Nous reproduisons un texte écrit à la demande de la Fondation pour combattre l’injustice d’Evgueni Prigojine. L’auteur y revient sur la protection que le président Jacques Chirac lui avait accordée et sur les tentatives d’assassinat dont lui et son équipe ont fait l’objet par la suite. Nos lecteurs ont vécu ces événements en direct, mais c’est la première fois que Thierry Meyssan évoque publiquement la traque dont il a fait l’objet. Il ne s’agit aucunement pour lui d’exiger des comptes : les personnalités qu’il met en cause ont certainement agi en croyant servir le pays. Mais les citoyens français doivent savoir les crimes que l’on commet en leur nom.

تقي زاده
Comment l'entité israélienne sacrifie le Maroc sur l'autel de ses intérêts?
Simultanément à la visite du ministre israélien des Affaires militaires au Maroc et à la signature d’un protocole d’accord entre les deux parties, certains groupes marocains ont mis en garde contre les conséquences de la normalisation des relations militaires entre les deux parties.
Bani Gantz, ministre des Affaires militaires du régime sioniste s’est rendu ce mercredi 24 novembre à Rabat, une première visite d’un ministre israélien des Affaires militaires au Maroc, afin de renforcer la coopération sécuritaire entre les deux parties, un an après la normalisation de leurs relations et en pleine tension entre Alger et Rabat.
Le porte-parole du ministère israélien des Affaires militaires a annoncé qu’Israël et le Maroc avaient signé un protocole d’accord militaire qui ouvrirait la voie à la vente d’équipements militaires et à l’expansion de la coopération militaire bilatérale dans le domaine du renseignement, de l’industrie de défense et de la formation militaire.
Lors de cette visite, Gantz a rencontré Abdul Latif Lodi, ministre délégué auprès du Premier ministre chargé du ministère de la Défense nationale, et d’autres responsables marocains.
Appel à la mobilisation générale au sein de la Résistance qui s'apprête à la "bataille aérienne"!
Dans cet Irak où les Yankees et leurs complices britanniques ont bêtement cru pouvoir déclencher un effusion de sang inter-chiite via des fraudes massives aux élections que les pétrodollars émiratis ont financés puis en montant de toute pièce une pseudo attaque aux drones contre la maison du PM Kazemi, cet Irak où l'US Army s'apprête d'ici 31 décembre non pas à disparaître mais à changer de coquille et à rester sur place à former et à nourrir la violence, l'instabilité et tout ceci, en agissant dans l'ombre des Français, des Britanniques et des Otaniens, il se passe des choses qui devraient bien les altérer
Au termes d'une semaine malgré par l'achèvement d'une offensive anti Daech à Diyala, à l'est, puis la relance d'une autre à Samara et alors même que les forces irakiennes mène depuis mardi une opération militaire d'envergure contre Daech, tout en se faisant aider par des avions irakiens qui en l'absence des Américains, frappent là où il faut et quand il faut avec en toile de fond l’arrestation de gros bonnets daechistes dans des provinces stratégiques de Samara ou encore Salaheddin, "Kataëb Seyyed al Shohada", l'une des principales composantes de la Résistance irakienne vient de faire une importante déclaration :
Hadith du jour
سُبْحانَ ذِي الْجَلالِ الْبَاذِخِ الْعَظِيمِ !
Gloire à Celui qui est plein de Majesté élevée, grandiose !
سُبْحَانَ ذِي الْعِزِّ الشَّامِخِ الْمُنِيفِ !
Gloire à Celui qui est plein de Puissance sublime, élevée!
سُبْحانَ ذِي الْمُلْكِ الْفَاخِرِ الْقَدِيمِ !
Gloire à Celui qui détient le Royaume magnifique, éternel !
سُبْحَانَ ذِي الْبَهْجَةِ وَالْجَمَالِ !
Gloire à Celui qui est plein de Splendeur et de Beauté !
سُبْحانَ مَنْ تَرَدَّىٰ بِالنُّورِ وَالْوَقارِ !
