
تقي زاده
Cinq commandos congolais tués pour sauver un journaliste américain
Cinq commandos congolais ont été tués lors d’une opération destinée à sauver un journaliste américain.
Une autorité locale congolaise a annoncé, ce dimanche 16 juillet, la mort de cinq commandos de l’armée dans une opération conjointe destinée à sauver un journaliste américain et trois commandos, qui étaient portés disparus dans la faune de l’est du Congo.
Selon Reuters, cinq commandos congolais ont été abattus, le vendredi 14 juillet, par des individus armés à l’identité inconnue. D’autres membres de cette mission ont pris la fuite.
« Des forces de sécurité et des commandos, soutenus par l’armée, ont été déployés dans la faune pour accomplir cette mission de sauvetage, mais on ne sait pas encore comment ils ont été tués », a déclaré une source locale.
L’est du Congo est, depuis deux décennies, le théâtre de multiples conflits et les rebelles, les miliciens et les pirates représentent un vrai danger pour la sécurité de plusieurs localités de cette région.
L’Iran a condamné à 10 ans en prison pour un américain « d’espion »
Le porte-parole du pouvoir judiciaire, Gholamhossein Mohseni Ejei a communiqué ce dimanche la phrase de la personne condamnée de la double nationalité - États-Unis et autres pays étrangers - sans que l’identifier.
« Déjà il a été prouvé que cette personne avait infiltré l’Iran pour collecter des informations. Cet individu a été identifié et arrêté par des agents de renseignement », a expliqué le porte-parole qui s’est exprimé lors d’une conférence de presse.
Il a assuré que les « intrus s’est inspirée directement par les américains, » ce qui a rendu une « peine de 10 ans de prison, qui peut être fait appel ».
Ces dernières années, la République islamique d’Iran a détenu plusieurs citoyens britanniques et américains sur des accusations d’espionnage et de collaborer avec les pays hostiles à Téhéran.
, avec qui il se réunira pour la première fois, puisqu’il a pris le pouvoir en mai dernier.
France: Manifestation contre la visite de Netanyahu
La manifestation a débuté à 15h, heure locale, place de la République, ornée de nombreux drapeaux palestiniens et entourée de plusieurs pancartes à l'effigie du Premier ministre israélien, qualifié de "gardien de camp" ou de "tortionnaire".
Le président français Emmanuel Macron a également été qualifié par les protestataires de "complice".
Plusieurs stands ont été par ailleurs installés comme celui de BDS qui appelait une nouvelle fois au boycott des produits israéliens.
"Netanyahu est un homme de guerre et de violence", peut-on lire aussi dans un communiqué, publié la semaine dernière, par le Parti communiste français (PCF).
À noter que le président français Emmanuel Macron, qui était resté relativement en retrait pendant la campagne présidentielle sur le dossier israélo-palestinien, a reçu début juillet le président de l'Autorité autonome palestinienne Mahmoud Abbas à l'Elysée.
Il a fait savoir à cette occasion qu'il entendait participer aux efforts diplomatiques visant à raviver un processus de paix au point mort depuis avril 2014.
Dimanche, Emmanuel Macron fera part au Premier ministre israélien de "l'inquiétude" de la France "face à l’accélération de la colonisation" et encouragera "la discussion et la reprise des négociations entre les parties", indique l'Élysée.
Un Palestinien abattu par les forces israéliennes
Un autre Palestinien, également soupçonné, a été blessé légèrement lors de son arrestation, selon le communiqué militaire.
Vendredi, trois Pqlestiniens ont tué par balles deux policiers israéliens dans la vieille ville de Jérusalem, avant d'être pourchassés et abattus sur l'esplanade des Mosquées, un des incidents les plus graves dans ce secteur au coeur du conflit israélo-palestinien.
Depuis octobre 2015, les Territoires palestiniens sont en proie à des violences qui ont causé la mort de 281 Palestiniens, 44 Israéliens.
