le cheikh Ahmad Karima, professeur de la jurisprudence comparée à l’Université Al Azhar a affirmé que les différends religieux servaient la réalisation des intérêts du régime sioniste.

Les divergences religieuses sont dans l’intérêt du régime sioniste
Le Caire(IQNA)-Le cheikh Ahmad Karima, professeur de la jurisprudence comparée à l’Université Al Azhar a affirmé que les différends religieux servaient la réalisation des intérêts du régime sioniste.
Selon le site d’information el-balad, le cheikh Ahmad Karima a ajouté : « Les divergences entre chiites et salafistes ont pour but de favoriser la réalisation des intérêts du régime sioniste. »
Le cheikh Karima a présenté le rapprochement des écoles islamiques comme un instrument nécessaire à la présentation d’une nouvelle interprétation de la religion.
Faisant allusion aux événements qui se produisent dans le monde notamment les attentats terroristes contre les mosquées chiites en Arabie et la guerre contre le Yémen, il a précisé : « Ces événements montrent qu’il est temps de tenir sa responsabilité dans la réalisation du rapprochement des écoles et de ne pas permettre aux Américains, sionistes et espions de bénéficier des différends au sein des musulmans. »
Evoquant les accusations salafistes contre les chiites et leurs ulémas, le cheikh Karima a précisé : « Ces conflits ouvrent le chemin à la réalisation des intérêts du régime sioniste. »

Les parties libyennes en conflit ont paraphé samedi soir à Skhirat, au Maroc, l'accord de paix et de réconciliation proposé par l'ONU, en dépit de l'absence des représentants du parlement de Tripoli.
C'est un pas, mais c'est réellement un pas important dans le chemin de la paix, a déclaré l'émissaire onusien pour la Libye, Bernardino Léon, lors de la cérémonie de paraphe de l'accord, tenue en présence de représentants du parlement de Tobrouk, de représentants de municipalités, de partis politiques et de membres de la société civile libyenne.

Ces accords dessinent les principes: les institutions et les mécanismes de prise de décision pour compléter la transition et ce jusqu'à l'adoption d'une nouvelle constitution, a-t-il poursuivi.

Les représentants du parlement de Tripoli étaient les grands absents de cette réunion. Mardi, ils avaient rejeté en l'état la quatrième mouture de la proposition d'accord qui prévoit la formation d'un gouvernement d'union nationale et la tenue de nouvelles élections.

Une personne a été tuée et quatre ont été blessées samedi dans un attentat près du consulat italien au Caire, qui a détruit une partie de la façade du bâtiment, selon des responsables.
Une personne est morte et quatre ont été blessées dans l'explosion de samedi, a indiqué à l'AFP le porte-parole du ministère de la Santé Hossam Abdel Ghaffar, qui n'était pas en mesure de préciser dans l'immédiat si la victime était un civil ou un policier.

Des sources médicales interrogées par l'AFP avaient auparavant indiqué que deux policiers en faction devant le consulat et trois passants avaient été blessés par la déflagration.

Un haut responsable de la sécurité a indiqué à l'agence de presse officielle Mena que selon les éléments préliminaires de l'enquête, une bombe avait été déposée par des inconnus sous une voiture garée près du consulat et déclenchée à distance.

Le consulat était fermé au moment de l'explosion, survenue aux environs de 06H30 locales (04H30 GMT).

Une partie de la façade du consulat s'est écroulée, tandis que les débris d'une voiture étaient éparpillés aux alentours, a constaté un journaliste de l'AFP.

Jusqu'à 28 personnes ont été tuées et 20 autres blessées samedi dans des affrontements et des raids aériens menés par les forces irakiennes contre les combattants du groupe armé extrémiste Daech à travers l'Irak, selon des sources en charge de la sécurité.
Dans la province occidentale d'Anbar, les forces de sécurité irakinnes appuyées par des milices alliées appelées Hachd al-Chaabi, ou Mobilisation populaire, ont repris le contrôle du village d'Abou Fleis près de la ville de Habbaniyah, à environ 80 km à l'ouest de la capitale irakienne Bagdad, après de violents affrontements avec des combattants de Daech, au cours desquels 14 membres de Daech ont été tués, a indiqué une source provinciale chargée de la sécurité, sous couvert d'anonymat.

Les combats ont eu lieu un jour après que les militants de Daech ont saisi le village d'Abou Fleis au cours d'une attaque contre les positions des forces de sécurité, selon la source.

