تقي زاده

تقي زاده

Des militants syriens ont rapporté dimanche qu'une installation pétrolière située à la frontière avec la Turquie a été la cible d'un drone non identifié.
 
 
Une installation pétrolière près de la ville d'Al-Bab, dans le nord de la Syrie, dans une zone contrôlée par des groupes armés soutenus par la Turquie, a été bombardée par un drone non identifié.

Des militants syriens ont publié sur Twitter des photos d'un incendie massif et de plusieurs explosions alors que des drones visaient des raffineries de pétrole près de la ville de Tarhin, dans la banlieue nord d'Alep.

Il n'a pas été possible de savoir immédiatement quel groupe ou pays a perpétré l'attaque.

L'Observatoire syrien des droits de l'homme, basé à Londres, a également confirmé les attaques, déclarant qu'un drone non identifié avait également attaqué des installations dans la région le 20 décembre, provoquant des explosions généralisées dans les raffineries de pétrole.

Le rapport des militants et des sources syriennes ne mentionne pas les éventuelles victimes humaines de ces attaques.
Le commandant des forces terrestres de l'armée iranienne a annoncé dimanche que le corps va bientôt organiser un exercice militaire dans les régions du sud de l'Iran.
 
 
Comme l'a dit le général de brigade Kioumars Heidari, cet exercice doit se dérouler avec le soutien d'autres forces iraniennes qui comptent sur tout l'équipement militaire.

L'exercice doit être organisé afin d'améliorer la préparation au combat et de renforcer les capacités de défense des forces iraniennes dans les régions du sud-est du pays et dans diverses autres parties des frontières de l'Iran, a-t-il expliqué.

Faisant référence au récent exercice de drone à grande échelle de l'armée iranienne organisé dans la province du Semnan, le commandant iranien a déclaré : "Lors de cet exercice, les dernières réalisations des forces armées dans le domaine du combat aérien ont été présentées. C'était une démonstration de l'autorité de notre pays sous les sanctions des quatre dernières décennies".

Il a ajouté que l'utilisation de divers drones dans l'exercice nommé "drone" a prouvé qu'aujourd'hui, l'une des forces de l'Iran contre la menace des ennemis est l'unité de drones.

"L'une des caractéristiques les plus importantes de cette unité de drones dans le domaine de l'identification et du transfert en ligne d'informations précises des ressources et équipements ennemis vers notre quartier général de contrôle", a-t-il ajouté.

Soulignant que la sécurité des frontières du pays est une ligne rouge, il a déclaré : "Les forces terrestres sont stationnées de toutes leurs forces sur les frontières de l'est, du sud-est, de l'ouest, du sud-ouest et du nord-ouest et défendent fermement l'entité sacrée de la République islamique".

Un Capitole à l'israélienne est-il nécessaire pour éviter que l'entité sioniste ne disparaisse pour de bon ? Ce n'est pas Ahmadinejad, ex-président iranien qui évoque l'idée de cette inévitable disparition, mais bien ce sont les Sionistes eux-mêmes.

Depuis le vendredi 8 janvier, date à laquelle le commandant en chef du CGRI, le général de brigade Hossein Salami, a foulé au pied les drapeaux israélien et américain et ce, à l'entrée de l'une des "multiples" cités balistiques souterraines offshores iraniennes" où gîtent en attendant l'heure H des centaines de missiles balistiques de haute précision, des missiles de croisière voire des clips à missiles qui réduisent à maxima le temps de lancement, le Sioniste lambda sait que son sort est scellé, que l'axe de la Résistance avec à sa disposition "quelques 200 000 missiles de précision", rien que plantés sur le front nord ne raterait aucune parcelle des territoires occupés, même si à la longueur de la journée, l'armée sioniste terrorisée à l'idée d'avoir à faire face à un front polymorphe impliquant à la fois le Liban, Gaza, mais aussi les missiles et nuées de drones du Yémen et de l'Irak, continue à faire des fuites en avant et à pérorer ceci :  " les B-52 US bombarderont l'Iran", "les F-35 Adir arrivent aux Émirats", "Milley a organisé des exercices aériens conjoints USA/Arabie avec les F-15 saoudiens", " le sous- marin ni vu ni connu d'Israël se trouve dans le golfe Persique pour aider l'USS Georgia à frapper les côtes iraniennes."