Gloire à Celui qui s’est enveloppé de Lumière et d’Eminence !
سُبْحانَ مَنْ يَرىٰ أَثَرَ النَّمْلِ فِي الصَّفَا وَوَقْعَ الطَّيْرِ فِي الْهَوَاءِ.
Gloire à Celui qui voit l’empreinte de la fourmi dans la roche et la trace de l’oiseau dans l’atmosphère !
عن رسول الله ( صلى الله عليه وآله ) قال : فاطمة بضعة مني فمن أغضبها أغضبني
Sahih Bukhari, vol 5, hadith 3556, page 26
«Iblis (Satan) demeure joyeux tant que deux Musulmans restent en rupture. Et dès qu'ils se réconcilient, ses deux genoux se serrent et ses jointures se déchirent, et il s'écrie "Malheur à moi!"»
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*L’avare m’étonne* : il se hâte vers la misère qu’il fuit, manque la richesse qu’il convoite, traîne dans ce monde l’existence des pauvres et subit dans l’éternité le châtiment des riches.
*Je suis étonné* par l’orgueilleux qui, hier, était sperme et demain sera cadavre en putréfaction.
*Je suis sidéré par* celui qui doute de Dieu alors qu’il voit la création, par celui qui oublie la mort alors qu’il voit les morts, par celui qui renie la deuxième naissance alors qu’il a déjà vu la première, par celui qui édifie dans un monde éphémère et oublie le monde éternel.?
L’Imam Hassan Al-Askari (as): « Chaque chose a des limites. Si elle dépasse ces limites, elle devient nuisible. La générosité a des limites. Si elle les dépasse, elle devient exagérée. L'attention a des limites, au-delà de ces limites, elle devient la peur. L'économie a des limites, au-delà de ces limites, elle devient de l’avarice. Le courage a des limites, au-delà de ces limites, il devient témérité » Bihār al-Anwar, v.75, p.377
L’Occident, simulacre de Liberté
L’Occident a tenté de faire taire, par tous les moyens à sa disposition, ceux de ses citoyens qui ont révélé sa véritable politique depuis le 11 septembre 2001 et se sont dressés contre elle.
En 2002, je publiais L’Effroyable imposture, un ouvrage de sciences politiques qui dénonçait la version officielle des attentats de New York, de Washington et de Pennsylvanie, et anticipait la nouvelle politique US : une surveillance généralisée des citoyens et la domination du Moyen-Orient élargi. Après un article du New York Times qui s’étonnait de mon impact en France, le département US de la Défense chargeait le Mossad israélien de m’éliminer. Le président Jacques Chirac, qui avait demandé à ses propres services de Renseignement de vérifier ma thèse, prit alors ma défense. Lors d’un entretien téléphonique avec le Premier ministre Ariel Sharon, il l’informa que toute action contre moi, non seulement en France, mais sur tout le territoire de l’Union européenne, serait interprétée comme un acte hostile contre la France. Il chargea également un de ses collaborateurs de veiller sur moi et d’informer les États non-européens qui m’inviteraient de leur responsabilité pour assurer ma sécurité. Effectivement, dans tous les pays où je fus invité, on me fournit une escorte armée.
Cependant, en 2007, le président Chirac fut remplacé par Nicolas Sarkozy. Selon le haut-fonctionnaire que Jacques Chirac avait chargé de ma sécurité, le nouveau président accepta à la demande de Washington d’ordonner à la DGSE de m’éliminer. Ainsi prévenu, je faisais ma valise sans attendre et je m’exilais. Deux jours plus tard, j’arrivais à Damas où l’on m’accorda la protection de l’État.