Parallèlement, des affrontements se sont produits dans le secteur de Tash au sud de la ville de Ramadi (110 km à l'ouest de Bagdad), chef-lieu de la province, lorsque des combattants de Daech ont attaqué les positions des forces de sécurité et des milices Hachd al-Chaabi, faisant sept morts et cinq blessés dans les ranges des forces sécuritaires, a révélé cette source.


Près de Bagdad, trois bombes placées en bordure de route ont explosé simultanément au passage d'une patrouille de l'armée dans le secteur de Madain, à environ 30 km au sud de la capitale, tuant quatre soldats et en blessant quatre, a indiqué une source du ministère de l'Intérieur, sous couvert d'anonymat.

L’Ayatollah Ramazani, responsable et imam du Centre islamique de Hambourg, le 10 juillet 2015, dans son discours à la prière du vendredi, a déclaré que l’Imam Ali (as) dépassait l’Histoire et que ses enseignements étaient encore d’actualité aujourd’hui.

L’Ayatollah Ramazani a indiqué : « L’Imam Ali (as) a déclaré : « لَوْ کُشِفَ الغِطَاءُ مَا ازْدَدْتُ‏ یَقِیناً » si les voiles (qui nous séparent de Dieu) disparaissaient, ma foi n’augmenterait pas ». Le croyant est celui qui aime et lutte pour Dieu, et qui ne recherche dans ses actes et même dans sa gestion du pouvoir, que la satisfaction divine. »
Il a ajouté : « L’Imam Ali (as) au sujet d’Hazrate Fatemeh (sa) a déclaré qu’elle ne l’avait jamais contrarié et a recommandé aux croyants de respecter les droits de leurs épouses et d’élever leurs enfants pour leur époque. »
« Dans sa lettre à Malik Ashtar, a-t-il dit, l’Imam Ali (as) écrit : « Les gens sont soit tes frères en religion soit tes frères en humanité », insistant sur la nécessité de la tolérance et de la patience. »
Le responsable du centre islamique de Hambourg a souligné : « Pour l’Imam Ali (as), la justice dans la société, est le pilier de la vie sociale, ainsi que l’attention aux questions essentielles et le recours à des gens compétents. L’attention aux questions religieuses est un point sur lequel l’Imam Ali (as) insistait rejetant toute négligence dans ce domaine. » « Les particularités de la gestion politique de l’Imam Ali (as) étaient la sincérité, la défense de la justice, le respect de la loi, l’attention aux subalternes, le rejet de la dictature, des relations directes avec les gens, l’attention à l’éducation et le respect des droits des minorités », a déclaré L’Ayatollah Ramazani.

" Le dialogue entre notre pays et le Groupe 5 + 1 (Etats-Unis, la Grande-Bretagne, la France, la Russie et la Chine plus l’Allemagne) passent par jours sensibles et, en fait, l'Iran se prépare pour le poste étaient sanctions et afficher les négociations nucléaires “, a-t-il soutenu Rohani mercredi avant de se rendre à la Russie de participer à deux sommets internationaux.

Rohani a déclaré que Téhéran prépare des projets pour répondre à la situation à la suite des négociations sur le nucléaire qui se développent en ce moment l'Iran et le sextuor, ajoutant que l'une telle initiative aborde l'extension des relations bilatérales avec d'autres pays.

Ce même jour, l'Iran et le Sextet ont tenu plusieurs réunions à différents niveaux à Vienne, capitale autrichienne, visant à résoudre les différences de fermer un accord sur le programme nucléaire de l'Iran à la date limite du 10 Juillet renouvelée, sur la base l'accord conclu Avril dernier 2.

Au cours de la visite de deux jours en Russie, est attendu à la tête du gouvernement iranien sur les sommets du bloc BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) et de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS) dans la ville Ufa, situé dans le centre du pays eurasien.

Soulignant l'importance politique et économique des deux sommets régionaux, le président a souligné que la célébration de ces événements bénéficie grandement le pays perse à un moment où le monde est plus économiquement uni polarité et l’unilatéralisme.

Rohani a également indiqué que la République islamique d'Iran est en mesure de coopérer avec les membres du BRICS et de l’OCS.

Rohani, qui participera au sommet de l'OCS en tant qu'observateur et invité spécial dans les BRICS, a déclaré l'Iran était prêt à coopérer avec les membres des deux blocs régionaux.

L'OCS est en attente de la levée des sanctions contre l'Iran à accepter ce pays en tant que membre à part entière.

Le bloc BRICS a au moins la moitié de la population mondiale et environ un cinquième de la production économique mondiale. Iran pour sa part, il a toujours soutenu l'influence croissante de ce bloc dans l'économie mondiale.