 

Les prix du pétrole ont atteint leur plus haut niveau depuis février 2020 cette semaine après l’annonce surprise de l’Arabie saoudite lors de la réunion ministérielle mensuelle de l’OPEP+ qu’elle réduirait volontairement 1 million de barils supplémentaires par jour de sa production de pétrole.

Cette réduction supplémentaire -par le seul véritable producteur swing du groupe- fait plus que compenser les augmentations de production accordées à la Russie et au Kazakhstan, et est un résultat complètement différent de celui que les analystes et les experts du secteur attendaient.

Abolfazl Amouï, le porte-parole de la Commission de la sécurité nationale et de la Politique étrangère du Parlement iranien, s’exprimant lors d’une interview accordée à l’agence de presse Fars, a brossé un tableau détaillé sur la toute récente session de la commission parlementaire tenue cet après-midi et indiqué : « Lors de ce rendez-vous les modalités de l’application d’une loi, nouvellement adoptée au Parlement, en faveur d’une action stratégique visant à endiguer les sanctions et protéger les droits de la nation ont été examinées. »

lundi, 11 janvier 2021 08:26

À quoi rime le "non" iranien à Pfizer?

Pour le chef de l’Organisation iranienne de la défense passive, le général Gholam Reza Jalali, les informations obtenues des vaccinations à grande échelle peuvent servir d’une base pour la fuite des informations à l’étranger et les futures menaces biologiques potentielles contre l’Iran. Il y a donc à travers la campagne de vaccination non sécurisée massive un risque de l’exploitation des données humaines.

Selon le site d’information « La stratégie contemporaine », le général Gholam Reza Jalali, se référant aux déclarations du Leader de la Révolution islamique, l’Ayatollah Seyyed Ali Khamenei, qui a annoncé le vendredi 8 janvier lors d’une allocution télévisée, l’interdiction d’importer des vaccins COVID-19 fabriqués aux États-Unis ou en Grande-Bretagne, « des pays qui ne sont pas dignes de confiance », cette autorité de la défense passive a ajouté : « Cette approche et cette attention portée aux menaces potentielles dans le domaine de la biologie et des produits de biosécurité ont plusieurs raisons. »

Les Émirats sont-ils sur le point de faire leur virage au Yémen? Le PM du gouvernement de Sanaa en voit les signes et il n'a pas tort : le Pentagone vient d'annoncer avoir reporté encore la production du F-35 pour cause de toutes les failles technique dont souffre ce soi-disant avion de 5ème génération. Et dire que les Émiratis ont tout misé sur le F-35 Adir d'Israël comme levier de dissuasion anti-Iran, avant de finir par mettre fin à deux décennies de liens en coulisses et signer l'accord d'Abraham avec une entité israélienne aux abois. Au Yémen les Émirats ont aussi tout faux : ces îles de Socotra où ils ont jugé utile d'ériger en échange des milliards de pétrodollars une base israélienne pour contrôler le trafic énergétique sino-iranien, ne sont plus à l'abri des missiles d'Ansarallah maintenant que ce dernier est capable de faire de Djeddah une bouchée de pain, à la faveur d'un seul missile Qods-2, y suspendre le flux du pétrole, voire y imposer un blocus. Mais tout ceci  vient du camp ennemi et est de ce fait supportable, ce qui n'est pas le cas de cette noce Qatar- Riyad qui s'est fait cette semaine sur le dos d'Abou Dhabi. Certes le vent commence à tourner à Washington mais de là à remettre 4 ans d'alliance en cause, c'est un pas que MBZ ne s'attendait pas a ce qu'il soit franchi. Alors le jeu vaut-il la chandelle?

Abou Dhabi sent-il le danger se rapprocher? Ansarallah conseille à l'allié émirati de l'Arabie saoudite de revoir sa politique de collusion avec l'armée saoudienne dans l'agression contre le Yémen, avant que Riyad ne fasse avec les Émiratis ce qu'elle a fait avec le Qatar. L'avertissement de la Résistance yéménite est lancé alors que les mercenaires affiliés aux EAU et à l'Arabie saoudite désertent progressivement pour rejoindre Ansarallah. 