Quelques mois plus tard, je décidais de m’installer au Liban où l’on m’avait proposé de réaliser une émission hebdomadaire en français sur Al-Manar, la chaîne du Hezbollah. Ce projet ne vit jamais le jour, Al-Manar renonçant à émettre en français, pourtant langue officielle du Liban. C’est alors que la ministre française de la Justice, Michèle Alliot-Marie, lança une commission rogatoire contre moi au prétexte qu’un journaliste, qui avait déjà écrit un livre contre moi, m’accusait de diffamation. Il n’y avait jamais eu de telle démarche auprès du Liban depuis plus de 30 ans. La police me délivra une convocation. Je pouvais y constater que cette démarche n’avait aucun fondement en droit français. Le Hezbollah me protégea et je disparus volontairement. Quelques mois plus tard, le Premier ministre Fouad Siniora ayant tenté de désarmer la Résistance, le Hezbollah renversa le rapport de forces. Je me présentais alors devant un juge sous les applaudissements de la police qui me recherchait encore trois jours plutôt. Le juge m’indiqua que sur sa lettre, Michèle Alliot-Marie avait ajouté à la main qu’elle demandait à son homologue libanais de me faire arrêter et détenir en prison le plus longtemps possible tandis que l’affaire suivrait son cours en France. C’était le principe des « lettres de cachet » de l’Ancien Régime, la capacité d’emprisonner sans jugement ses opposants politiques. Le magistrat me lut la commission rogatoire et m’invita à y répondre moi-même par écrit. Je précisais que, selon le droit français et selon le droit libanais, l’article incriminé était prescrit depuis longtemps et qu’au demeurant il ne me semblait nullement diffamatoire. Une copie de la lettre de Michèle Alliot-Marie et de ma réponse fut déposée au coffre de la Cour de Cassation de Beyrouth.
Quelques mois plus tard, je fus invité à un dîner chez une haute personnalité libanaise. Un collaborateur du président Sarkoy, de passage au Liban, y était aussi. Nous nous affrontions durement sur nos conceptions de la laïcité. Ce Monsieur assura aux convives ne pas refuser le débat, mais les quitta pour prendre un avion et rentrer à l’Élysée. Le lendemain, j’étais convoqué par un juge pour une question administrative. Cependant, alors que ma voiture était à deux minutes du rendez-vous, je recevais un appel téléphonique du cabinet du prince Talal Arslane m’indiquant que selon le Hezbollah, c’était un piège. Je devais immédiatement faire demi-tour. Il s’avéra que les fonctionnaires, sauf exception, ne travaillaient pas ce jour-là, anniversaire de la naissance de Mahommet. Une équipe de la DGSE était là pour m’enlever et me remettre à la CIA. L’opération avait été organisée par le conseiller présidentiel avec lequel j’avais dîné la veille.
Par la suite, j’ai fait l’objet de nombreuses tentatives d’assassinat, mais il m’a été difficile de déterminer qui en était le commanditaire.
À titre d’exemple, lors d’une conférence au ministère vénézuélien de la Culture, la garde du président Chávez vint subitement me chercher sur l’estrade où je parlais. Un officier m’enleva de force et me poussa vers les loges. J’eus juste le temps de voir dans la salle des hommes sortir des armes. Deux camps se menaçaient mutuellement. Un coup de feu et c’eut été un carnage. Ou encore, toujours à Caracas, je fus invité avec mon compagnon d’armes à un dîner. Lorsqu’on apporta nos assiettes, mon ami n’avait pas grand faim et mon assiette était étrangement moins bien garnie que les autres. Nous les échangeâmes discrètement. De retour à notre hôtel, il fut pris subitement de tremblements, perdit connaissance, se roula par terre de la bave coulant de ses lèvres. Lorsque les médecins arrivèrent, ils s’exclamèrent immédiatement : cet homme a été empoisonné. Ils le sauvèrent à temps. Deux jours plus tard, une délégation d’une dizaine d’officiers en grand uniforme de la SEBIN (services secrets) venait nous présenter ses excuses et nous indiquer avoir identifié l’agent étranger qui avait organisé cette opération. Mon ami, placé en chaise roulante, mit six mois à se remettre.
Dans une étape ultérieure, à partir de 2010, les attaques impliquèrent toujours des jihadistes. Par exemple, un disciple du cheik Ahmed al-Assir tendit une embuscade à mon compagnon d’armes et tenta de le tuer. Il ne dut la vie qu’à l’intervention d’un milicien du PSNS. Son agresseur fut arrêté par le Hezbollah, remis à l’armée libanaise, puis jugé et condamné.