Israël est obligé d'ouvrire l'esplanade des Mosquées
Une 3e Intifada s'annonce à Al Quds
L’Iran a demandé la réouverture rapide de la mosquée al-Aqsa aux fidèles
Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères a qualifié la fermeture de la mosquée al-Aqsa aux fidèles de contraire aux principes fondamentaux des droits de l’homme et mis l’accent sur la réouverture immédiate de cette mosquée.

En plus de tous les crimes et agressions qu’a commis Israël en violation des droits fondamentaux des Palestiniens, ce régime a visé cette fois-ci les droits des musulmans palestiniens, un acte qui aura de graves répercussions, a affirmé Bahram Qassemi, le porte-parole de la diplomatie iranienne.
Tout en soulignant l’importance de la réouverture rapide de la mosquée al-Aqsa aux musulmans, Qassemi a appelé tous les pays libres du monde et les instances internationales à faire pression sur ce régime pour qu’il respecte les droits les plus fondamentaux des habitants des territoires qu’il a occupés.
Plus de 150 véhicules militaires américains entrent sur le sol syrien
La chaîne libanaise Al-Mayadeen a rapporté en citant une source de sécurité que plus de 150 véhicules militaires américains étaient entrés en Syrie depuis le passage frontalier irakien de Feichkhabour.
La source a ajouté que les véhicules militaires étaient appuyés dans les airs par 5 hélicoptères Apache de l’armée américaine et accompagnés de voitures civiles.
Selon les informations disponibles, un grand nombre de militaires américains, britanniques et jordaniens ainsi que des chars britanniques se trouvent sur les frontières sud des deux provinces de Soueïda et de Deraa.
400 personnes armées formées en Jordanie se sont installées aussi dans la région d’al-Tanf en Syrie, avec leurs hélicoptères Cobra et Black Hawk.
L’Iran a démenti avoir illuminé au laser deux navires et un hélicoptère US
Le commandant de la zone 1 de la force navale de l’armée de l’armée de la RII a démenti les allégations de la marine américaine l’accusant d’avoir illuminé au laser deux navires et un hélicoptère américains.
Récemment, la marine américaine a prétendu qu’un navire iranien s’était approché, de nuit, de 3 navires militaires américains et qu’il avait illuminé avec un laser deux de ces navires, ainsi qu’un hélicoptère CH-53E qui accompagnait la formation.
Cet incident a eu lieu lorsque le navire d’assaut USS Bataan LHD5, le destroyer USS Cole DDG67 et le cargo USNS Washington Chambers (T-AKE-11) étaient en train de traverser le détroit d’Ormuz, a prétendu la marine américaine.
Ainsi, selon un communiqué de la marine américaine, un bateau iranien s’est approché à environ 700 mètres de ces trois bâtiments qui naviguaient dans le détroit d’Ormuz, avant d’éclairer deux d’entre eux avec un faisceau laser, a écrit Opex360.
Toujours selon le site Opex360, le navire-lance-missiles iranien aurait ensuite braqué son laser sur un hélicoptère CH-53E Super Stallion de l’US Marine Corps qui accompagnait les trois bâtiments de l’US Navy.
Washington veut mettre en place en Irak une organisation similaire aux FDS
Le secrétaire général du mouvement Hezbollah al-Nujaba, le cheikh Akram al-Kaabi, a déclaré aujourd’hui, samedi 15 juillet, que les États-Unis cherchaient à prendre le contrôle de l’Irak de manière indirecte et à finalement occuper ce pays.
Al-Kaabi a ajouté que Washington projetait à mettre en place en Irak une organisation similaire aux Forces démocratiques syriennes.
Le secrétaire général du mouvement Hezbollah al-Nujaba a indiqué par ailleurs : « Les conseillers militaires iraniens ont joué un grand rôle pour lutter contre le plan sauvage ourdi par les États-Unis dans la région. »
Enfin, le cheikh al-Kaabi a expliqué qu’il existait des documents et des vidéos prouvant que les chasseurs de la coalition américaine avaient aidé de manière directe des groupuscules terroristes affiliés à Daech.