Un membre du conseil politique du mouvement yéménite Ansarallah a appelé les Émirats arabes unis à se sauver de la crise yéménite.

Dans un tweet, le membre du conseil politique du mouvement yéménite Ansarallah, Mohammad al-Bakhiti, a appelé les EAU à se sauver de l’agression contre le Yémen et à renoncer à toute hostilité contre l'Iran. Dans un autre tweet, il a déclaré que la main de Sanaa était toujours tendue vers Abou Dhabi pour faire la paix avec ce pays.

La société TankerTrackers qui surveille quotidiennement la progression des navires grâce à l’imagerie satellite, disponible commercialement, rapporte que des pétroliers iraniens transportant du pétrole et de l’essence pour la Syrie et le Venezuela se rapprochent de leurs destinations. 

Un pétrolier iranien transportant deux millions de barils de pétrole brut traverse le canal de Suez et arrivera probablement demain lundi au port syrien de Banias, rapporte l’agence de presse Mehr citant un rapport de TankerTrackers.

La société a également signalé que trois autres pétroliers iraniens s’approchent du Venezuela ayant à son bord un total de 130 millions de litres d’essence.

Au lieu d’emprunter le canal de Suez, ces pétroliers font le tour de l’Afrique depuis le golfe Persique.

Auparavant, Bloomberg avait rapporté que 10 pétroliers iraniens chargés d’essence étaient partis pour le Venezuela.

Il faut généralement 45 jours pour les pétroliers iraniens avant d’atteindre le Venezuela via l’Afrique du Sud, et d’autres pétroliers iraniens devraient bientôt faire le tour du continent depuis le sud.

Selon Tankers Trackers, ces pétroliers embarquent généralement le pétrole brut lourd vénézuélien vers les pays asiatiques après avoir déchargé de l’essence iranienne dans les ports du pays latino-américain.

Un mandat d’arrêt livré par la magistrature irakienne contre Trump concernant le dossier de l’assassinat de Soleimani et d’Al-Mohandes s’ajoute à l’échec d’une tentative US de renouveler l’embargo sur la vente d’armes à l’Iran, sans oublier l’humiliation qu’ont vécue les États-Unis après l’attaque au missile du CGRI contre la base d’Ain al-Asad en Irak, et ce alors que la Résistance irakienne semble être le principal destinataire des armements iraniens.

Depuis le lâche assassinat des deux commandants de la Résistance en Irak, les Américains ont été, à maintes reprises, humiliés tant au niveau militaire que politique sur le plan international. En effet, après l’attaque balistique iranienne visant la base militaire américaine à Aïn al-Asad en Irak, qui a largement discrédité les États-Unis non seulement dans la région, mais dans le monde entier, Washington s’est efforcé de faire prolonger l’embargo sur la vente d’armes à l’Iran et de déclencher le mécanisme de Snapback pour ainsi durcir sa politique de pression maximale, mais toutes les tentatives à ce propos ont échoué et ont été même bloquées par les alliés européens des États-Unis. 
Un autre grand choc infligé aux Américains était la décision de la Justice irakienne de délivrer un mandat d’arrêt à l’encontre de Donald Trump pour l’assassinat des deux commandants de la Résistance, qu’il avait ordonné en janvier 2020
Tous les événements précités constituaient une sorte de résistance face aux mesures illégales et arrogantes des États-Unis et ont prouvé au monde entier que l’époque d’un monde unipolaire était bel et bien révolue. Maintenant, tout le monde sait que les États-Unis, eux aussi, devront revendiquer les conséquences de ce qu’ils font.    

A en juger les accusations parfaitement insanes du Sioniste Dore Gold, il faut bien croire que le coup US/Israël au Maghreb a quelque peu raté son objectif : A Alger l'Américain et caniche de l'AIPAC affirmait jeudi que l'Amérique soutenait le plan d'autonomie du Sahara occidental pour changer quelques heures plus tard à Rabat son fusil d'épaule et dire que la reconnaissance de la souveraineté  américaine sur le Sahara par Trump est "irréversible".