En 2011, la fille de Mouamar Khadafi, Aïcha, m’invita en Libye. Elle m’avait vu pérorer sur une télévision arabe contre son père. Elle tenait à ce que je vienne sur place et constate mon erreur. Ce que j’ai fait. De fil en aiguille, j’ai rejoint le gouvernement libyen et fus chargé de préparer l’Assemblée générale de l’Onu. Lorsque l’Otan attaqua la Jamahiriya arabe libyenne, je me trouvais à l’hôtel Rixos où résidait la presse étrangère. L’Otan exfiltra les journalistes qui collaboraient avec l’Alliance, mais ne parvint pas à faire sortir ceux qui étaient au Rixos car celui-ci était défendu par Khamis, le plus jeune fils de Kadhafi. Ce dernier se trouvait dans le sous-sol de l’hôtel dont les ascenseurs avaient été condamnés. Les jihadistes libyens qui formèrent par la suite l’Armée syrienne libre, sous le commandement de Mahdi al-Harati et l’encadrement de soldats français, assiégèrent l’hôtel. Ils tuèrent ceux qui s’approchaient des fenêtres.

En définitive, la Croix-Rouge internationale vint nous chercher et nous amena dans un autre hôtel où le nouveau gouvernement se constituait. Lorsque nous arrivâmes à l’hôtel, deux Gardiens de la Révolution iranienne vinrent à ma rencontre. Ils avaient été envoyé par le président Mahmoud Ahmadinejad et le vice-président Hamid Baghaie pour me sauver. Les dirigeants iraniens s’étaient procurés un relevé de décision d’une réunion secrète de l’Otan à Naples selon lequel, entre autres, il conviendrait de m’assassiner lors de la prise de Tripoli. Ce document faisait état de la présence à ce sommet du ministre des Affaires étrangères français, Alain Juppé, un ami de mon père. Le cabinet de Monsieur Juppé affirmera par la suite que cette réunion n’a jamais existé et que le ministre était en vacances à cette date. Croyant le problème résolu, les Gardiens de la Révolution quittèrent le pays. Or on avait distribué en ville une affichette comprenant les photos d’une douzaine de personnes recherchées : onze Libyens et moi. Un groupe de « rebelles » commença à fouiller l’hôtel à ma recherche. Je fus d’abord sauvé par une journaliste de RT qui me cacha dans sa chambre et en refusa l’entrée aux « rebelles », puis par d’autres, y compris une journaliste de TF1. Après toutes sortes de péripéties où j’échappai à la mort une quarantaine de fois, je fuyais, tel un boat people, avec une quarantaine de personnes à bord d’un petit bateau de pêche vers Malte au milieu des navires de guerre de l’Otan. À notre arrivée à La Valette, le Premier ministre et les ambassadeurs des ressortissants transportés nous attendaient. Tous, sauf l’ambassadeur de France.

Lorsque le « printemps arabe » commença en Syrie, c’est-à-dire l’opération secrète des Britanniques pour porter au pouvoir les Frères musulmans comme ils l’avaient fait un siècle plus tôt avec les Wahhabites, je revenais à Damas aider ceux qui m’avaient accueillis quatre ans plus tôt. J’y ai bien sûr plusieurs fois croisé la mort, mais c’était la guerre. Une fois cependant, je fus la cible directe des jihadistes. Une des fois où les « rebelles » officiellement soutenus par le président François Hollande attaquèrent Damas, ils tentèrent de prendre mon habitation d’assaut. L’armée syrienne installa un mortier sur mon toit et les repoussa. Ils étaient une centaine contre cinq soldats. Mais ils durent se retirer après trois jours de combat. Aucun de ces « rebelles » n’était Syrien, c’était des Pakistanais et des Somaliens sans entrainement militaire. Je me souviens de leurs chants « Allah Akbar ! » qu’ils répétaient hystériques avant de foncer vers la maison. Aujourd’hui encore quand j’entends ce noble cri, j’ai la chair de poule.