L'OCS est constitué de la Chine, la Russie, le Kazakhstan, le Kirghizistan, le Tadjikistan et l'Ouzbékistan en tant que membres permanents, tandis que la Mongolie, l’Iran, le Pakistan, l'Inde et l'Afghanistan sont membres observateurs.


Palestine

Pour marquer la Journée mondiale d'Al-Qods, des manifestants palestiniens ont porté un énorme drapeau national de la Palestine de la concentration après la prière du vendredi collective à Al-Qods (Jérusalem).

Des centaines Pendant ce temps, le régime israélien a empêché de Palestiniens traversent une position clé pour assister à la prière du vendredi à commande mosquée Al-Aqsa.

Syrie

Le peuple syrien ont pris les rues de la capitale Damas pour exprimer leur solidarité avec les Palestiniens et de souligner la nécessité d'être attentif à la crise en Syrie, l’Irak, la Palestine, le Yémen, la Libye et le Liban.

Selon les manifestants syriens, le mois de mars de cette année par la Journée mondiale de Qods est d'une importance capitale, étant donné les complots des ennemis de l'islam dans les différents pays de la région.

Yémen

Yéménites, mais ils sont actuellement la cible d'attaques armées en Arabie Saoudite, ont organisé un mars à Sanaa (la capitale) par la Journée de Jérusalem.

Selon les témoignages des participants ont scandé des slogans mobilisateurs du soutien et de solidarité avec la nation palestinienne opprimée et contre le régime de Tel-Aviv.

Irak

Différentes parties de l’Irak, en particulier le nord, ont été le théâtre de manifestations pour marquer la Journée mondiale de Qods dans lequel a insisté sur la libération des territoires palestiniens occupés.

La province orientale de Diyala, Bagdad (la capitale) et Najaf (sud) ont été certains domaines où les Irakiens ont crié des slogans anti-israéliens et pour l'unité nationale que le seul moyen de lutter contre le terrorisme et le régime israélien.

Bahreïn

Malgré les mesures répressives du régime Al Khalifa, marche Journée de Jérusalem ont été organisées avec la participation massive des bahreïnies musulmans.

Liban

Palestiniens sont logés dans divers camps de réfugiés au Liban ont défilé pour réclamer leur droit au retour dans leur patrie et ont préconisé gratuitement leurs territoires qui sont usurpés par le régime israélien.

Turquie

Citoyens turcs ont assisté au mars par la Journée de Jérusalem après avoir demandé dans la prière le vendredi le gouvernement d'Ankara de cesser de soutenir le régime israélien.

A la veille de cette journée historique, les musulmans dans la province nord-ouest de Sakarya réunis dans la nuit pour marquer la Journée mondiale de Qods et exigé la libération d'Al-Qods.

Malaisie

Après la prière collective du vendredi, les personnes malaisiennes ont démontré dans plusieurs villes de condamner les crimes du régime israélien et, d'autre part, de défendre le droit des Palestiniens à des abus du régime de l’occupant.

Les participants se sont réunis à Kuala Lumpur ( la capitale ) et dans les États de Johor ( sud) , Kedah ( nord-ouest ) , Penang ( nord-ouest ) ont également rapporté que les crises créées au Yémen , la Syrie et d'autres pays musulmans visent à détourner l'attention “de la cause palestinienne .

Thaïlande

Musulmans thaïlandais ont également rencontré l'ambassade du régime de Tel-Aviv à Bangkok, la capitale, pour exprimer leur condamnation des crimes du régime de l'occupant d’Israël.

Afghanistan

À Kaboul, la capitale, divers secteurs sociaux, y compris les étudiants, les membres du clergé et des personnalités scientifiques et culturelles ont exprimé leur haine d'Israël pour la violence utilisée contre le peuple sans défense de la Palestine.

Inde

Les Indiens ont afflué vers les mosquées à New Delhi (la capitale) et du Cachemire administrée par l’Inde, à condamner le régime israélien à laquelle ils ont marqué un symbole du terrorisme d’Etat.

Allemagne

A Berlin, la capitale, les militants pro-palestiniens ont commencé leur mars soutenir le peuple opprimé de la Palestine, tandis que les policiers avaient été déployés dans la région pour assurer la sécurité de l’événement, selon le site Ilna.

Le fondateur de la République islamique d'Iran, l'imam Khomeiny (qu'il repose en paix) a dit en 1979 le dernier vendredi du mois sacré du Ramadan ( neuvième mois du calendrier islamique lunaire de l'Hégire) et de la Journée mondiale de Qods, une mesure d'unifier le monde islamique et de montrer leur solidarité éternelle avec la nation palestinienne.