Je suis revenu en France en 2020 pour rejoindre ma famille. Plusieurs de mes amis m’avaient assuré que le président Emmanuel Macron ne pratiquait pas les assassinats politiques comme ses deux prédécesseurs. Je ne fut pas libre pour autant. Les douanes reçurent une dénonciation assurant que le container maritime transportant les affaires personnelles de mon compagnon d’armes et les miennes contenait des explosifs et des armes. Elles l’interceptèrent et envoyèrent une quarantaine de fonctionnaires pour le fouiller. C’était un piège tendu par un service étranger : les Douanes laissèrent une société rempoter les marchandises qui en avait été extraites. Celle-ci mit deux jours à le faire pendant lesquels le container fut pillé et mes affaires détruites. Les documents que nous transportions ont tous disparus.
Mon exemple n’est pas isolé. Julian Assange lorsqu’il dévoila le système Vault 7, qui permet à la CIA de compromettre n’importe quel ordinateur ou téléphone portable, devint aussi une cible des États-Unis. Le directeur de la CIA, Mike Pompeo, monta plusieurs opérations avec l’assentiment du Royaume-Uni pour l’enlever ou l’assassiner. Ou encore, lorsque Edward Snowden publia quantité de documents sur le viol de la vie privée par la NSA, tous les membres de l’Otan se liguèrent contre lui. La France ferma même son espace aérien à l’avion du président bolivien Evo Morales croyant que Snowden était à bord. Il est aujourd’hui réfugié en Russie. La Liberté n’est plus en Occident.
Vous trouverez ici un entretien réalisé avec la Fondation pour combattre l’injustice. L’image est obscure et les questions sont posées en russe, mais les réponses sont en français. Cette interview est néanmoins bien plus intéressante que celles réalisées en Europe occidentale. Les questions y sont beaucoup plus fortes et les réponses aussi.
Puisque l'Iran n'hésite pas à l'activer le cas échéant
Doté de l'une des DCA les plus puissantes du monde qui intercepte et contrôle pas moins de 4800 vols dans le ciel du pays, le S-400 russe livré bientôt à l'Iran va-t-il changer la donne? Selon SouthFront, les S-400 russes en service avec l'Iran ont fait paniquer tout le Moyen-Orient.
De nombreuses critiques des systèmes de défense aérienne russes S-400 se sont avérées artificiellement gonflées par les États-Unis, afin de réduire l'intérêt des partenaires russes pour cette arme. Et pourtant il y en a de ces partenaires qui ne se sont pas laissés berner et pas des moindres. En effet le concepteur de DCA qu'est l'Iran s'intéresse aux S-400 russe ce qui a suscité la panique aux États-Unis, en Israël et en Arabie saoudite , dit le site avant de rapporter un article de The National Interest.
Missiles russes capables de détruire des dizaines de satellites
Les tensions entre la Russie et l’OTAN ne cessent de s’accroître : la Russie se dit capable de détruire quelque 32 satellites de l’OTAN et d’aveugler tous les missiles, avions et navires de l’Alliance, tandis que des bombardiers américains s’entraînent à frapper le territoire russe. Pour éviter de s’enliser au sol, les Russes ont choisi une nouvelle scène pour affronter les Américains : l’espace !
La Russie a averti qu’elle pouvait anéantir les satellites de l’OTAN avec sa nouvelle technologie.
La télévision d’État russe a affirmé hier soir que les missiles antisatellites (ASAT) de Moscou pourraient détruire 32 satellites de l’OTAN et « aveugler tous leurs missiles, avions et navires, sans parler des forces terrestres ».
La technologie ASAT a été testée sur un ancien satellite soviétique la semaine dernière, envoyant des éclats d’obus voler vers la Station spatiale internationale (ISS) et provoquant l’indignation de la NASA et de Washington. « Il s’agissait d’un coup de semonce pour l’Occident », a affirmé la télévision d’État.
Une base israélienne au Maroc, est-ce une bonne idée ?
À l’approche du premier déplacement du ministre israélien des Affaires militaires au Maroc, les anti-normalisation ont appelé à une journée de colère.
Les Marocains qui s’opposent à la normalisation de relations entre Rabat et Tel-Aviv ont appelé à l’organisation d’une manifestation de protestation, demain mercredi, simultanément à la visite au Maroc du ministre israélien des Affaires militaires Benny Gantz.
Le Front marocain pour le soutien à la Palestine et la lutte contre la normalisation a appelé tous les Marocains à prendre part à un rassemblement de protestation qui se tiendrait mercredi 24 novembre devant le Parlement, à Rabat.
Benny Gantz arrivera ce mardi soir au Maroc pour discuter avec les responsables marocains d’un éventail de sujets dont l’essor des coopérations sécuritaires entre Rabat et Tel-Aviv.
Le Front marocain pour le soutien à la Palestine et la lutte contre la normalisation a demandé à toutes les ONG pro-palestiniennes ainsi qu’à tous les militants et citoyens de prendre part massivement au rassemblement de contestation prévu mercredi devant le Parlement afin d’exprimer leur colère contre la visite du « Boucher de Gaza » au Maroc.
Levée partielle des sanctions contre l’arrêt de l’enrichissement à 60%
La proposition officieuse de l’envoyé spécial des États-Unis pour l’Iran sur la conclusion d’un accord temporaire avec Téhéran ressemble à un piège diplomatique.
Robert Malley, conseiller à la sécurité nationale des États-Unis, a proposé, lors d’une rencontre avec son homologue israélien, la signature d’un accord d’une durée limitée avec l’Iran en vue de gagner un peu de temps, a-t-on appris du site web américain Axios.
Axios précise que Washington pourrait proposer à l’Iran le déblocage d’une partie de ses fonds en échange du gel de l’enrichissement d’uranium à 60 %.
Deuxième base illégale US à Hassaké, centre de trafic de pétrole, pulvérisée
À peine un mois après la tonitruante frappe aux cinq drones contre la base illégale américaine à al-Tanf, attaque mêlée aux tirs de missiles qui a fini par isoler les 900 officiers et instructeurs américains de Daech en plein désert de Homs, et ce sur le dos d'un Israël qui a perdu dans le ciel de la Syrie, sa "zone tampon" dit le périmètre de 55 km, l'US Army a été une nouvelle fois prise pour cible, là où elle s'y attendait le moins : la plus grande base militaire US à Hassaké, dans le nord est qui abrite des dizaines de militaires US, et qui sert d'un des principaux terminaux de contrebande du pétrole syrien à destination du Kurdistan irakien puis de la Turquie et enfin la Méditerranée a secoué il y a quelques heures sous les coups des missiles tactiques "inconnus". "Plusieurs grosses explosions se sont fait entendre à Kharab al-Jir, à 5 km de la ville frontalière d'al-Yaarubiyah, explosions dues aux tirs de missiles. Les déflagrations en cascade ont été entendues dans différentes villes du nord, mais aussi sur les frontières irakiennes.
L'« Organisation des gouvernements turcs » compte amputer l'ٍٍٍEmpire du Milieu de son Xinjiang
La Chine est préoccupée par la création d'une Organisation des gouvernements turcs, la qualifiant de menace régionale. Il y a une semaine, des membres d'un organisme régional appelé Conseil turc ou Conseil des pays de langue turque se sont réunis à Istanbul, en Turquie. Les dirigeants du conseil, qui ont été témoins pour la première fois de la présence du président turkmène en tant que membre observateur, ont décidé, au détriment des politiques régionales de la Chine, de changer l'organisation en Organisation des gouvernements turcs (TDT), regroupant la Turquie, le Kazakhstan, le Kirghizistan, l'Ouzbékistan et l'Azerbaïdjan. Cité par le journal Global Times du Parti communiste chinois, le Dr Yang Jin, chercheur auprès de l’Académie chinoise des sciences sociales, estime que la démarche est une menace pour la pour la stabilité régionale.